Quand Jules Diop révélait les erreurs monumentales de Barth: "nañu moytu Sonko-Diomaye ndax..."
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Quand Jules Diop révélait les erreurs monumentales de Barth: "nañu moytu Sonko-Diomaye ndax..."
Les professionnels des médias s’élèvent contre ce qu’ils qualifient d’« errements » du ministre de la Communication, Alioune Sall. Cette réaction fait suite à sa demande adressée au ministre de l’Intérieur pour mobiliser la Direction de la Surveillance du Territoire (DST) et la Division spéciale de la Cybercriminalité (DSC) afin d’appliquer des mesures de régulation. En effet, Alioune Sall exige « la cessation immédiate des activités des médias ne figurant pas sur la liste de ceux reconnus par l’État du Sénégal ».
Ces dysfonctionnements dans l’analyse des tests de la Covid-19 poussent Moustapha Diakhaté à exiger une contre-expertise des tests de Covid-19.
Chercheur à l’Ifan, Professeur Khadim Mbacké analyse pour Sud quotidien les raisons qui expliquent la déroute du camp du «Oui» dans la cité religieuse de Touba. Il cite plusieurs facteurs qui selon lui, ont contribué à la victoire du «Non» en terre mouride.
Depuis quelques jours, la société WARTSILA SA, ses dirigeants et ses conseils ont ouvert une campagne de presse tous azimuts contre la SARL RESIDENCES JARDINS et sa gérante Madame Aïssatou NIANG, vouant aux gémonies la justice sénégalaise – des juges de la Cour d’Appel de Saint-Louis pour être plus précis – qu’ils accusent de corruption.
Le Sénégal, est effectivement depuis son indépendance en mal d’un dirigeant modèle, constant, intègre, digne de ce nom avec les aptitudes requises pour le diriger avec autorité, rigueur, dans la droiture et en toute impartialité. Il a été jusque-là, toujours trahi par ses dirigeants, et ces derniers une fois arrivés et confortablement installés au pouvoir, tournent le dos à ses intérêts supérieurs. Quel dommage pour ce peuple si tolérant et compréhensif à l’endroit des ses dirigeants pourtant peu méritants.
Dans la suite de l’interview exclusive accordée à EnQuête par Abdoulaye Bathily de la Ligue Démocratique, demande à ceux qui chercheraient une quelconque mésentente entre Moustapha Niasse, Ousmane Tanor Dieng et lui, déchantent. Il n y a pas selon lui, l’ombre d’un nuage, même si, lors du 1er tour, il a choisi le camp de Benno Siggil Senegaal et d’être l’ex-directeur de campagne de Moustapha Niasse.
Aujourd’hui qu’une « contre-pétition endossée par 40 députés » circule pour exiger son départ de la tête du groupe parlementaire « Libéral et démocratique », d’ores et déjà menacé d’éclatement avec l’éventuelle naissance d’une autre entité de ses flancs, Doudou Wade attend de pied ferme ses contempteurs. « Avec les déclarations guerrières de ses amis, l’affrontement est désormais inévitable avec Macky Sall s’il ne démissionne pas de l’Assemblée nationale ». Ses motivations en ce qui concerne la pétition qui vise à faire démissionner Macky Sall de son poste de président de l’Assemblée nationale, Doudou Wade président du groupe parlementaire « lIbéral et démocratique » les explique ainsi :
Il y a une divine tentation à vouloir boycotter les prochaines élections législatives. C’est le meilleur moyen, après une rude défaite, de forcer l’ennemi au Cessez-le-feu, et de perdre sans s’avouer vaincu. Mais on ne le fait pas en début de mandat.Le boycott est un puissant antalgique contre notre mal électoral, mais il ne nous guérira pas du Wadisme. Nous n’en guérirons pas très vite. C’est le pays du choléra et des inondations qui a plébiscité Wade, et il est malheureusement en grande expansion. C’est lui qui a réélu son président, et c’est, chose paradoxale