Mandataire d'Ousmane Sonko, candidat déclaré à la Présidentielle de février 2024, Mohamed Ayib Salim Daffé (46 ans) est, depuis quelques semaines, au-devant de la scène médiatique.
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Mandataire d'Ousmane Sonko, candidat déclaré à la Présidentielle de février 2024, Mohamed Ayib Salim Daffé (46 ans) est, depuis quelques semaines, au-devant de la scène médiatique.
L’artiste revient dans le musée où elle a vécu lorsque les lieux étaient désaffectés.
La mort ! Lorsqu’elle surgit et happe l’être vivant, humain ou animal, alors, elle sublime la Toute-Puissance de Dieu dont...
Mandataire d'Ousmane Sonko, candidat déclaré à la Présidentielle de février 2024, Mohamed Ayib Salim Daffé (46 ans) est, depuis quelques semaines, au-devant de la scène médiatique.
La mort ! Lorsqu’elle surgit et happe l’être vivant, humain ou animal, alors, elle sublime la Toute-Puissance de Dieu dont...
Sans ses deux personnalités détonantes, le Parti démocratique sénégalais ne sera certainement plus jamais le même. Retour sur deux parcours incroyables.
Quel sérum d’aboulie a pénétré les veines de la nation pour que nulle clameur ne réprouve la récente pantalonnade diplomatique du président Wade ? Son voyage en grand arroi à Benghazi,
La politique de WADE, abreuvée aux deux mamelles nourricières de l’incompétence flagrante et de la corruption notoire dont le monde entier s’alarme ou se moque maintenant, a plongé notre pays dans une crise grave, a estimé Tanor Dieng qui a animé ce samedi une conférence à Paris sur le thème : « Comment bâtir ensemble une alternative crédible au régime libéral en 2012 » ? Lire le texte intégral
Idrissa Seck et Macky Sall étaient perçus, au moment où ils occupaient les très stratégiques postes de Premier ministre et de numéro deux du Pds, comme des dauphins présomptifs du chef de l’Etat. Mais, il fallait compter avec une appétence pour le pouvoir de plus en plus grande du fils biologique, Karim Wade, avec qui ils seront à tour de rôle en collusion. Un clash qui va compromettre leur carrière politique. Le différend entre le président Wade et Idrissa Seck est subséquemment né de la bataille de préséance - notamment pour le contrôle des fonds politiques - entre ce dernier et Karim Wade.
Le doute n'est plus permis : l'élection présidentielle aura bien lieu le 25 février 2007. Le dernier récif que pouvait constituer l'article 34 de la Constitution vient d'être levé avec la modification de son alinéa premier. La brèche qui pouvait permettre un report des élections a été définitivement fermée. Le conseil des ministre a examiné et adopté, hier, un projet de loi constitutionnelle relatif à la modification de l'article 34 (alinéa premier) de la Constitution. Cet article stipule : ‘En cas de décès, empêchement définitif ou de retrait d'un des deux candidats entre la publication de la liste des candidats et le premier tour, l'organisation de l'élection est entièrement reprise avec une nouvelle liste de candidats’.
Dans le bras de fer que Serigne Moustapha Saliou Mbacké a engagé contre certains membres de l'entourage de son père, le khalife général des mourides, son nouvel allié, Idrissa Seck, pourrait faire tomber dans son escarcelle les descendants de Serigne Touba que le fils de Serigne Saliou Mbacké est en train de démarcher dans ce sens. Il suffit juste à l'ancien Premier ministre de les persuader à poursuivre le combat pour l'accompagner dans sa lutte contre le président Abdoulaye Wade. Idrissa Seck et Serigne Moustapha Saliou Mbacké, même combat. Leur alliance conjoncturelle se justifie, en effet, par le fait qu'ils ont tous les deux le même adbersaire : le régime libéral.
Le régime parlementaire serait la panacée qui permettrait à la Cpa de contouner l'épineuse question de la candidature unique. En effet, la particularité d'un tel régime, c'est que le gouvernement sera issu de l'Assemblée nationale. Ainsi le perchoir sera plus valorisé parce que plus autonome. Et le poste de Premier ministre ne sera plus un faire-valoir pour factotum au service du chef de l'Etat. Ainsi, aucun leader de la Cpa ne réchignerait à occuper ces postes s'il n'est pas désigné candidat de la coalition à l'élection présidentielle de 2007.
La décision du juge de placer sous contrôle judiciaire Pape Malick Ndiaye n'agrée pas le procureur de la République qui a interjeté appel. Il revient, ainsi, à la chambre d'accusation, qui est une juridiction de second degré, de trancher.