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Une nouvelle entité, Le Front pour l’inclusivité et la transparence des élections (FITE), a vu le jour dans l’opposition pour notamment mener le combat pour la participation de Ousmane Sonko à l’élection présidentielle de 2024.
Moussa Taye, revient dans cet entretien sur les sujets d'actualité
![[Série casting présidentiel 4/8] Les dissidents de BBY : Comme Iznogoud, ils veulent tous ‘’être calife à la place du calife](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//cbeb480704804e308d2586572816d2d302305cf0.jpg)
Plusieurs candidats (pas des moindres) issus des flancs de Benno Bokk Yakaar (Bby) menacent de compromettre les chances de Amadou Ba. Aly Ngouille Ndiaye, Mouhamed Boun Abdallah Dione, Mame Boye Diao, entre autres rebelles, voulaient être candidat de Benno à la place de Amadou Ba.
En essayant de répondre coup sur coup à l’opposition, Amadou Ba risque de suivre les traces de Mahammed Dionne à la primature.
L’ancienne Première ministre n’a pas pris part hier, lundi, à l’élection du président de l’Assemblée nationale.
Le ministre Alioune Sarr renvoie l’image d’un homme serein qui déroute par une tranquillité dans l’approche des problèmes...
Tant la question de la moralisation de notre société et de ses dirigeants occupe le débat public.
Aphone depuis la mise en place du nouveau gouvernement, le Parti démocratique sénégalais ( PDS) élève la voix
Moussa Taye, revient dans cet entretien sur les sujets d'actualité
Rien n'est plus triste — ou ridicule, c'est selon — que de considérer tous les autres comme...
La sortie publique de l’ancien chef de l’Etat demandant, entre autres, un report de la présidentielle du 24 février et la mise en place d’un organe de transition démocratique, est largement commentée par les quotidiens parvenus mercredi à l’Agence de presse sénégalaise (APS), reléguant ainsi au second plan la campagne des candidats. ’’Me Wade abat ses cartes’’, affiche ainsi à sa Une Enquête qui semble entrevoir une perturbation de la présidentielle du 24 février.
![PRÉSIDENTIELLE 2019 (J -24) : [Profil 2/5] Idrissa Seck, le dernier des "Mohicans"](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//cf5b180a23d12c7c7209c0f64ee26573711df189.jpg)
Le leader du parti Rewmi, Idrissa Seck est le seul candidat de l'opposition retenu par le Conseil constitutionnel pour les échéances de 2019 à avoir déjà participé à une élection présidentielle.
Les parrainages et les investitures des candidats à l’élection présidentielle du 24 février 2019, ainsi que les remous dans les secteurs de l’éducation, de la santé et de la justice alimentent les quotidiens reçus mardi à l’APS. La Tribune s’intéresse à la ‘’présence’’ et à la ‘’prise de parole des présidents’’ de la Côte d’Ivoire et de la Mauritanie, Alassane Ouattara et Mohamed Ould Abdel Aziz, à la cérémonie d’investiture de Macky Sall, le candidat de la coalition Benno Bokk Yaakaar (BBY).
Au moment où dans la rue, les manifestations contre le parrainage font rage, à l'intérieur de l'Assemblée nationale, les députés examinent le projet de loi instaurant le parrainage.
Considéré jusqu’ici comme l’un des derniers partis politiques traditionnels à échapper à la fureur dévastatrice des régimes politiques, la formation du professeur Abdoulaye Bathily vient de succomber à son tour à l’épreuve des délices du pouvoir. La création du mouvement «Ld Debout» inscrit ainsi la Ld sur la longue liste des partis politiques au Sénégal avoir connu des troubles après leur contact avec le pouvoir.
La perspective d’une liste unique réunissant l’ensemble des composantes de l’opposition sénégalaise aux législatives du 30 juillet prochain, afin d’imposer une cohabitation au régime du président Macky Sall, semble devenir de plus en plus une simple illusion.
Aphone depuis sa sortie du Parti démocratique sénégalais, Abdou Khafor Touré sort de sa réserve. L’ex-membre de la Fédération nationale des cadres libéraux devenu entre-temps membre de l’Alliance pour la République (APR) défend le frère du Président Macky Sall et fustige le comportement de l’opposition qui, selon lui, est composée de nains politiques.
La mobilisation de l’opposition et de la société civile face à la majorité dans la perspective du référendum du 20 mars et les "résultats tangibles" du Sénégal en matière de politique budgétaire salués par Christine Lagarde sont les principaux sujets au menu des quotidiens reçus mardi à l’APS. L’As annonce la mise en place du "front anti-référendum" et titre : "Le Non à l’assaut de Macky".
![[POLITIQUE-MENT INCORRECT] Ministère de la «Ponction» publique : Pour une «crève» illimitée des «gens-saignants»](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//b7d8a683e527a98dcd27cd4fd68f936c9b63a769.jpg)
Bienvenue à ce nouveau numéro de la revue Politk-ment incorrecte, la seule revue indépendante qui ose tutoyer le locataire Palais, Monsieur 100 kilos de graisse si vous préférez, ou encore le chouchou de Mairie Aime, qui n’a pas été du tout chouchouté par des «gens-saignants» qui se croient tout permis. Oui, il parait que nous avons trop appuyé sur l’accélérateur le week-end dernier. Et ce n’est pas une raison de rétro-pédaler, rassurez-vous.
La coalition Bennoo Siggil Senegaal (BSS) a appelé lundi à l'apaisement et au respect du Pacte de stabilité sociale, les différentes forces sociales concernées par la crise de l'éducation et de la filière arachidière.
