États-Unis : le fils d’un ancien agent de l’ambassade du Sénégal à Washington tué par balle par... un autre Sénégalais
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États-Unis : le fils d’un ancien agent de l’ambassade du Sénégal à Washington tué par balle par... un autre Sénégalais
La ville de Touba s’apprête à accueillir de nombreux fidèles marque le départ en exil de Cheikh Ahmadou Bamba Khadimoul Rassoul. La ville sainte va grouiller de monde venu boire à la source du savoir du fondateur de Touba, dont les millions de pèlerins entendent commémorer le départ en exil. Un voyage qui leur a été bénéfique et dont ils veulent savourer les bienfaits. Ainsi donc pendant une journée, Touba va vibrer au rythme des «khassaïdes», des réjouissances et d’actions de grâce. Contrairement à la capitale dakaroise qui va se vider, au fil des jours, de sa population.
Les soit disant ‘baye fall’ qui passent leur vie à tendre la main ont été invités hier par le khalife général des mourides, par la voix de son frère cadet et porte-parole, à aller cultiver la terre. Serigne Bara s’est déclaré déterminé à lutter contre cette forme de mendicité, mais aussi contre le port d’habits indécents dans la cité religieuse. TOUBA - Serigne Mouhamadou Lamine Bara Mbacké s'est déclaré hier, par la voix de son frère cadet et porte-parole Serigne Abdou Fatah Mbacké, déterminé à lutter contre la mendicité des hommes valides, c’est-à-dire le ’madiale’ de soit disant ‘baye fall’ qu’il a invité à aller travailler la terre au lieu de tendre la main.
Lundi prochain la communauté mouride va célébrer en grandes pompes l’anniversaire de la naissance de Serigne Mouhamed Fadel Mbacké, affectueusement appelé Serigne Fallou par les taalibés. Le second khalife de Serigne Touba qui nous a quitté en 1968, continue toujours de marquer les esprits. Pour cette semaine, le Messager vous permet de mieux découvrir cet homme exceptionnel qui a fini de laisser une marque indélébile à l’Humanité. Une naissance sous le signe de la prodigalité. Un des signes distinctifs par lesquels on identifie le croyant véritable est la résignation devant les arrêts divins, si cruels puissent-ils paraître. Ainsi, lorsque le 13 juillet 1945, Serigne Mohamadou Moustapha fut ravi à l'affection de la Communauté Mouride, ce fut avec une douleur, indicible certes mais avec une totale soumission à la volonté de Dieu, que le pays tout entier vécut l'événement.