Le ministre des Affaires étrangères du Togo, Robert Dussey, a déclaré que son pays n’exclut pas de rejoindre l’Alliance des États du Sahel (AES).
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Le ministre des Affaires étrangères du Togo, Robert Dussey, a déclaré que son pays n’exclut pas de rejoindre l’Alliance des États du Sahel (AES).
Le ministre des Affaires étrangères du Togo, Robert Dussey, a déclaré que son pays n’exclut pas de rejoindre l’Alliance des États du Sahel (AES).
Sommet extraordinaire de la Cedeao à Dakar : Arrivée du président Blaise Compaoré
La campagne électorale pour la présidentielle du 26 février 2012 débute ce dimanche sur toute l’étendue du territoire. 14 candidats sont en lice pour la conquête du fauteuil présidentiel.
Début aux alentours de 10 heures (heure de Paris) du défilé militaire du 14-Juillet sur les Champs-Elysées à Paris, à suivre en direct sur RFI. A l'occasion de sa fête nationale, la France a invité des pays d'Afrique francophone qui célèbrent cette année le cinquantenaire de leur indépendance. Des soldats de 13 armées africaines, du Bénin au Cameroun, en passant par le Tchad et le Gabon, descendront les Champs-Elysées. Douze chefs d'Etats africains assisteront à la cérémonie.
On croyait révolu le temps ou l’époque des grands empires dynastiques depuis belle lurette. Mais on est tout le temps rattrapé par la réalité quotidienne qui tend toujours de plus en plus à nous ramener plusieurs siècles en arrière. Si à l’époque des grands empereurs, la succession héréditaire était un fait ouvert et connu de tous, elle prend de nos jours une allure masquée. On se sert du couvert de la démocratie pour élever aux plus hauts grades de la nation les fils des dictateurs. Comme une trainée de poudre, ça commence comme un jeu et ça se repend de plus en plus, sous le regard de la communauté internationale qui garde un silence complice et coupable.
Je vous propose, avant de présenter l’état de la démocratie dans mon pays, le Sénégal, de passer en revue, rapidement, son évolution récente en Afrique, évolution qui met en exergue deux crises de la démocratie. La première est une crise formelle parce qu’elle affecte son fondement, c’est-à-dire les normes qui, dans un système démocratique, doivent constituer des quasi-invariants. En effet, une des plus grandes faiblesses de la démocratie sur le continent africain reste encore l’instabilité normative qui se manifeste par des modifications partisanes et politiciennes des normes d’accession, de dévolution et de gestion du pouvoir, notamment de la Constitution et des lois électorales.
Sénégalais de la diaspora et membre du comité central de la Ligue démocratique (Ld), Mamadou Ndoye ancien ministre de l’éducation de Base, ne semble pas du tout optimiste quand à l’avenir du pays en cette veille d’élections législatives et présidentielle couplées. De son point de vue, « l’avenir est très obscurci », s’il en juge, dit-il, par les échos qu’il reçoit de la presse sénégalaise et de quelques compatriotes de passage à Paris.