Les mutilations génitales féminines (MGF) continuent de menacer la santé reproductive des femmes.
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Les mutilations génitales féminines (MGF) continuent de menacer la santé reproductive des femmes.
La Commission nationale des Droits de l’homme du Sénégal a initié une réflexion approfondie sur les droits humains à travers un dialogue parlementaire centré sur trois thématiques majeures : le droit de la famille, la protection de l’enfant et l’élimination des mutilations génitales féminines (MGF).
La Commission nationale des droits de l’homme du Sénégal a initié une réflexion approfondie sur les droits humains à travers un dialogue parlementaire axé sur trois thématiques majeures : le droit de la famille, la protection de l’enfant et l’élimination des mutilations génitales féminines (MGF).
Dans un communiqué cosigné, UNICEF, UNFPA et ONU Femmes dénoncent l’excision collective de 11 filles âgées de moins de cinq ans et appellent à une application stricte des lois en vigueur. Selon le document transmis à notre rédaction, ces fillettes, âgées de cinq mois à cinq ans, ont été excisées le samedi 15 février 2025 dans le département de Goudomp, région de Sédhiou. Les trois agences des Nations Unies déplorent que cet acte survienne quelques jours seulement après la commémoration nationale de la Journée internationale de tolérance zéro contre les mutilations génitales féminines (MGF), le 6 février.
Quand il était féticheur, persuadé que cela lui apporterait du "pouvoir", l'Ivoirien Moussa Diallo (*) s'est régulièrement enduit d'un onguent à base de gland du clitoris d'une femme excisée réduit en poudre.
Les chiffres sont alarmants.
Il urge de mettre fin aux mutilations génitales féminines (MGF), plaide le directeur pays de l'ONG ActionAid.
Depuis plus de 20 ans, le Sénégal dispose d’une loi interdisant les mutilations génitales féminines. Les acteurs louent d'ailleurs les efforts notés ces dernières années sur le plan législatif et opérationnel...
« Tous unis ! L’Activisme pour l’élimination de la violence à l’égard des femmes et des filles ». Durant 16 Jours d’activisme et de lutte contre la violence à l’égard des femmes et des filles...
La quasi-totalité des communautés ethniques et villageoises de la région de Sédhiou ont déclaré avoir abandonné l'excision, cette pratique culturelle aussi vieille que l’histoire. Mais entre ces bonnes intentions et la réalité du terrain, il y a bien un fossé...
Le chirurgien gynécologue obstétricien, Dr Daouda Ciss a presque donné un cours magistral sur l’hyménoplastie ou la réparation de l’hymen...
Seneweb a pu entrer en contact avec une vieille dame qui pratique l'excision comme métier. Dans l’anonymat, cette praticienne âgée de 76 ans nous explique un peu plus sur cette pratique...
Leurs témoignages fendent le cœur. Certaines femmes excisées ressentent des douleurs atroces lors des rapports sexuels avec leur époux.
La Journée internationale contre les mutilations génitales féminines (Mgf) sera célébrée ce dimanche 6 février 2022. Avec pour thème «Zéro tolérance contre les Mgf»...
Au Sénégal, la fréquence des violences basées sur le genre a fait l’objet d’une étude du Geste appuyé par les partenaires comme Onu femmes. Cette étude notifie 57,3% des violences au sein des ménages.
Des décennies après son excision, Hakam Ibrahim se souvient encore de la "douleur atroce" ressentie, enfant, au moment de son excision, une pratique ancestrale qui reste très répandue au Soudan, où elle est toutefois en passe d'être punie par la loi.
La mort de la fillette a suscité l’émoi sur les réseaux sociaux et a été condamnée par l’Unicef
Dans un communiqué cosigné, UNICEF, UNFPA et ONU Femmes dénoncent l’excision collective de 11 filles âgées de moins de cinq ans et appellent à une application stricte des lois en vigueur. Selon le document transmis à notre rédaction, ces fillettes, âgées de cinq mois à cinq ans, ont été excisées le samedi 15 février 2025 dans le département de Goudomp, région de Sédhiou. Les trois agences des Nations Unies déplorent que cet acte survienne quelques jours seulement après la commémoration nationale de la Journée internationale de tolérance zéro contre les mutilations génitales féminines (MGF), le 6 février.
Quand il était féticheur, persuadé que cela lui apporterait du "pouvoir", l'Ivoirien Moussa Diallo (*) s'est régulièrement enduit d'un onguent à base de gland du clitoris d'une femme excisée réduit en poudre.
Leurs témoignages fendent le cœur. Certaines femmes excisées ressentent des douleurs atroces lors des rapports sexuels avec leur époux.