Grève dans les Universités : La Fenapes appelle au dialogue et à la retenue
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Grève dans les Universités : La Fenapes appelle au dialogue et à la retenue
Abdoulaye Fané reste le président de l’Union nationale des parents d’élèves et d’étudiants du Sénégal (Unapees). Il a été reconduit à son poste pour un mandat de 4 ans, à l’issue d’une assemblée générale ordinaire tenue à Rufisque, dimanche 10 décembre.
Le G6 vient de lever son mot d'ordre de grève à la suite d'une audience avec le Chef de l'État qui a décidé de porter l'indemnité de logement à 100 mille francs Cfa à partir de janvier 2020.
Le jeudi 19 avril 2018, le monde entier avait les yeux braqués sur le Sénégal et notamment sur Dakar où la loi sur le parrainage devait être votée à l’Assemblée nationale.
La Fédération nationale des associations de parents d’élèves et d’étudiants du Sénégal (FENAPES) a lancé "un cri du cœur, un appel" aux enseignants pour leur demander de "porter leur casque de parents d’élèves et de prendre en compte la centralité de l’élève pour sauver l’école".
Pour l’année académique 2016/2017, les associations de parents d’élèves ne sont pas contentes de l’organisation du baccalauréat et du Brevet de fin d’études moyennes (Bfem). L’Union nationale des parents d’élèves et d’étudiants du Sénégal (Unapees) et la fédération nationale des associations de parents d’élèves et d’étudiants du Sénégal (Fenapes) s’indigent et exigent l’aboutissement des enquêtes sur les fuites constatées dans l’examen du premier diplôme universitaire.
Le système éducatif sénégalais, longtemps vanté comme étant parmi les meilleurs en Afrique subsaharienne, doit désormais faire face à un nouveau défi : écarter au plus vite la suspicion qui entoure les examens et concours, faute de quoi c’est tout le système qui risque d’être frappé de discrédit.
Que vaut l’école publique sénégalaise à l’heure de l’application des directives présidentielles dégagées lors des Assises de l’Education et la Formation et les Concertations nationales sur l’avenir de l’enseignement supérieur (Cnaes) ? Les plans d’actions des syndicats d’enseignants ne constituent-ils pas désormais un programme à part entière d’une année académique sénégalaise ? Au regard de l’état de déliquescence de l’école publique, les réponses coulent de source.
Les quotidiens parvenus vendredi à l’APS traitent de divers sujets d’actualité, dont le blocage aux frontières entre le Sénégal et la Gambie. Les deux parties se rejettent la responsabilité de cette situation, étant entendu que les transporteurs routiers du Sénégal, pour leur part, ont décidé de boycotter la transgambienne, pour protester par exemple contre le renchérissement, selon eux, des taxes appliquées en Gambie pour le passage des gros porteurs sénégalais.
Le secteur de l'éducation est marqué au Sénégal par l'absence d'un ‘’dialogue de qualité’’ entre l'Etat et les syndicats d'enseignants, a affirmé vendredi à Dakar, Youssoupha Wade, président du comité national pour le dialogue social (CNDS), appelant les deux parties à respecter leurs engagements.
Le secrétaire général départemental du Cadre unitaire syndical des enseignants du moyen et du secondaire (CUSEMS), Modou Ngom, invite les partenaires de l’école à s’investir pour un apaisement du climat social ''en ébullition du fait notamment du non-respect par le gouvernement'' du protocole d’accords avec les enseignants.
Le secrétaire général de l'antenne régionale du Syndicat des enseignants libres du Sénégal (SELS), Mbaye Sarr a dénoncé, dimanche à Kaolack (centre), l'attentisme dont font preuve les différentes organisations de parents d'élèves qui ne "réagissent que quand la crise scolaire s'installe" à l'école.
Trois ans d’arriérés de paiement des déplacements ordinaires (Od) dans les académies. Il n’en fallait pas plus pour irriter inspecteurs, formateurs, professeurs et agents de bureau. Devant la démotivation générale, la fédération nationale des associations des parents d’élèves et étudiants du Sénégal (Fenapes) entend défendre le dossier.
En congrès à Sédhiou, le secrétaire général (Sg) de la fédération nationale des associations de parents d’élèves étudiants du Sénégal (Fenapes) a expliqué le choix de Sédhiou. Il a fait le bilan de la structure et est revenu sur un certain nombre de questions d’actualité notamment sur la crise qui couve à l’université. Il s’est prêté aux questions de Seneweb News.
« Que l’état se libère des enseignants sans vocation et que ceux-là aillent faire autre chose» a lancé Bakary Badiane, président de la fédération des parents d’élèves et étudiants du Sénégal (Fenapes). Il a dénoncé le comportement des enseignants actuels peu soucieux de l’avenir des élèves indexant ceux qui s’opposent à leur redéploiement pour des nécessités de service..
La Coalition des organisations en synergie pour la défense de l’éducation publique (Cosydep) a mis en place un dispositif de participation des Acteurs non étatiques (Anes) pour une gouvernance efficace du système éducatif. Ce projet a été présenté, hier, à la presse, en présence de partenaires, notamment l’Ue, Enda Graf Sahel, Fenapees et Rocare.
Comme tous les ordres d’enseignement du secteur de l’Education, l’enseignement supérieur traverse une crise liée à des questions multiples, dont les plus frappantes sont le manque criant d’infrastructures (pédagogiques, d’hébergement, bureaux) et l’insuffisance des budgets alloués.
La Fédération nationale des associations de parents d’élèves et d’étudiants du Sénégal (FENAPES) a demandé jeudi, à Dakar, aux syndicats de "surseoir à toute action de nature à perturber l’organisation paisible des examens'', tout en invitant les pouvoirs publics à ''diligenter les négociations sans délai''.
La réunion du comité de suivi tant réclamée par le Syndicat autonomede l’enseignement supérieur(Saes) a finalement eu lieu. Toutefois,tous les espoirs d’accord entre les différentes parties se sontenvolés. Du côté des syndicalistes, on évoque « une grande déceptiondue au comportement inqualifiable du gouvernement qui fait fi desinstructions du président ».
L’année universitaire vient d’être sauvée à l’Ecole polytechnique de Thiès (Ept). Les cours ont finalement repris jeudi dernier grâce à la médiation de la Fédération nationale des parents d’élèves du Sénégal (Fenapes). L’espoir est désormais permis à l’Ept de Thiès. Les cours ont finalement repris depuis le jeudi dernier grâce à la médiation des partenaires de l’école comme la Fenapes. Les différentes parties se sont accordées sur la stratégie à adopter devant le refus des étudiants de la formation initiale d’accepter que leurs camarades de la formation payante suivent des cours du jour dans l’établissement. Une crise qui avait fini par plomber le fonctionnement de l’école de formation d’ingénieurs.