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Dans l’ombre discrète des villages reculés du Sénégal, certaines souffrances restent silencieuses, ensevelies sous le poids des traditions et du manque de soins. Hawa Diaw, mariée à l’âge de 13 ans, en est une illustration parfaite.
Sa vie, marquée par la fistule obstétricale, est un parcours parsemé de douleurs physiques intenses, d’abandon conjugal et de précarité économique. Pourtant, Ramata Niang, c’est son nom, au cœur de ces épreuves, a puisé sa force dans l’amour indéfectible de sa famille et l’espoir tenace d’une guérison qui lui redonnera la dignité et la sérénité. Mère de quatre enfants, elle incarne le visage poignant de cette réalité trop souvent oubliée.
«Je sentais mauvais…» : victimes d’incontinence urinaire et fécale, deux femmes racontent leur calvaire avant la victoire contre la maladie
Pour la session 2025 du baccalauréat général, débutée ce mardi 1er juillet, les épreuves se déroulent sans encombre au lycée de Diaobé, dans le département de Vélingara.
À l’occasion de la Journée internationale de la femme, ce 8 mars 2025, la CEDEAO, via son Centre pour le développement du genre (CCDG), a scellé un partenariat avec le ministère sénégalais de la Famille et des Solidarités.
La fistule obstétricale (perforation entre le vagin et la vessie et/ou le rectum) est l’une des lésions qui met la femme en marge de la société.
Dans le Plan national de développement sanitaire et social (PNDSS 2019-2028), la santé maternelle constitue une des priorités du gouvernement.
Des gaps importants persistent dans l’offre de soins et l’accès aux services de santé et d’action sociale et dans la prise en charge des indigents et groupes vulnérables.
Engagée en faveur de la promotion de l'égalité de genre et de l'autonomisation des femmes, la CEDEAO veut harmoniser les stratégies liées au développement du capital humain et social par l'implication et la participation de toutes les entités pour un monde égalitaire, dans la paix et la justice.
La fistule obstétricale est un problème de santé publique au Sénégal. Qualifiée de « Maladie de la honte », elle affecte la santé de nombreuses femmes au Sénégal.
Après des années de désespoir, place à l’espoir
90 prestataires de santé ont été formés en prise du pré éclampsie et l'éclampsie en 2019 dans la région de Kolda.
Hier lundi 23 mai, les autorités administratives et sanitaires de Sédhiou ont célébré la journée mondiale de lutte contre la fistule obstétricale.
La fistule obstétricale (perforation entre le vagin et la vessie et/ou le rectum) est l’une des lésions qui met la femme en marge de la société.
La fistule obstétricale est un problème de santé publique au Sénégal. Qualifiée de « Maladie de la honte », elle affecte la santé de nombreuses femmes au Sénégal.
Après des années de désespoir, place à l’espoir
Hier lundi 23 mai, les autorités administratives et sanitaires de Sédhiou ont célébré la journée mondiale de lutte contre la fistule obstétricale.
La journée internationale pour l’élimination de la fistule obstétricale a été célébrée ce jeudi 08 juin à Bargny. Une journée organisée par le ministère de la Femme, de la Famille et de l'Enfance et qui a été marquée par des échanges sur cette maladie peu connue et qui touche plus d’une centaine de femmes au Sénégal.
Son visage parait si innocent. Sa mine à la fois frêle et éclatante bien qu’elle soit dans un lit d’hôpital, couverte d’un petit drap blanc. Mais elle est toutefois faible, et épuisée que ses mots s’arrachent difficilement de ses lèvres timidement sèches.
Pour la quatrième fois?,? cette année, le monde va célébrer ce 23 mai la journée dédiée à la lutte pour l’élimination de la fistule obstétricale. Les plus remarquables acteurs de cette lutte au Sénégal ont convié la presse ce mercredi pour un partage d’information et de sensibilisation. ?I?l s’agit du ministère de la Santé et de l’Action sociale, du ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfance, des O?ng Amref (African Medical and Research Foundation), Tostan, Usu, Article 19, Unfa et l’Hôpital général de Grand-Yoff (Hggy) qui a abrité la rencontre.
