Le rectorat de l’université Amadou Mahtar Mbow (UAM) a réagi aux accusations formulées par la section SUDES-ESR, qui dénonçait une prétendue « forfaiture » du recteur dans la gestion d’un différend concernant un enseignant-chercheur.
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Le rectorat de l’université Amadou Mahtar Mbow (UAM) a réagi aux accusations formulées par la section SUDES-ESR, qui dénonçait une prétendue « forfaiture » du recteur dans la gestion d’un différend concernant un enseignant-chercheur.
Université Amadou Mahtar Mbow : Le SUDES-ESR dénonce une «forfaiture» du recteur
Pour justifier la décision unilatérale, inopportune et illégale de reporter l’élection présidentielle du 25 février 2024, certains redresseurs de tort de Macky Sall, à court d’arguments, évoquent la proposition de report consensuel formulée en octobre 2023 par Boubacar CAMARA Kamâh, aujourd’hui candidat à l’élection présidentielle du 25 février 2023.
Ce 3 février 2024, le président Macky Sall, en interrompant in extremis et illégalement le processus électoral, a plongé le pays dans une torpeur inédite et a embarqué celui-ci dans une aventure aux lendemains plus qu’incertains. Le plan de liquidation de la démocratie sénégalaise, que le régime en place déploie depuis une douzaine d’années, trouve son bouquet final dans cet acte d’annulation du processus électoral.
Nous journalistes sénégalais, avons décidé de faire cette Tribune pour nous insurger contre une troisième candidature de l'actuel président Macky Sall
"Le Sénégal est malade de la perversion des principes républicains et de la déliquescence morale de ses dirigeants."
L'inspecteur des impôts et domaines, radié de la fonction publique, organise aujourd'hui à Paris la cérémonie de dédicaces de son ouvrage : "Pétrole et Gaz du Sénégal, Chronique d'une spoliation". L'auteur, qui est également leader du parti Pastef, passe au peigne fin la gestion des ressources pétrolières et gazières et décrit l'ampleur du pillage en soulignant la part de responsabilité des différents acteurs. "L'As" a parcouru le livre pour vous et vous en délivre quelques extraits.
On connaissait, bien sûr, l'engagement récent du député apériste à soutenir le projet de légalisation de l'IVG (interruption volontaire de grossesse) promu par les lobbies féministes au Sénégal. Son activisme soudain et très dynamique à soutenir ce projet de société avait même surpris plus d'un à l'époque.
Moustapha Niasse a bien œuvré à la mort de Bennoo Siggil Senegaal (BSS), une coalition qui l’a pourtant soutenu au premier tour de la présidentielle. Macky 2012 vient de recevoir un coup de grâce de la part du Président de la République qu’il a réussi à porter au pouvoir. Il y a lieu de s’interroger sur les vraies motivations et sur l’attitude des deux premières personnalités de l’Etat à vouloir se débarrasser de leurs soutiens.
Que ceux qui ont rêvé de pardon présidentiel pour Malick Noël Seck se rassurent, Wade ne pardonne que les coupables ! Célébrons ensemble le courage des hommes du M23 et tous ceux qui se sont associés a leur geste, en adoptant la seule attitude qui s’impose a l’heure actuelle : Signer la lettre de Malick Noel Seck et la remettre aux membres du Conseil Constitutionnel. Je dis bien les Hommes du M23, ni les « Jeunes », ni les « Militants », ni les « Activistes ». Épithètes paternalistes à l’usage de planqués septuagénaires qui ne souffrent pas des mêmes maux que nous.
La tenue du Séminaire de Benno le 17 Septembre 2011 a permis de franchir un pas décisif pour le choix d’une « Equipe et d’un Candidat de l’Unité et de Rassemblement » en perspectives des élections présidentielles et législatives de 2012. A cet égard, le Séminaire a d’emblée clarifié définitivement le débat sur la Transition, en réaffirmant qu’elle est une nécessité et que sa durée est de trois ans au maximum.
Le mouvement religieux Moustarchidina Wal Moustarchidaty « condamne avec fermeté ce projet de loi et en appelle à la responsabilité de tout un chacun pour mettre un terme à son processus d’adoption ». Dans un communiqué parvenu à SenewebNews, le mouvement de Serigne Moustapha Sy souligne que « l’avenir du Sénégal et l’intérêt supérieur de son peuple doivent prévaloir sur toute autre considération ».
« Abdoulaye WADE entre sa Cour Constitutionnelle, sa Haute et Basse-cour parlementaire(Assemblée nationale et Sénat) » j’y avais relevée l’effondrement de notre système démocratique à travers le « coup d’état » institutionnel et électoral planifié par le Président de la République de par sa candidature inconstitutionnelle et irrecevable à la présidentielle de 2012 et le dispositif gouvernemental et administratif mis sur pied pour le concrétiser.
‘’L’âge très avancé du Président Wade est une source légitime d’inquiétude pour tous nos compatriotes, y compris jusque dans son camp, quant à sa capacité à diriger convenablement les affaires de la Nation’’
Ce n’est pas Ousmane Tanor Dieng qu’il faut plaindre, c’est le Parti socialiste. Et ce n’est pas le Parti socialiste qu’il faut accuser, mais Ousmane Tanor Dieng lui-même. De nombreux responsables socialistes sont consternés par l’aveuglement dans lequel se tient leur secrétaire général, pour faire tout ce que Laurent Gbagbo lui dicte de faire
Le Bureau politique de l’AFP a analysé la situation nationale, au plan de la gouvernance institutionnelle et des politiques publiques pour un développement profitable à tous. A cet égard, les tenants du pouvoir ne tiennent aucunement compte de l’indignation générale, qui s’exprime même dans certaines franges de leur propre camp. Pris dans l’étau de son projet de dévolution dynastique du pouvoir, M. Wade a transformé son gouvernement en un organe qui donne l’impression de tourner en rond et incapable de résoudre des problèmes aussi cruciaux.
Œil pour œil, dent pour dent. C’est ce que les jeunes de l’Apr comptent appliquer suite à l’agression de leurs camarades Youssou Touré et Ameth Suzanne Camara. Que les responsables du Parti démocratique sénégalais (Pds) se le tiennent pour dit : la prochaine fois qu’un membre de l’Alliance pour la République (Apr) sera victime d’une agression, c’est le parti au pouvoir qui va en pâtir. En conférence de presse, hier, à leur siège sis sur la Vdn, les jeunes camarades de Macky Sall ont dit leur détermination à faire, désormais, face à toute agression physique venant des militants du parti au pouvoir.
Même à l’Assemblée nationale, Me El Hadji Diouf enfile sa robe d’avocat pour défendre les populations contre les projets et propositions de loi qui vont à l’encontre de leurs intérêts. Qualifiant la création du poste de vice-président de bizarrerie institutionnelle et d’hérésie politico-constitutionnelle, le célèbre avocajuge cette trouvaille inutile et inopportune. Après avoir réfuté la thèse de la promotion de la femme avancée par le Président Wade, pour créer une telle institution, Me El Hadji Diouf en appelle à une mobilisation générale pour empêcher cette forfaiture.
Les gueules enfarinées, qui attendaient du discours de l’Indépendance, un retournement d’Abdoulaye Wade, en sont présentement à leur frais ! Il a encore douché notre optimisme, j’allais dire notre ingénuité. Décidément le Président de la République, n’a pas retenu la leçon ! Il reste droit dans ses bottes. Sa réponse de Normand à l’avertissement solennel du 22 Mars est simplement « irrelevant ! » (hors sujet), comme auraient dit les Anglo-saxons. En deçà de nos attentes ! Il est regrettable, que ce coup de tonnerre n’ait même pas fissuré le mur de surdité qui entoure le chef de l’état.
Professeur en Sciences de la communication ayant enseigné dans plusieurs universités américaines, journaliste, Jacques Habib Sy, actuel directeur de l’Ong régionale africaine, Aide Transparence, passe en revue la situation actuelle du Sénégal, plongé dans une crise économique, financière et sociale et des dérives sans précédent, sous le règne du Président Wade. Agressions, tortures physiques et morales sur des journalistes, des opposants, des gens de la société civile; bref, tous ceux qui ne sont pas dans les grâces du régime. Comment vous analysez plus profondément ce phénomène aujourd’hui ?