CFEE, BFEM, Bac… aucun examen n’a été épargné par les cas de fraude cette année.
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										CFEE, BFEM, Bac… aucun examen n’a été épargné par les cas de fraude cette année.
 
										Le commissariat central de Guédiawaye a déféré ce matin le directeur de Diaz School. P. M. Touré est poursuivi pour escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux et fraude aux examens (Bac et BFEM) selon des sources de Seneweb proches du parquet. Son arrestation est consécutive à des plaintes déposées sur la table du limier en chef de Guédiawaye.
 
										Le commissariat central de Guédiawaye a déféré ce matin le directeur de Diaz School. 
 
										La fausse candidate, âgée de 24 ans et qui vient de décrocher le Bac, tentait de composer à la place de sa tante.
 
										"D’ailleurs mes élèves ont reçu des menaces verbales et des injures venant de la part des surveillants et des secrétaires de jury."
 
										Après le Bac et le Bfem, une autre affaire de triche éclabousse le concours de la police qui a eu lieu le 6 août dernier.
 
										Elles sont poursuivies pour fraude aux examens, usurpation d’identité et association de malfaiteurs.
 
										il n’en est pas à son coup d’essai.
 
										Le commissariat central de Guédiawaye a déféré ce matin le directeur de Diaz School. P. M. Touré est poursuivi pour escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux et fraude aux examens (Bac et BFEM) selon des sources de Seneweb proches du parquet. Son arrestation est consécutive à des plaintes déposées sur la table du limier en chef de Guédiawaye.
 
										Le commissariat central de Guédiawaye a déféré ce matin le directeur de Diaz School. 
 
										La fausse candidate, âgée de 24 ans et qui vient de décrocher le Bac, tentait de composer à la place de sa tante.
 
										L’année scolaire 2016/2017 a été relativement stable, sans perturbations récurrentes. Cela devrait être une année académique avec zéro faute, n’eûssent été les fuites et fraudes notées lors des évaluations nationales, notamment le baccalauréat et le Brevet de fin d’étude moyenne (Bfem). Et pourtant, le respect du quantum horaire n’a pas eu des résultats escomptés.
 
										Après le bac, les fuites touchent aussi le Bfem, qui a débuté jeudi. Les premiers cas de fraude ont été relevés à Saint-Louis hier, vendredi 14 juillet.
 
										Des nuages planent à nouveau sur l’année académique. D’un côté, le cadre unitaire syndical des enseignants du moyen et secondaire (Cusems) menace de perturber l’année scolaire si le gouvernement ne prend pas en compte leurs revendications. Et d’un autre, le Syndicat unitaire et démocratique des enseignants du Sénégal (Sudes) promet d’aller en grève.
 
										Encore une histoire de fraude dans l’éducation nationale. Cette fois-ci, il ne s’agit pas de cas isolés de candidats à l’examen du Bac ou du Bfem. C’est à une plus grande échelle puisque concernant le concours de recrutement des élèves-maîtres. Sur les 2 545 admis de cette année, 490 l’ont été suite à des falsifications de notes.
 
										L’administration territoriale, par le biais des sous-préfectures, a instauré dans les villages et hameaux la culture des "cahiers de village" considérés comme des centres d’état civil décentralisés pour la déclaration normale à la naissance, à l’instar de l’arrondissement de Bandafassi (sud-est).
 
										Le Baccalauréat, après le Bfem, est, sans nul doute l’examen qui connait le plus de tricheries, de la part des candidats. Diourbel, après Mbacké, vient de connaitre son premier cas. L’histoire se passe au Jury 425 dont les quartiers sont installés au niveau du lycée d’enseignement général de Diourbel
 
										Prolongement de la vie courante, l’école sénégalaise n’échappe pas aux phénomènes sociaux. Viol, pédophilie, harcèlement sexuel, mariages et maternités précoces sont bien présents dans l’espace scolaire. « Qu’est-ce qui a changé ? Comment l’appareil scolaire, jusque-là outil d’éducation exemplaire, a-t-il perdu sa place ? Pourquoi le ’’maître’’ ne bénéficie plus du même respect qu’autrefois ? Pourquoi a-t-il changé, le regard que l’élève jette sur l’enseignant ? Le Soleil a cherché à savoir. Depuis quelques semaines, le meurtre de Katy Guèye, élève en classe de Terminale à Kaolack, défraie la chronique. Il y a deux ans, à Mbour, sur la Petite Côte, à soixante-dix kilomètres de Dakar, une candidate au Baccalauréat, pensionnaire du lycée Coumba Ndoffène Diouf, a été également violée et tuée.
 
										Badou Ndiouck alias Ngouda Ndiouck est vraiment un as de la fraude et de la tricherie. N'ayant que le certificat d'études primaires et élémentaires durant toute sa scolarité, il a quand même réussi à enseigner comme professeur vacataire de mathématiques à Mboro et à Pire Gourèye avant d'être arrêté. C'est à la suite d'une lettre anonyme datée du 1e juillet 2007 provenant du village de Pire que Mouhamamadou Moustapha Ndiaye, inspecteur d'académie de Thiès, a été informé de ce que Badou Ndiouck,
 
										Les élèves de classes de terminale de toutes les régions du Sénégal vivent un calvaire insoutenable. En effet, après avoir passé les épreuves du redoutable examen du Bac, ils restent confrontés à une situation dont ils ne comprennent rien. Idem pour les parents d’élèves dont les efforts consentis depuis plusieurs années sont entrain d’être hypothéqués par un mouvement de grève des syndicats d’enseignants qui ont attendus ce moment fatidique pour poser une nouvelle fois leurs revendications sur la table de négociation. Cette grève aux allures de chantage qui retarde la proclamation des résultats du Bac, amène beaucoup de nos concitoyens à se poser un certain nombre de questions relatives au degré de responsabilité de ces enseignants dont une bonne partie se comporte comme s’ils n’avaient pas de progénitures encore élèves. La possibilité de fraudes, avec le stockage prolongé des copies qui devaient être corrigées dans les brefs délais, ne devrait effrayer plus personne...