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La Brigade de proximité de la gendarmerie de Kaël a procédé à l'interpellation nocturne d'un trafiquant de drogue recherché qui sévissait à Mbacké et ses environs.
Visage dur, ton sentencieux et amer, hoquets virils et surenchère à l'autorité. C'est ainsi qu'est apparu le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, devant les membres de son parti dans une adresse pour le moins surréaliste.
Le leader du mouvement Senegal bi nio bokk, Barthélemy Dias, a annoncé, ce lundi 21 juillet, la mise en place d’une nouvelle coalition d’acteurs politiques.
Invité du "Jury du dimanche" sur iRadio, Elimane Haby Kane, président de Legs Africa, a répliqué à la sortie controversée du Premier ministre Ousmane Sonko. Ce dernier avait qualifié certains membres de la société civile de « fumiers ». Pour l’activiste, « cette déclaration est indigne d’un homme d’État et révèle une dérive de langage qui abîme la fonction ».
Thierno Bocoum, leader du mouvement Agir, hausse le ton contre le Premier ministre, qu’il qualifie d’« effaceur autoproclamé », plus prompt à traquer les critiques qu’à assumer ses responsabilités républicaines.
Sonko et les «fumiers» : Penda Mbow s’en mêle
Le think tank Afrikajom Center a publié, samedi dernier, le rapport «Sunu Gis-Gis», «Le Président Diomaye Faye, de l’opposition radicale à l’exercice du pouvoir d’État, An 1».
Tout le monde en a pris pour son grade. Le président du parti PASTEF/Les patriotes a défrayé la chronique, ce 10 juillet, lors de l’installation du Conseil national de son parti. Ousmane Sonko s’est montré particulièrement virulent à l’égard de la société civile qu’il a qualifiée de « fumiers ».
À la nervosité de Ousmane Sonko, Alioune Tine préfère l’humour
Le député et ancien vice-président de l’Assemblée nationale, Abdou Mbow, a vivement attaqué le Premier ministre Ousmane Sonko, l’accusant de dérives autoritaires, de mise en péril des institutions de la République et de tentative de captation du pouvoir Exécutif au détriment du président Bassirou Diomaye Faye.
Dans son discours d’hier soir, le leader de Pastef, Ousmane Sonko, a sévèrement taclé la société civile, qu’il a qualifiée de « fumiers ».
![[Focus] Qu'est-ce qui fait courir les figures de la société civile ?](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//af7c65369c2e322ac9869cb98c29d118ae53f38b.jpg)
Sur les réseaux sociaux ou les plateaux de télévision, certains membres de la société civile sénégalaise sont critiqués par des acteurs politiques.
"Ces fumiers-là". C'est en ces mots que le leader de Pastef, Ousmane Sonko, a qualifié les membres de la société civile. Certains en rient, d'autres s'en désolent, mais ce qui est sûr, c'est que ces propos font beaucoup réagir.
Lors d’une réunion politique du Pastef ce mercredi, le Premier ministre Ousmane Sonko a balayé les rumeurs de tensions au sommet de l’État et de possible démission, affirmant avec force sa détermination à rester en poste. « On parle de démission, mais je ne vais nulle part. Ils pensent pouvoir me pousser vers la sortie, mais c’est peine perdue. J’ai une responsabilité », a-t-il déclaré.
Dans cette dernière partie, Jean-Paul Dias revient sur le Far-west de la mairie de Sicap Baobab, qui a occasionné la mort de Ndiaga Diouf, et l’arrestation de Barthélemy Dias. Mais aussi, l’affaire Habré, la motion de censure contre le gouvernement de Abdoul Mbaye et la parité.
Le maintien de Cheikh Béthio Thioune en prison cache mal l’intention du gouvernement de l’assassinat. Telle est la conviction de Farba Senghor.
S'il écoute Jean Paul Dias, Macky Sall maintiendra son mandat à 7 ans. Pour le leader du Bcg, cette question n’est pas négociable puisque Macky a juré de respecter la Constitution. Dias dit à qui veut l’entendre que le programme de Macky Sall n’est pas celui des Assises nationales et que comme tel, le mandat du président de la République doit rester à 7 ans.
Le responsable des enseignants de l’Alliance pour la République (Apr), Youssou Touré, s’en est pris en fin de semaine, aux « fumiers leaders de parti qui, au lieu de se tenir à carreau, se permettent de berner le peuple». A Kaolack, M. Touré a apporté la réplique à Aboulaye Wilane, porte-parole du Parti socialiste, qui fustigeait le fait que Macky Sall n’a pas voulu signer la résolution à l’issue du séminaire de Bennoo Siggil Senegaal au cours duquel la majeure partie des formations politiques de l’opposition se sont engagées pour une candidature unique de l’opposition.
Lire cette contribution salée sur le ministre Aliou Sow : Aliou SOW est un revanchard. Je suis très indigné, outré et persécuté par les comportements irresponsables de ce monsieur et les comploteurs qui veulent saper la cohésion et le moral des jeunesses libérales.
S’il y a quelqu’un qui devrait être bien dans sa peau, c’est bien Pape Samba Mboup. Ministre Chef de Cabinet, il avait très tôt dit que Wade est entouré de «traîtres et de comploteurs, qui ne l’aident pas dans son travail». Aujourd’hui, l’histoire semble lui avoir donné raison car, Wade a signé un décret en date du 6 avril dernier, mettant fin aux fonctions de plusieurs de ses collaborateurs, dont Babacar Gaye, Abdoulaye Faye, Assane Bâ et d’autres conseillers techniques encore dans l’ombre, et qui collaboraient toujours avec ces responsables cités plus haut.
