La ville et la métropole ont refusé de signer le chèque de 180.000 euros demandé par le Cojo pour le passage de la flamme. Tout comme plusieurs départements de droite, dont celui du Rhône.
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La ville et la métropole ont refusé de signer le chèque de 180.000 euros demandé par le Cojo pour le passage de la flamme. Tout comme plusieurs départements de droite, dont celui du Rhône.
Cette stratégie, d’ailleurs, a quelques similitudes avec celle adoptée par Emmanuel Macron en France.
On ne compte plus les passes d'armes marcheurs-écologistes. Dernière en date: le choix de la mairie de Strasbourg de subventionner la construction d’une mosquée.
Raz-de-marée vert aux municipales, Philippe élu au Havre
Le maire de Lyon, Gérard Collomb, espère voir Emmanuel Macron avant les vacances de cet été pour discuter des élections municipales dans sa ville, estimant que le chef de l’Etat sera à la manoeuvre pour choisir les candidats La République en Marche (LaRem) dans les grandes villes.
L'ex-ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a été facilement élu maire de Lyon lundi, avec 41 voix sur 73 lors d'un scrutin marqué par de nombreuses abstentions et bulletins nuls, a constaté l'AFP. Sur 73 conseillers municipaux, 14 n'ont pas pris part au vote - 13 se sont abstenus sur place et un était absent. Et parmi les 59 votants, 10 ont déposé dans l'urne un bulletin blanc. Un mois après sa démission du gouvernement, Gérard Collomb a obtenu 41 voix contre 8 à son unique concurrent, le maire centriste du 2e arrondissement Denis Broliquier.
Le remaniement annoncé mardi, qui politise l’équipe gouvernementale, vise à empêcher les dissonances des derniers mois et à convaincre les Français qu’Emmanuel Macron n’est pas que le président des grandes villes, estiment des analystes. Selon la présidence de la République, le mandat du nouveau gouvernement “reste le même”.
Emmanuel Macron a démenti mercredi lors du conseil des ministres “toute crise politique” quelques heures après avoir accepté la démission de Gérard Collomb à l’issue d’un bras de fer inédit de deux jours entre le ministre de l’Intérieur et l’Elysée. Le chef de l’Etat a “souligné que c’était un choix qui appartenait à Gérard Collomb, il a rappelé aux membres du gouvernement les liens personnels entre lui-même et Gérard Collomb”
L’opposition a brocardé mercredi un gouvernement changé en “radeau de la Méduse” après la démission de Gérard Collomb qui, en mettant Emmanuel Macron devant le fait accompli, a ouvert une “crise majeure” et torpillé l’autorité du chef de l’Etat aux yeux de la droite comme de la gauche. Les ministres qui se sont succédé au micro des radios après cet épisode, comparable par sa dramaturgie au départ de Nicolas Hulot un mois plus tôt, ont en revanche insisté sur la continuité de l’Etat, manière d’écarter toute crise.
Visage fermé et ton grave : la passation de pouvoir entre Gérard Collomb et le Premier ministre Edouard Philippe s’est déroulée dans une ambiance glaciale mercredi matin place Beauvau, épilogue de deux jours de bras de fer entre le ministre de l’Intérieur démissionnaire et l’Elysée. Le chef du gouvernement, appelé à assurer l’intérim, et Gérard Collomb ont prononcé quelques mots, quasiment sans échanger un regard, devant les membres du ministère réunis dans la cour du ministère de l’Intérieur.
Emmanuel Macron a accepté la démission du ministre de l’Intérieur Gérard Collomb, qui entend briguer la mairie de Lyon. En attendant la nomination d’un successeur, le Premier ministre Edouard Philippe assurera son intérim.
Brice Hortefeux, ancien ministre de l'Intérieur, a réagi mardi sur franceinfo à la démission de Gérard Collomb. Il juge que le gouvernement d'Emmanuel Macron, "c'est cacophonie, inexpérience et amateurisme".
La politique française avec la fin acquise du feuilleton Gérard Collomb. Dans une interview au journal Le Figaro, le ministre de l'Intérieur indique qu'il maintient sa proposition de démission refusée lundi par le président de la République. Il invoque le besoin de clarté alors qu'il a annoncé sa candidature à la mairie de Lyon en 2020.
Le ministre français de l'Intérieur Gérard Collomb a présenté lundi sa démission au président Emmanuel Macron qui l'a refusée, a-t-on appris auprès de la présidence, confirmant une information du quotidien le Figaro. "Face aux attaques dont le ministre fait l'objet depuis qu'il a confirmé qu'il serait candidat, le moment venu, à la mairie de Lyon
Le ministre de l’Intérieur a voulu quitter le gouvernement, le président Macron n’a pas souhaité son départ.
La chanson s’appelle PLB, pour « Pendez les blancs ». Le dernier clip de Nick Conrad a engendré une large polémique sur les réseaux sociaux. Publiée sur YouTube le 17 septembre 2018, la vidéo a été partagée par des internautes et plusieurs élus.
Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, annonce dans un entretien publié mardi sa candidature aux municipales de 2020 à Lyon, une ville dont il a déjà été maire de 2001 à 2017, ce qui devrait l’obliger à quitter la place Beauvau à moyen terme. Dans une longue interview à L’Express, l’ancien socialiste, soutien de la première d’Emmanuel Macron, évoque un départ du gouvernement après les élections européennes de mai 2019.
Le syndicat Alternative Police CFDT a annoncé lundi une action de groupe (“class action”) contre le ministère de l’Intérieur pour dénoncer des discriminations syndicales présumées au sein de la police nationale. Le syndicat s’élève contre ce qu’il présente comme des pratiques de favoritisme dans le processus d’avancement et de mutation des agents au profit des adhérents de syndicats mieux représentés dans l’administration publique.
Le ministre français de l'Intérieur, Gérard Collomb, est auditionné à l'Assemblée ce matin sur l'affaire Benalla, l'ex-collaborateur d'Emmanuel Macron qui a frappé des manifestants lors d'un rassemblement le 1er mai, à Paris. Gérard Collomb était appelé à répondre à plusieurs interrogations concernant l'affaire Benalla devant la commission des Lois.
Le ministre de l'Intérieur français a annoncé mercredi l'organisation, "à bref délai", d'une évacuation des plus de 2.300 migrants vivant dans des campements à Paris, avec une opération conciliant une "mise à l'abri" mais aussi des "contrôles administratifs". Le ministre, Gérard Collomb, "prend note du refus de la ville de demander l'évacuation de son domaine public, ce qu'il regrette", selon un communiqué.