Le maire de Dakar, Abass Fall, a présidé le 9 octobre une session ordinaire du conseil municipal, la deuxième depuis son installation
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Le maire de Dakar, Abass Fall, a présidé le 9 octobre une session ordinaire du conseil municipal, la deuxième depuis son installation
Dr Djim Ousmane Dramé, directeur général de la Direction des Affaires religieuses et de l’Insertion des diplômés en langue arabe (DIRA), a exposé les...
La brigade territoriale de la Zone franche industrielle a arrêté l'agresseur notoire, du nom de M. Ngom, qui semait la terreur à hauteur de la forêt de Mbao et sur la plage de Sipres. Ce soi-disant mécanicien de 28 ans a été déféré ce vendredi au tribunal de grande instance de Pikine-Guédiawaye pour vols multiples avec violence et blessures volontaires.
Le ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye a fait face à la presse, ce vendredi, au Building administratif Mamadou Dia pour s’exprimer sur la gestion des inondations et le bilan des opérations hivernales.
Le ministre de l'Hydraulique et de l'Assainissement, Cheikh Tidiane Dièye a fait face à la presse, ce vendredi, au Building administratif Mamadou Dia pour s’exprimer sur la gestion des inondations et...
Alors que la polémique autour des prix des billets du match Sénégal / Mauritanie comptant pour la 10e et dernière journée continue d’alimenter les débats, l’entraîneur national, Pape Thiaw, a posé un geste d’une grande portée.
En s’imposant largement à Juba face au Soudan du Sud (0-5), le Sénégal a fait un grand pas vers la qualification pour la Coupe du monde 2026.
Une affaire de vol a conduit au défèrement d'une mineure devant le Tribunal de Grande Instance de Pikine-Guédiawaye. K.M., 17 ans, élève en classe de 4e, a été déférée hier jeudi par la Brigade territoriale de gendarmerie de la Zone franche industrielle pour vol au préjudice de son employeure.
Un chauffeur de transport clandestin dit "clando", D. F., a été déféré hier jeudi au tribunal de grande instance hors classe de Dakar pour des faits présumés de viol sur sa fiancée, A. D., âgée de 18 ans.
La procureure générale de l'Etat de New York Letitia James, opposante déclarée de Donald Trump qui réclamait des poursuites à son encontre, a été inculpée jeudi par un grand jury fédéral en Virginie.
Dakar vivra au rythme de la célébration des 40 ans de l'orchestre mythique le Daandé Lénol, ce 11 octobre 2025, au Grand Théâtre national de Dakar. Un concert placé sous le signe de l'intégration africaine.
Elles ne demandent pas leur place, elles la prennent. Ce jeudi 9 octobre 2025, au Sama Hôtel de Dakar, une nouvelle génération de femmes sénégalaises, venues de plusieurs localités du pays...
Une tragique affaire d'infanticide secoue le quartier de Yoff Apecsy. N. F., une femme de ménage âgée de 22 ans, a été déférée ce jeudi au tribunal de grande instance hors classe de Dakar pour infanticide. Selon ses aveux, elle est tombée enceinte des oeuvres de son petit ami, mais a dissimulé son état, d'après des sources de Seneweb proches du parquet.
Dangote Cement, la filiale de Dangote Group, a ouvert une grande unité de production de ciment à Attingué, une localité située à 30 km d’Abidjan, la capitale économique de la Côte d'Ivoire.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Le Ministère d'Etat chargé du suivi du Programme national de transformation, le Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l'Élevage et le Groupe de la Banque mondiale ont organisé un grand panel...
L’équipe nationale du Ghana a fait un grand pas vers la qualification à la Coupe du monde 2026. Les Black Stars ont largement dominé la République centrafricaine ce mercredi (5-0).
C'est au coeur de Conakry, une ville réputée pour sa richesse culturelle et ses nombreux artistes qui font la fierté de l'Afrique, dans le mythique stade de Petit Sory, que Souleymane Bangoura, communément appelé "Soûl Bang's" a décidé d'y écrire une nouvelle page de son histoire en y organisant son grand show inédit intitulé "Victoire".
C'est au coeur de Conakry, une ville réputée pour sa richesse culturelle et ses nombreux artistes qui font la fierté de l'Afrique, dans le mythique stade de Petit Sory, que Souleymane Bangoura, communément appelé "Soûl Bang's" a décidé d'y écrire une nouvelle page de son histoire en y organisant son grand show inédit intitulé "Victoire".
L’Office National de l’Assainissement du Sénégal (ONAS) a lancé la semaine de l’assainissement ce mercredi 08 octobre à la Médina, après ses interventions à Grand-Yoff et aux Maristes lundi dernier.