Au Fouladou, les jeunes filles demandent aux autorités de repousser l'âge du mariage à partir de 18 ans, contrairement au Code de la famille qui le fixe à 16 ans.
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Au Fouladou, les jeunes filles demandent aux autorités de repousser l'âge du mariage à partir de 18 ans, contrairement au Code de la famille qui le fixe à 16 ans.
Dans le département de Ranérou, dans la zone sylvo-pastorale du Ferlo, l’accès aux soins pour les adolescents reste un défi majeur malgré les efforts du Sénégal pour décentraliser les services de santé.
À la découverte de Dialambéré : Un village historique du Fouladou en quête de modernisation
Taux alarmants du mariage des enfants au Sénégal : 31 % des filles mariées avant 18 ans, 9 % avant 15 ans
Les conditions sont extrêmement précaires : espace exigu, murs délabrés, absence de ventilation adéquate, lits d’accouchements qui laissent à désirer, une hygiène qui fait défaut et un tricycle en mauvais état qui sert…d’ambulance.
En prélude à la célébration de la Journée mondiale de la population, une journée scientifique s’est tenue à Kédougou pour dresser un état des lieux alarmant des secteurs clés tels que l’éducation et la santé. Plusieurs acteurs du développement, autorités éducatives et sanitaires se sont réunis pour échanger sur les défis majeurs qui freinent l’épanouissement des populations, notamment les jeunes.
Dans les sociétés africaines, la santé mentale demeure l’un des derniers bastions du non-dit.
L’Afrique de l'Ouest est l’une des régions les plus touchées par cette pratique.
L’évolution de la grossesse d’une fille de 12 ans fait l’objet de suivi actuellement par le Centre de santé et d’action éducative en milieu ouvert ( Aemo) de Médina Yoro Foulah dans le sud du Sénégal.
« Une adolescente sur sept âgée de 15 à 19 ans est déjà tombée enceinte au Sénégal».
Le projet ISMEA a profondément impacté le système de santé sénégalais en renforçant les ressources humaines, les infrastructures et l'accès aux soins. Mais pour que ces avancées portent durablement leurs fruits, une stratégie post-projet est essentielle. « Nous avons fait un travail remarquable, maintenant il faut que cela dure », a renseigné le docteur Oumar Sarr, coordonnateur dudit programme. « Le projet ISMEA a permis des avancées majeures dans le renforcement du système de santé, en particulier pour les mères, les enfants et les adolescents », selon lui. Après cinq années de mise en œuvre, ce projet, financé à hauteur de 130 millions de dollars par la Banque mondiale et le Global Facility Funds (GFF), affiche des résultats significatifs dans les régions de Kaffrine, Tambacounda, Kédougou, Sédhiou, Kolda et Ziguinchor.
La santé reproductive et sexuelle est un enjeu majeur pour le bien-être des femmes et des jeunes, au Sénégal. Dans cette optique, Affaires mondiales Canada (AMC) finance le projet "Thiendiya", en collaboration avec l’UNFPA et le gouvernement sénégalais.
Malgré les efforts consentis par les autorités dans le maintien des filles à l'école, les contraintes socioculturelles telles que les mariages et les grossesses précoces, la pauvreté, entre autres, font que beaucoup de filles brillantes décrochent du cursus scolaire.
Le ministère de l’Éducation nationale a célébré, ce jeudi 9 janvier 2025, la Journée nationale de l’éducation des filles au Centre international de conférences Abdou Diouf (CICAD) de Diamnadio.
L’horrible tragédie de la jeune Diary Sow, une fille de seulement 12 ans arrachée à la vie de manière violente et cruelle, est un rappel glaçant de l'urgence à agir contre les violences faites aux femmes et aux enfants au Sénégal.
Le Groupe pour l’étude et l’enseignement de la population (GEP), dirigé par son coordonnateur Ibrahima Guèye, a tenu une rencontre à l’académie de Kaffrine pour partager les résultats d’un rapport récent sur les grossesses précoces en milieu scolaire.
Des élèves et des professeurs des lycées et collèges des communes de Matam, Ogo et Ourossogui ont été formés sur les violences basées sur le genre, la prévention des grossesses précoces et la promotion de l’estime de soi.
La Journée internationale de la jeunesse, célébrée le 12 août 2024, soulève cette année un thème captivant et actuel : le progrès à portée de clic...
Une récente étude réalisée par des chercheurs de l’Université du Nevada a démontré que les fortes chaleurs avaient tendance à accroître le nombre de naissances prématurées.
Pour échanger avec des adolescentes sur la santé de la reproduction, l'Ong RABEC lance le projet « d’éducation en santé sexuelle et reproductive des adolescentes »