Tahirou Sarr. Quatre syllabes qui claquent comme un caillou lancé dans une mare trouble
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Tahirou Sarr. Quatre syllabes qui claquent comme un caillou lancé dans une mare trouble
La 25e édition du festival de jazz de Saint-Louis (nord du Sénégal) a débuté lundi soir sous haute surveillance de crainte d'attentats jihadistes et attend mardi la prestation de l'Américain Marcus Miller
Le maire de Sédhiou, Abdoulaye Diop, a adressé une correspondance au Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne, pour lui faire part des frustrations des populations de sa localité.
À quelques heures du dépouillement du scrutin qui a débuté ce 20 mars à 8 heures, Serigne Saliou Guèye, journaliste au quotidien Le Témoin, analyste politique, décrypte pour Seneweb les conséquences politiques de ce référendum.
Le Kenya, partagé entre soif de justice et crainte de vide institutionnel, s'apprête à voir les deux têtes de son exécutif jugées pour crimes contre l'humanité devant la CPI, avec le début, mardi, du procès de son vice-président, avant celui du chef de l'Etat en novembre.Le président Uhuru Kenyatta et son vice-président William Ruto, élus à la tête de l'Etat sur un "ticket" commun le 4 mars, sont jugés
Le Pds, usé, vieilli et fatigué par le pouvoir est un «meurtrier» politique. Le maintien de Wade à la tête du parti souligne a contrario la faiblesse du leadership libéral qui veut se tourner vers l’avenir pour tenter de conjurer la déroute de leur aventure. Pour les «rebelles», les Législatives seront une sacrée paire de manches comme le confirment leurs performances électorales de ces dernières années. Au fond, ils se sont toujours réfugiés sous le parapluie…électoral de Wade qui aimantait la sympathie des Sénégalais lors des rendez-vous électoraux.
Coumba Gaye, ministre-conseiller spécial du président de la République, Me Abdoulaye Wade, émet sur la même longueur d'onde que le ministre de la Décentralisation et des Collectivités locales, Aliou Sow, après la mort par balle du jeune Malick Ba à Sangalkam. Coumba Gaye, qui s'exprimait au nom des jeunesses libérales, a déclaré, hier, lors d'un point de presse, que «l'Ujtl soutient sans réserve le frère Aliou Sow et en appelle à la solidarité gouvernementale pour faire barrage au lobby qui s'active pour le fragiliser».
Ces temps-ci, on a noté une effervescence et un foisonnement de contributions dans la presse. Toutes ces contributions rappellent les dérives et la malfaisance du système Wade, sa gouvernance répugnante et son idée saugrenue de vouloir se faire remplacer par son rejeton et d’envoyer définitivement à la retraite, comme il le disait lui-même, tous les leaders de BSS. Le passé de Wade nous édifie amplement sur le bonhomme et ses pratiques antidémocratiques et antirépublicaines.
Même de Paris où il suit son traitement médical, le Secrétaire général national du Parti de l’indépendance et du travail (Pit) ne perd rien de sa verve et de ses convictions pour commenter l’actualité politique du pays. De la candidature de Wade en 2012 à la docilité d’une opposition divisée, en passant par les comptes de l’Anoci, Dansokho fait sauter les verrous et livre ses intimes convictions. Le Président Wade a confirmé sa participation à l’élection présidentielle de 2012. Etes-vous surpris par cette candidature annoncée et, comment l’avez-vous analysée ? C’est la preuve de son désarroi. Apparemment, il a échoué dans son projet initial qui était de mettre en orbite son fils pour lui succéder.
Le festival « Banlieue rythme » clôturé dimanche soir a révélé toute la vitalité du rap et de la culture hip-hop, devenue la deuxième musique la plus écoutée après le « mbalax » au Sénégal. D’origine américaine, le hip-hop a trouvé un style particulier au « pays de la Téranga » influencé par des groupes fondateurs comme Positive Black Soul, Daara J ou Pee Froiss qui ont essaimé en plus de 4000 formations aujourd’hui. Coup d’œil sur ce phénomène de société sans précédent. C’est dans le Bronx de la ville de New York qu’apparaît en 1975 le premier groupe de rap, « Zulu Nation ». Préférant la musique à la violence de la rue, les membres fondateurs parlent du mal-être dans le Bronx, de leurs aspirations et de leurs rêves et notamment celui de l’Afrique.
De futurs sénateurs reçus vendredi dernier par le Pm En vue de calmer les frustrés, suite à leur non-investiture aux prochaines législatives du 03 juin prochain, plusieurs « futurs sénateurs » ont été convoqués vendredi soir par le Premier ministre. Ainsi, pour passer à la vitesse supérieure, et surtout éviter le « crash » avant le démarrage de la campagne électorale, les députés sont convoqués dès ce jeudi pour statuer sur la loi organique, concernant le Sénat. L'arrivée de ce Sénat constituant en quelque sorte l'ossature de l'équipe des futurs dauphins, à défaut de confirmer le dauphinat. Passée élection présidentielle, le Sénégal se dirige-t-il vers le retour du bicaméralisme, avec l'existence de deux assemblées parlementaires. En plus de l'Assemblée nationale, du Craes, le Sénégal passe l'accélérateur pour mettre en place le Sénat. Lequel, m is en place pour une première fois en janvier 1999 sous le régime du président Abdou Diouf, avait été « tué » par le président Me Wade par référendum du 7 janvier 2001.