L’Alliance Pour la République (APR) célèbre une étape majeure dans son histoire avec la décision 2025-01, signée le 17 mars 2025 par le Président Macky Sall, qui fixe la composition du nouveau Secrétariat Exécutif National (SEN).
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L’Alliance Pour la République (APR) célèbre une étape majeure dans son histoire avec la décision 2025-01, signée le 17 mars 2025 par le Président Macky Sall, qui fixe la composition du nouveau Secrétariat Exécutif National (SEN).
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
Nous journalistes sénégalais, avons décidé de faire cette Tribune pour nous insurger contre une troisième candidature de l'actuel président Macky Sall
Je suis profondément touché par tant d’amour, et par tant d’égards pour ma modeste personne
Le meurtre de sang-froid d'un citoyen noir, africain-américain par un policier blanc euraméricain, commis en plein jour dans une rue de la capitale du Minnesota est un fait divers qui rappelle tragiquement les pratiques de lynchage d'un passé esclavagiste et ségrégationniste de l'Amérique condamné par l'histoire.
Le père du chanteur n’a jamais voulu quitter le quartier de la Médina, à Dakar, où il habite depuis plus de 70 ans. Rencontre.
26 septembre 2002-26septembre 2015. Il y a 13 ans, le Joola chavirait aux larges des côtes gambiennes. Malgré le temps, la douleur est aussi vive dans les cœurs des familles des 1 863 personnes disparues tragiquement. Cette année, la Tabaski risque d’éclipser les commémorations de cette tragédie qui hantera l’histoire du Sénégal éternellement. Le Quotidien a décidé «d’ouvrir le ventre de l’Atlantique» en publiant la liste des victimes pour lutter contre l’oubli.
Quartier populaire, situé à la périphérie du centre ville, Médina, un brin chic, est chanté et filmé depuis 100 ans par une génération d'artistes. Repère des guides religieux du Sénégal, Médina entretient la légende de Dakar. Entre religion, cinéma, musique et cartes postales, la Médine de Dakar s'accroche encore à son passé. Petit tour de quartier !
L’histoire de son enlèvement avait ému plus d’un. A seulement 14 petits mois, Bébé Mohamed Sène a été volé devant leur domicile à Thiaroye Azur, alors qu’il jouait avec d’autres enfants. Depuis, ses parents, déboussolés, ont fait le tour de la presse et des marabouts pour le retrouver. Sans trop d’espoir. Mais, vendredi dernier, 31 octobre 2014, à la surprise générale, ils ont été appelés pour venir chercher leur fils à Grand-Yoff où il a été retrouvé. Son père a joint hier L’Obs pour lui faire part de la bonne nouvelle. Touchant !
Youssou Ndour, le ministre de la culture, ne badine avec son image de républicain sobre qui gère comme un bon père de famille. Un de ses fils qui vit avec son ex-femme Mamy Camara en a fait l’amère expérience. Le jeune homme qui a pris la voiture avec laquelle, ses frères et lui vont à l’école a mis son père ( youssou Ndour) hors de lui.
Nous devons célébrer un peuple, l’on nous oblige à célébrer en même temps un homme. Nous devons fêter le cinquantenaire d’un peuple, l’on nous oblige à fêter la décennie d’un homme. Par un procédé de falsification extraordinaire, il semble que nous devions tout à Abdoulaye Wade et rien au peuple sénégalais. Il n’est question, depuis un an, que de dictées tirées de son fameux livre, Un destin pour l’Afrique, de rappels suffoqués du rôle qu’il a joué dans l’indépendance du Sénégal. Il n’en reste pas moins qu’à aucun moment, à aucune étape de cette marche pour l’indépendance, il n’est mentionné le nom de cet homme. Les manuels d’histoire ne connaissaient pas Abdoulaye Wade, jusqu’à ce qu’il décide d’en écrire de nouveaux. Qu’il laisse des gens comme Mbaye Jacques Diop mentir impunément sur le rôle qu’ils ont pu jouer passe encore.
Sa voix chaleureuse a surtout marqué la génération 80, du nom de l’émission qu’il animait à l’époque. As du micro et promoteur de spectacles chevronné, Moïse Ambroise Gomis continue de nourrir cette flamme à travers, entre autres événements, l’élection de Miss Sénégal. Même si, reconnaît-il, son âge représente un handicap. Quel bilan tirez-vous après l’élection Miss Sénégal qui vient de se terminer ? C’est d’abord la satisfaction d’avoir tenu le pari de l’organiser hors de Dakar. Nous avons trouvé intéressant, pour la promotion du Tourisme, d’aller dans une station balnéaire et faire profiter gracieusement les touristes du spectacle. Certes nous l’avons fait, mais sans moyens. Il aurait fallu que les agences de voyage soient mobilisées, mais cela est du domaine de l’Institutionnel Sénégalais.
Le Comité pour la défense et la protection des journalistes annonce un lundi crucial dans la poursuite de son combat et considère le communiqué du ministère de l’Intérieur comme une accumulation de contre-vérités. Les professionnels de l’information et de la communication s’acheminent vers un lundi extrêmement décisif dans la poursuite de leur combat initié depuis l’agression des journalistes. Que va-t-il se passer au début de cette semaine ? Quels actes les journalistes vont-ils poser pour obtenir la justice qu’ils réclament ? Le discours n’a pas varié dans l’engagement et la fermeté.
Qu'est ce qui peut bien inciter une grande chaîne de télévision française à faire un documentaire sur un Sénégalais, en l’occurrence Cheikh Tall Dioum, celui-là même qu’un confrère a surnommé le Golden Boy ? Cette question nous a taraudés lorsque nous avons constaté qu’il venait de faire l'objet de la curiosité d'une télévision étrangère, et qu’en plus, il venait d'accorder une interview à un de nos confrères. Au point que nous avons décidé d’en savoir davantage sur l'homme. Nous avons donc, par le biais de son ami Dago, tenté de contacter ce grand agitateur d'idées. Après maints coups de téléphone, nous prenons rendez-vous avec M. Dioum qui, pour notre peine, se trouve dans sa ville natale, Louga, où il nous invite à venir le rencontrer. Voyage classique pour des reporters en compagnie de leur photographe et d'un chauffeur. Nous traversons Rufisque et ses embouteillages, Thiès et sa fameuse voie de contournement nord, Tivaouane la pieuse, Kébémer, ville natale du président Wade... Après plus de deux heures de route, voilà enfin Louga, la capitale du Ndiambour.