Inondations aux Parcelles et appel de Sonko : les révélations de l'imam Amar...
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Inondations aux Parcelles et appel de Sonko : les révélations de l'imam Amar...
La commune des Parcelles assainies a été frappée de plein fouet par les inondations ce vendredi. Après le maire de la localité qui s’est rendu dans les zones les plus touchées, le ministre de l’Hydraulique, Cheikh Tidiane Dieye, a fait une descente sur les lieux.
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
À Louga, une grande partie de la communauté musulmane a célébré aujourd'hui mercredi 21 juillet la Tabaski.
Le Directeur général de l’Office national de l’assainissement du Sénégal (Onas) poursuit sa visite de terrain suite...
La décision du sous-préfet de Grand-Dakar, Mamadou Mbacké Fall, de dissoudre à travers un arrêté du 23 avril, les comités chargés des opérations de ciblage dans le cadre de la distribution de l'aide alimentaire destinée aux familles les plus affectées par la pandémie du Coronavirus, n'a pas fait l'unanimité.
La communauté musulmane de la ville de Tamba a célébré, ce mercredi, la fête de la Tabaski.
La dépouille de Serigne Saliou Amar est arrivée à Dakar. En compagnie de son épouse et de membres de sa famille, Cheikh Amar est arrivé hier à Dakar avec la dépouille de son fils ainé, décédé à Paris la semaine dernière. La levée du corps a eu lieu au funérarium de Memoris de Sarcelle à Paris.
L’affaire de viol sur mineure suivi de grossesse qui défraie la chronique à Touba depuis la semaine dernière vient de connaitre une nouvelle tournure invraisemblable. La dame Ndèye Fall, épouse de l’imam Amar Bèye, accusé du viol de la fillette de 14 ans, s’est suicidée ce matin dans son domicile à Touba.
Amar Bèye (66 ans), l'imam de la mosquée de Touba Madiyana est dans les liens de la prévention depuis le 05 octobre dernier. Marié à deux épouses et père de huit enfants, cet homme qui jouissait jusque-là d'une grande notoriété jusque dans la cour du khalife général des mourides, est poursuivi pour les délits de viols répétés sur M. Sall, une gamine de 14 ans.
Fondé en 1883 par Mame Mor Anta Sally, père de Cheikh Ahmadou Bamba, Mbacké Kadior a vu naître la voie du Mouridisme. De village historique, cette cité religieuse est devenue aujourd’hui une commune en plein expansion avec son début de modernisation. Son Magal célébrant la naissance de Serigne Mouhamadou Lamine Bara Ibn Khadimou Rassoul, et père de l’actuel khalife de Touba, attire chaque année des milliers de pèlerins.
Jadis brousse sombre habitée par des animaux sauvages avides de repas humains, Touba est devenue au 21ème siècle une cité moderne jalonnée d’immeubles et particulièrement bien dessinée. En l’espace de 125 ans, la cité a connu une fulgurante évolution.
L’Organisation islamique pour l’éducation, les sciences et la culture (ISESCO) a exhorté les autorités mauritaniennes à traduire devant la justice les auteurs de la destruction par le feu d’ouvrages de référence réputés du rite malikite, a appris l’APS, vendredi à Dakar.
Sous diverses appellations, des peuples ont occupé l’espace qu’on appelle Fouta-Toro (aujourd’hui réduit aux départements de podor et Matam, de part et d’autre du fleuve Sénégal). Au cours de l’histoire il a fait partie de divers empires et ensembles étatiques. Divers régimes politiques ou dynastie s’y sont succédé.
Parmi les nombreux dégâts causés par le régime libéral de Abdoulaye Wade, au cours des ces dix années de gestion gabegique, la vente illicite et illégale des terres de l’aéroport, international Léopold Sédar Senghor (L.S.S) pour enrichir des individus, aura été l’un des plus gros scandales. C’est un crime économique qui ne peut se passer que dans un pays où sévit la corruption comme le Sénégal des années 2000, vivant dans un régime présidentiel qui écrase tous les autres pouvoirs, législatif et judiciaire. Le dernier prétexte du président Abdoulaye Wade pour cette scandaleuse vente est la construction d’un affreux, monument qui détruit un beau site naturel et unique au monde : les mamelles de Ouakam
Parmi les nombreux dégâts causés par le régime libéral de Abdoulaye Wade, au cours des ces dix années de gestion gabegique, la vente illicite et illégale des terres de l’aéroport, international Léopold Sédar Senghor (L.S.S) pour enrichir des individus, aura été l’un des plus gros scandales. C’est un crime économique qui ne peut se passer que dans un pays où sévit la corruption comme le Sénégal des années 2000, vivant dans un régime présidentiel qui écrase tous les autres pouvoirs, législatif et judiciaire.
Le 28 décembre 2007, Cheikh Saliou Mbacké était parti sereinement rejoindre son vénéré père et guide Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké Khadimou Rassoul ainsi que ses frères qu’il servit avec dévouement. Il fut, comme j’aime à le dire souvent à mes amis, le dernier des cinq majeurs : Woutou Niepp, Moudié Lepp, Mattal Lepp. Il vit le jour à Diourbel en 1915 au moment où Serigne Touba Khadimou Rassoul y était en résidence surveillée depuis le 15 janvier 1912. Cheikh Saliou exerça son Khalifat pendant 17 ans (de 1990 à 2007). Il rayonnera sur la Ummah islamique sans pour autant quitter le Sénégal où venaient le trouver des dignitaires de toute obédience religieuse et des citoyens de toutes conditions, venus des quatre coins du monde, solliciter ses prières et son assistance efficace et discrète.
Une radioscopie des accusés attraits à la barre de la cour d’assises de Dakar montre, pour une majorité d’entre eux, qu’ils sont issus de la banlieue, n’ont pas fait des études poussées et, souvent, leurs parents sont divorcés ou l’un d’eux est décédé. D’Aboulaye Fall alias Palaye, certainement le plus célèbre, à Ibrahima Wagne en passant par Yatma Diop, Honoré Mendy, Mandiaye Dieng, Adama Dieng Adama Kane, Mouhamed Sadio Coulibaly, etc., on constate que ces accusés qui ont comparu, il y a quelques jours, à la barre de la cour d’assises de Dakar, n’ont pas été bien gâtés par la vie
Les hommes du commissaire Bassamba Camara ont mis hors d’état de nuire une bande de malfaiteurs composée d’escrocs et de charlatans. Lors de leur arrestation, ils détenaient un arsenal composé d’armes à feu, d’armes blanches, de bombes à gaz asphyxiant et des accoutrements pour jouer aux «djinns». Cette bande est spécialisée dans l’envoûtement et la multiplication de faux billets. Leurs cibles, les « Modou-modou» en quête de prières. Selon des informations issues de l’enquête, leur mode opératoire consistait à repérer un riche « Modou-modou » par le biais d’un éclaireur. Ensuite le reste de la bande entre en action.