Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
En dépit des progrès notables sur la production de riz local pour réduire la dépendance aux importations, le Sénégal continue d’importer en moyenne 1,3 million de tonnes de riz blanc par an. L’affirmation a été faite, samedi, par le ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de l’Élevage, Mabouba Diagne, repris par l'Agence de presse sénégalaise (APS).
Le ministère de l’Industrie et du Commerce a annoncé, ce vendredi 19 septembre 2025, la levée du gel sur les importations d’oignon au Sénégal.
Réactivation des taxes sur les importations de téléphones : Les explications du Gouvernement
Les acteurs de la ferraille annoncent une marche contre l’importation massive de fer
La croissance rapide des secteurs pétrolier et minier en 2025 se traduit par un impact direct sur le commerce extérieur du Sénégal. En juin, le déficit commercial a reculé à –30,3 milliards de FCFA contre –80,7 milliards le mois précédent, porté par la hausse des exportations de pétrole, titane, or et zirconium. Les importations, elles, ont connu un recul modéré, renforçant l’effet positif sur la balance commerciale.
La mesure est une première.
Dans le cadre de la mise en œuvre de l’Agenda Sénégal 2050 et des recommandations issues du Conseil interministériel sur la campagne agricole tenu le 15 avril 2025, l’État sénégalais engage une nouvelle étape vers l’autosuffisance en banane.
Ousmane Sonko a annoncé que dès 2026, le Sénégal cessera toute importation de gaz pour s’appuyer exclusivement sur sa production nationale
Le Premier ministre Ousmane Sonko a annoncé une décision majeure dans la politique énergétique du Sénégal : à partir de 2026, le pays ne comptera plus sur les importations de gaz.
En juin, le parfum des manguiers embaume les routes, les paniers débordent, les arbres ploient sous le poids des fruits… et pourtant, dans un coin du port, des containers débarquent des mangues brésiliennes, bronzées par un autre soleil.
Au Sénégal, l’embellie se poursuit pour le commerce extérieur.
Le prix du riz ordinaire risque-t-il de grimper au Sénégal dans les prochains jours ? Depuis hier mardi, un document portant l’insigne du ministère du Commerce annonce la suspension de la levée des droits de douane de 10% sur les importations de riz. Une mesure qui n’a, jusqu’ici, pas été confirmée par l’autorité étatique. La Direction du Commerce intérieur que nous avons tenté de joindre, n’a pas réagi. Mais, du côté des importateurs, le son de cloche est rassurant.
Dans le cadre du Plan de redressement économique et social “Jubbanti Koom”, le Premier ministre Ousmane Sonko a annoncé un assouplissement des conditions d’importation des véhicules d’occasion. La limite d’âge passe désormais de 8 à 10 ans, pour les voitures particulières, et à 15 ans, pour les véhicules utilitaires. Une réforme qui vise à réduire le coût de la vie, à faciliter l’accès à la mobilité pour les ménages et à stimuler le marché automobile, tout en cherchant à maintenir l’équilibre des politiques publiques.
Pour plus d'accessibilité automobile, le Premier ministre Ousmane Sonko a annoncé l’autorisation d’importation de véhicules d’occasion âgés jusqu’à dix ans.
Les principaux fournisseurs du Sénégal en avril 2025 sont la République Populaire de Chine (13,6 %), la France (10,2 %), le Nicaragua (7,7 %), les Émirats arabes unis (7,5 %) et la Russie (6,5 %)
Dans un monde marqué par la reconfiguration des flux économiques, les partenaires commerciaux du Sénégal reflètent autant ses choix stratégiques que ses dépendances structurelles.
Le gouvernement burkinabè a annoncé, le 2 juin 2025, la suspension de l’importation de la pomme de terre sur l’ensemble du territoire national jusqu’au 30 juin.
Les transactions en question se sont déroulées entre 2016 et 2017.
Dans le cadre d’une stratégie visant à renforcer la filière bananière nationale, les autorités envisagent de suspendre temporairement les importations de bananes durant les mois de septembre, octobre, novembre et décembre.
Rudement impactés par l’importation de maïs estimée à 500 000 t en 2024, les producteurs locaux espèrent renverser la tendance dans les prochaines années.