Mis à la porte par Fenerbahçe, José Mourinho a quitté la Turquie avec environ 15 millions d'euros d'indemnités de licenciement
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Mis à la porte par Fenerbahçe, José Mourinho a quitté la Turquie avec environ 15 millions d'euros d'indemnités de licenciement
Des travailleurs de AMS/SC Saer-Emploi dans la mine d’or de Mako -Kédougou, sud-est), ont décrété, mardi, une grève de quatre jours, pour protester, disent-ils, du refus de leur employeur de verser des indemnités de licenciement à certains de leurs collègues.
Affaire Penelope: l'épouse de François Fillon aurait perçu 45 000 euros d'indemnités de licenciement
Penelope Fillon a touché 45.000 euros d'indemnités de licenciement payées par l'Assemblée, révèle "le Canard enchaîné" dans son édition du 8 février.
Cent soixante-trois agents de la défunte Sénégal Airlines menacent d’observer une grève de la faim. Ils tiennent une Assemblée générale la semaine prochaine. Ils protestent contre le non-versement de leurs indemnités de licenciement depuis la liquidation de la compagnie.
Les ex-agents d’Ama-Sénégal, qui observent une grève de la faim pour exiger le paiement de leurs indemnités de licenciement, sont servis. Partiellement. Selon Le Quotidien, qui donne la nouvelle dans son édition de ce jeudi, le gouvernement a décidé de débloquer une deuxième tranche des montants dus.
L'amicale des retraités et ex-cadres de la défunte compagnie Air Afrique réclame le paiement individuel des indemnités pour licenciement abusif, à raison de 50 millions. Au terme de vingt années de procédure sans suite favorable, ils décident de porter l'affaire sur la place publique. Les retraités et ex-cadres de la défunte compagnie multinationale Air Afrique, regroupés au sein d'une amicale regroupant l'ensemble des ex-agents nationaux qui sont au Sénégal et à l'étranger, ont élevé la voix pour réclamer leurs droits, après 20 ans de procédure sans suite favorable et au terme de quatre décennies de bons et loyaux services. Ils réclament le paiement des dommages et intérêts pour licenciement abusif, préavis et indemnités de licenciement.
NETTALI - Les travailleurs de la défunte compagnie aérienne continentale Air Afrique sortent enfin du brouillard. Ils vont pouvoir rentrer dans leurs droits après leur licenciement consécutif à la faillite de la compagnie. Du moins, ils peuvent l’espérer après qu’un chèque destiné au règlement de leurs dus a été officiellement remis, à Dakar, ce vendredi, en présence du ministre des transports aériens et transports terrestres, Farba Senghor. Selon le ministre sénégalais, ce chèque représente une valeur de 200 millions Fcfa. Dans le hangar de l’aéroport Léopold Sédar Senghor où se déroulait la cérémonie, M. Senghor a promis de « trouver les moyens nécessaires pour régler définitivement cette question des indemnités de licenciement ».
Les ex-agents d’Air Afrique réclament toujours leurs indemnités de licenciement, alors que ceux des autres pays sont entrés depuis longtemps dans leurs droits. Baïla Sow, Secrétaire général du Syndicat unique des travailleurs des Transports aériens et activités annexes au Sénégal (Suttaaas), appelle l’État du Sénégal à respecter ses engagements sur cette question et demande l’audit. Les ex-agents de Air Afrique sont venus en nombre assister à une conférence de presse, samedi dernier. Certains plus inspirés sont venus avec des brassards rouges. La détermination se lit dans leur visage. C’est la même détermination qu’on voit chez leur secrétaire général Baïla Sow.
Le Syndicat Unique des Travailleurs des Transports Aériens et Activités Annexes du Sénégal (Suttaaas) déroule depuis ce samedi 23 décembre son deuxième plan d’action et ce jusqu’au 31 décembre 2006. Ces ex travailleurs de la défunte Air Afrique ont saisi l’occasion d’un point de presse tenu ce week-end à Dakar pour interpeller le chef de l’Etat pour le recouvrement intégral de leurs indemnités de licenciement sans quoi ils risquent de paralyser l’ensemble du trafic aérien durant toute la semaine en cours.
Samuel Sarr emporte 400 millions de francs en partant. C’est un peu comme le dernier délestage qu’il a réalisé avant de partir. Alors que la société a des difficultés pour se payer du combustible, l’ancien directeur Samuel Sarr a trouvé le moyen d’emporter 400 millions d’indemnités de licenciement. Plus heureux que Samuel Sarr qui, après avoir plongé tout le Sénégal dans le noir pendant deux ans, s’en tire avec 400 millions de francs Cfa de bonus, il ne doit pas y en avoir beaucoup. L’ancien directeur-général de la Société national d’électricité (Senelec), avait en effet, à son arrivée, «bétonné» son contrat, de façon à assurer ses arrières pour les jours sombres.