L’architecte Cheikh Ngom, premier Sénégalais à avoir créé un cabinet d’architecture dans le pays, est décédé ce lundi 13 octobre à Ziguinchor, selon des informations de la RTS.
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L’architecte Cheikh Ngom, premier Sénégalais à avoir créé un cabinet d’architecture dans le pays, est décédé ce lundi 13 octobre à Ziguinchor, selon des informations de la RTS.
Dans un post publié sur son compte X, ce lundi matin, l’activiste suisso-camerounaise, Nathalie Yamb, informe qu'elle est actuellement à Ouagadougou avec le député sénégalais, Guy Marius Sagna, dans le cadre de la première rencontre internationale Carrefour africain Thomas Sankara.
Face aux accusations visant Cheikh Mouhamadou Bamba Siby, président de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), le ministre Birame Soulèye Diop est sorti de sa réserve pour défendre l’intégrité de ce dernier.
Seneweb en sait un peu plus sur l'affaire Soya Diagne ! Selon nos informations, son interpellation à l'hôtel Terrou-Bi suivie de sa libération sur convocation est consécutive à une autosaisine du parquet.
Le Quotidien, citant l’agence d’information financière Investing.com, rapporte que Moody’s Ratings a de nouveau abaissé la note souveraine du Sénégal, la faisant passer de B3 à Caa1...
Ousmane Sonko a informé, en Conseil des ministres ce jeudi 9 octobre, qu’en prélude aux prochains États généraux du Tourisme, instruits par le Président de la République, «le Gouvernement s’attèle à faire du tourisme un levier majeur de croissance économique, de création d’emplois, de cohésion territoriale et de promotion de la Destination Sénégal ».
La région de Kaffrine a abrité une rencontre régionale d’information et de vulgarisation sur le mécanisme de gestion des plaintes du Programme national intégré de développement de l’élevage au Sénégal (PNDIES).
Suite à une délégation judiciaire ordonnée par le doyen des juges d’instruction du Pool judiciaire financier, Idrissa Diarra, sur la base d’un rapport de la Cellule nationale de traitement des informations financières (CENTIF), Aliou Sall et son épouse ont été entendus par les enquêteurs de la Division des investigations criminelles (DIC).
Le 9 septembre, la nouvelle ministre de la Santé suédoise, Elisabet Lann, a été victime d'un malaise lors d'une conférence de presse à laquelle elle participait avec d'autres membres du gouvernement. Les images ont été largement partagées sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok, où certains utilisateurs ont affirmé que l'incident avait eu lieu juste après que la ministre eut révélé face à la presse une prétendue relation amoureuse secrète avec Emmanuel Macron. Mais la ministre n'a pas tenu de tels propos, et elle explique avoir été simplement victime d'une crise d'hypoglycémie.
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
Non, une ministre suédoise n'a pas révélé une relation avec Emmanuel Macron avant de s'évanouir
Un Guadeloupéen de 69 ans a été condamné à quinze mois de prison dont cinq mois ferme aménageables, pour avoir braqué un centre commercial avec une carabine afin "d'entrer en prison" et y retrouver son petit-fils incarcéré, a appris l'AFP de sources concordantes, confirmant une information de la radio RCI.
L'ouverture des classes est un moment de grand stress pour nombre de parents d'élèves salariés, mais plus pour le monde informel devant faire face à la cherté de la vie, à l'enfer des fournitures scolaires et des frais d'inscription.
Le Sénégal a franchi une nouvelle étape dans sa quête d’équité sociale et sanitaire avec la tenue de la cérémonie de validation politique de la Stratégie Nationale de Développement des...
Le Ministère des Transports terrestres et aériens dément à travers un communiqué, ce lundi 6 octobre 2025, l’annonce de l’ouverture du tronçon Dakar–Kaolack de l’autoroute à péage.
Maduagwu, présentatrice et productrice sur une chaîne d’information nigériane, est morte lundi dernier en sautant du troisième étage de son immeuble pour fuir des cambrioleurs.
Selon des informations de Bloomberg, le conseil d’administration du Fonds monétaire international (FMI) se réunira ce vendredi pour discuter du cas de mauvaise déclaration de dette au Sénégal.
La Direction générale des Impôts et des Domaines (DGID) informe ses usagers d’une indisponibilité temporaire de ses services en ligne, due à un problème technique identifié. Des mesures de sécurité préventives ont été prises pour contenir la situation et renforcer la protection des infrastructures.
Sale temps pour les influenceurs ! Après l’interpellation de la militante de l’APR, D. Mbodj, connue sous le sobriquet de « Gaïndé Macky », son camarade de parti, Amadou Cissé, alias « Gaïndé Macky bou goor », vient d’être placé en garde à vue dans les locaux de la Division spéciale de cybersécurité (DSC), selon des informations de Seneweb.
La Direction générale des Impôts et des Domaines (Dgid) vient de réagir sur l’attaque informatique dont elle a été victime. Dans un communiqué de presse parvenu à Seneweb, elle informe de l’indisponibilité́ temporaire de ses services en ligne.