Dianki, village situé dans la commune de Karthiack, dans le département de Bignona, est secoué par un drame.
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Dianki, village situé dans la commune de Karthiack, dans le département de Bignona, est secoué par un drame.
L'incident a eu lieu hier vers Dianki, village de Karthiack dans le Bignona.
« On ne change pas une équipe qui gagne », dit l’adage. Pour le chef de la mouvance présidentielle, pour gagner les élections au soir du 23 janvier 2022, la stratégie est claire: reconduire les mêmes équipes et les mêmes meneurs de jeu. A Bignona la totalité des maires Bby sortants ont été choisis pour porter la liste de la coalition présidentielle.
Dianki, village situé dans la commune de Karthiack, dans le département de Bignona, est secoué par un drame.
L'incident a eu lieu hier vers Dianki, village de Karthiack dans le Bignona.
La construction d’un second port de Ziguinchor, d’un coût de 45 milliards à soumettre à la Banque africaine de Développement(Bad), la finalisation du dossier relatif à l’acquisition d’un second bateau, de même que le suivi rapproché de la mise en œuvre du projet de construction du pont sur le fleuve Gambie d’un coût de 46, 500Milliards de FCfa financé par la Bad, constituent, entre autres, les recommandations issues du conseil interministériel présidé hier, mardi 26 juin, à Ziguinchor, par le Premier ministre Abdoul Mbaye.
La construction d’un second port de Ziguinchor, d’un coût de 45 milliards à soumettre à la Banque africaine de Développement(Bad), la finalisation du dossier relatif à l’acquisition d’un second bateau, de même que le suivi rapproché de la mise en œuvre du projet de construction du pont sur le fleuve Gambie d’un coût de 46, 500Milliards de FCfa financé par la Bad, constituent, entre autres, les recommandations issues du conseil interministériel présidé hier, mardi 26 juin, à Ziguinchor, par le Premier ministre Abdoul Mbaye.
Le président de la République, Macky Sall, a reçu à son domicile cedimanche 24 juin une forte délégation de ressortissants de Karthiack(de Dakar, Saint-Louis, Thiès, Fatick, Kaolack), informent nosconfrères de Libération. Par la voix de leur porte-parole, MoussaColy, les ressortissants de Kartiack ont formulé des doléances, dontla réparation de leur forage tombé en panne depuis maintenant 25 ans.« Notre forage est tombé en panne depuis maintenant 25 ans. Nous avonsvraiment des problèmes d’eau. Il paraît que les services de l’Etatsont déjà en place pour analyser le problème », a déclaré Moussa Coly.Dans le même ordre d’idées, M. Coly a demandé à Macky Sall l’aide del’Etat pour une bonne organisation du Boukout (cérémonie des nouveauxinitiés dans le bois sacré) qui ne s’était plus fêté depuis 1975.Aussi, il a promis que « les nouveaux initiés, qui sortiront de ceBoukout, se rassembleront dans le bois sacré pour prier pour que Mackyréussisse avec brio sa mission à la tête de l’Etat et à la tête duSénégal en général, et pour la paix en Casamance en particulier ».
Il y aurait eu moins de violences ou presque pas en Casamance, si le gouvernement du Sénégal n'avait pas fait fi des aspirations de ceux-là qui sont encore dans les bois. Selon Robert Sagna, qui parle du regain de tension enregistrée dans cette partie du pays, il n'y a personne en Casamance qui n'aspire pas à la paix. Les attaques à main armée, notées ces temps-ci dans le Sud du pays, le plus souvent attribuées aux forces irrédentistes de la Casamance, préoccupent beaucoup les autorités cette région. Parmi celles-ci, l’ancien maire de Ziguinchor, Robert Sagna.
Après un temps d’accalmie, l’insécurité s’installe de nouveau dans le village de Karthiack qui a reçu la visite de bandes armées. Leur incursion dans la localité s’est soldée par le pillage de boutiques, entraînant le vol de marchandises.Une bande armée supposée appartenir au Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc), a fait incursion dans la nuit du lundi à mardi, aux environs de 20 heures dans le village de Kartiack.
Bissau fixe un ultimatum de deux mois au Mfdc pour aller à la table des négociations et réclame le droit de poursuite contre Salif Sadio en territoire sénégalais. Ainsi, se résume l’adresse du général Tagmé Naway à ses alliés maquisards à la fin des «opérations». Le Mouvement des forces démocratiques de la Casamance (Mfdc) a deux mois pour aller à la table des négociations avec le gouvernement du Sénégal. Faute de quoi, il risque les foudres de l’Armée de la Guinée-Bissau. Le général Batistuta Tagmé Naway, l’a signifié sans équivoque à ses alliés du maquis, à la fin de la croisade qu’ils viennent de mener ensemble pendant plus d’un mois contre Salif Sadio. «Nous avons, à présent, démantelé toutes les bases de Salif Sadio, qui se trouvaient en Guinée-Bissau, Salif Sadio et tous ses rebelles se sont enfuis et certains mêmes à la nage. Les opérations sont donc terminées… Mais, si d’ici au mois de juillet, vous n’allez pas à la table des négociations avec le gouvernement du Sénégal, nous vous attaquerons», a notamment prévenu le chef d’Etat-major général de l’Armée de la Guinée-Bissau