Khady Légumes : De 20 000 FCFA à la Révolution Agricole Numérique au Sénégal
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Khady Légumes : De 20 000 FCFA à la Révolution Agricole Numérique au Sénégal
Les rues vident de monde renseignent de l’heure de la prière du vendredi au marché Tilène, dans la capitale de Dakar
Elle a l’âme d’un agriculteur et a su exploiter ses hectares de terre à Diogo (village situé dans la commune de Darou Khoudoss (région de Thiès)
La Girafe ! C'est un projet hôtelier qui n'a pas encore vu le jour, mais qui fait l'objet de récriminations ayant abouti à...
D'énormes bouchons quotidiens, des klaxons
Khady Légumes : De 20 000 FCFA à la Révolution Agricole Numérique au Sénégal
Elle a l’âme d’un agriculteur et a su exploiter ses hectares de terre à Diogo (village situé dans la commune de Darou Khoudoss (région de Thiès)
Un fonds de 2,30 milliards FCFA financera les promoteurs qui opèrent dans la transformation des produits agricoles au Sénégal, a révélé vendredi à Dakar M. Ibrahima Sonko, conseiller technique au ministère de l’industrie et des mines.
Quartier africain du 18ème arrondissement de Paris, « Château rouge » (qui est une partie du découpage du quartier de la « Goutte d’Or ») est à la fois un lieu de vie mais aussi de fréquentation commerciale pour la communauté d’origine sénégalaise. Dans le nord de Paris, les Sénégalais de plusieurs générations d’immigrés ont pris leurs habitudes et font partie du décor depuis des années. Cependant, cette présence n’est pas toujours bien accueillie.
Le programme national des bourses de sécurité familiale, lancé en 2013 par le gouvernement sénégalais, est une expérience en marche dans le département de Guédiawaye (banlieue de Dakar) où des bénéficiaires se sont depuis lancés dans des activités génératrices de revenus, en vue d'améliorer leurs conditions de vie, a constaté un reporter de l'APS.
L'association des femmes de l'Afrique de l'ouest (AFAO) a inauguré, mardi A Gorom 1 dans le département de Rufisque (région de Dakar), un centre de formation et d'incubation pour les femmes transformatrices de produits agricoles "Oluremi Tinubu Oon", du nom d’une sénatrice nigériane, a constaté APA.
L'approvisionnement de certains marchés dakarois en denrées de première nécessité se trouvait perturbé, mardi matin, au sortir d'un long week-end marqué par des jours de célébration de la Korité, coïncidant avec la fin du jeûne musulman.
L’électricité commence à se faire rare dans certains quartiers de Dakar. Le Sénégal, en effet, est sous l’emprise des coupures régulières d'électricité, depuis des mois, qui se sont aggravées ces dernières semaines, durant parfois toute une journée dans certaines zones. Ainsi, trouver de la glace encore moins de l’eau fraîche ou conserver des aliments devient quasi-impossible surtout si l’interruption de l’électricité coïncide avec une journée de canicule. Ces délestages, qui touchent la plupart des quartiers de Dakar, ont un impact négatif sur l'activité économique, en particulier pour les petits commerces, très nombreux au Sénégal, mais aussi sur certains aliments. Elles sont la cause de nombreux désagréments en tout genre. Cependant, conserver de la viande, des volailles, des oeufs, des produits laitiers, des poissons, des fruits et légumes et des mets déjà préparés s’avère être difficile. Une telle situation met les ménagères dans la tourmente. «Nous sommes fatigués», lance Khady Ndiaye.
Les prix des légumes "tendent à la baisse’’ en dépit du comportement de certains spéculateurs qui profitent des troubles et des incertitudes de l’entre-deux tours de la présidentielle pour renchérir et ainsi perturber l’approvisionnement des marchés, ont indiqué des vendeuses interrogées mardi par l’APS.
Au Sénégal, les ménagères peinent à trouver la sardinelle qui leur fournit jusqu’à 70 % de leur besoin en protéine animale pour leur sécurité alimentaire. Devenu rare, ce pélagique, prisé des femmes, a vu le doublement de son prix d’il y a cinq ans. Face à sa cherté, les pêcheurs s’endettent et pointent du doigt les chalutiers russes. Enquête !
Au Sénégal, les ménagères peinent à trouver la sardinelle qui leur fournit jusqu’à 70 % de leur besoin en protéine animale pour leur sécurité alimentaire. Devenu rare, ce pélagique, prisé des femmes, a vu le doublement de son prix d’il y a cinq ans. Face à sa cherté, les pêcheurs s’endettent et pointent du doigt les chalutiers russes. Enquête !
Les ménagères peinent à remplir leur panier ces temps-ci. La rareté et l’instabilité des prix des denrées, globalement en hausses, alourdissent considérablement les dépenses quotidiennes. Un tour dans certains marchés de Dakar a permis de se faire une idée sur les prix. Les ménagères ne savent plus où donner de la tête à cause de la valse des prix de certaines denrées alimentaires qui connaissent, depuis un certain temps, une flambée. A part la viande qui connaît présentement un léger mieux, le prix du poisson et des légumes connaissent une nette tendance haussière.
Les denrées inaccessibles à cause de la hausse de leurs prix pose un sérieux problème aux ménagères avec le Ramadan qui s'installe.
On dit qu’Ulysse a renoncé à l’immortalité pour retrouver sa patrie, Ithaque. Pour les réfugiés mauritaniens, dire que le pari du retour est presque aussi grand, serait sans doute exagéré. Pourtant, malgré les multiples incertitudes, certains sont décidés à regagner leur « patrie », l’espoir en bandoulière. Un paysage peuplé d’arbustes épineux si caractéristiques de toute cette région Nord du Sénégal. De l’autre côté de la route, le contraste est frappant avec les vastes champs de canne à sucre qui s’étendent sur des milliers d’hectares le long du lit du fleuve après Richard-Toll, dessinant une fantastique ligne verte.
La flambée des prix de certains produits, notamment les légumes, inquiète les ménages dakarois. Selon les commerçants rencontrés aux marchés Sandaga, grossistes et détaillants, cette situation s’explique par le fait que plusieurs produits à forte consommation sont importés. Quant au marché de la viande, il souffre d’un déficit de réglementation, si l’on en croit des consommateurs. Lundi 30 août 2010, à une dizaine de jours de la fin du ramadan. La circulation est dense sur l’avenue Cheikh Ahmadou Bamba à la hauteur du marché Hlm. Le soleil est au zénith. Il fait chaud. Les piétons transpirent. Certains commerçants assis devant leurs étals se servent d’éventails pour lutter contre la chaleur.