Le climat social s’est tendu au Centre régional des œuvres universitaires sociales de Ziguinchor (CROUS/Z). Réunis en assemblée générale, les membres du collège des délégués ont dénoncé la gestion jugée opaque du directeur, le Dr Salif Baldé.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Le climat social s’est tendu au Centre régional des œuvres universitaires sociales de Ziguinchor (CROUS/Z). Réunis en assemblée générale, les membres du collège des délégués ont dénoncé la gestion jugée opaque du directeur, le Dr Salif Baldé.
Fin de cavale pour Kalidou Thiam dit Kalz.
La fermeture de l’Université Assane Seck de Ziguinchor continue de susciter les polémiques.
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
Les coalitions Yewwi Askan Wi et Bunt-Bi sont endeuillées par la mort de ses deux conseillers municipaux...
Au moment de la précampagne présidentielle, nous avons assisté à une situation politique kafkaïenne...
Défait (2-0) par Dakar Sacré Cœur, ce dimanche au stade Alassane Djigo, pour le compte de la 8eme journée de Ligue 1, Niarry Tally s'enfonce dans les bas fonds du classement.
26 septembre 2002-26septembre 2015. Il y a 13 ans, le Joola chavirait aux larges des côtes gambiennes. Malgré le temps, la douleur est aussi vive dans les cœurs des familles des 1 863 personnes disparues tragiquement. Cette année, la Tabaski risque d’éclipser les commémorations de cette tragédie qui hantera l’histoire du Sénégal éternellement. Le Quotidien a décidé «d’ouvrir le ventre de l’Atlantique» en publiant la liste des victimes pour lutter contre l’oubli.
Les jours passent et la crise s’accentue de plus en plus à l’Alliance des forces de progrès (Afp). Le fossé se creuse entre les pro Niasse et les Pro Gakou. Landing Goudiaby, pour sa part, déplore cette situation. Il ne reconnait plus son mentor, qui les avait « formés dans l’espoir, la loyauté, l’intégrité et l’endurance ».
Les jeunes de Benno Bokk Yakaar (Bby) ne comptent pas se laisser faire. Eux aussi ont décidé de battre le macadam ce 8 mai pour dénoncer les tentatives d’intimidation de la part des libéraux. En effet, ils organisent une contre-manifestation le même jour que le Pds a choisi pour protester contre la cherté de la vie et demander la libération de Karim Wade. « Nous allons manifester le 8 mai et nous demandons à toute la jeunesse du pays de se joindre à nous pour contrecarrer cette opposition », a indiqué Pape Ibrahima Diassy, membre du mouvement des jeunesses de la mouvance présidentielle. Sur la même lancée, Moustapha Goudiaby de And jëf/Pads tendance Landing Savané d’ajouter dans les colonnes du Quotidien: « Il y a beaucoup de pressions et de menaces de la part des anciens tenants du pouvoir. Cela ne passera pas! Nous n’avons pas peur des menaces. C’est nous qui avions mené le combat contre Wade, mais nous serons debout et qu’ils sachent dès à présent qu’ils nous trouveront sur leur chemin ».
J’ai suivi avec intérêt les discours, positions et actes posés par les différents responsables du Parti Démocratique Sénégalais, de la Génération du Concret et du reste de la classe de la politique au niveau de la région de la Casamance. En ma qualité de citoyenne et fille de la Casamance je voudrais élever ma voix et contribuer au débat de l’heure. C’est presque une tautologie que de dire que le développement de notre région passe obligatoirement par une entente solidaire entre tous ses fils et filles, au delà des clivages partisans et/ou des guerres crypto-personnelles.
Incontestablement, Me Abdoulaye Wade, Secrétaire Général national du Pds, est l’homme politique le plus redoutable du pays. De tous les temps. C’est un athlète politique adepte des courses de fonds à longues distances, inscrites dans la durée. Il ne lâche jamais. A moins que ses adversaires brandissent le drapeau blanc. C’est une bête politique. On le lui reconnaît. Mais depuis sa brillante réélection (il faut le reconnaître) en février 2007, il offre l’image d’un homme perdant toutes ses facultés politiques. Si on épie de très prés les actes qu’il pose dans plusieurs domaines. A y voir de plus prés, on a l’impression que Wade ne cherchait qu’à être réélu. Objectif atteint, le Chef de l’Exécutif sénégalais s’offre tous les excès et semble oublier ses compatriotes, ses militants aussi.
La finalisation des études de faisabilité de la ligne de chemin de fer Ziguinchor-Dakar marque un tournant décisif pour le désenclavement de la région sud et, à terme, pour l’intégration africaine. C’est ce qui se dégage de la cérémonie présidée hier au palais par le chef de l’Etat, Me Abdoulaye Wade en présence des cadres casamançais, de l’association des familles des victimes du Joola, de députés de la région et des ministres concernés. La firme indienne « Rites » a procédé hier au palais de la République à la remise officielle des études de faisabilité du chemin de fer Dakar-Ziguinchor qui doit participer activement au désenclavement de la Casamance