L'Université Cheikh Anta Diop de Dakar n'a pas tardé à réagir suite au décès, ce jeudi, du Pr Abdou Salam Fall.
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L'Université Cheikh Anta Diop de Dakar n'a pas tardé à réagir suite au décès, ce jeudi, du Pr Abdou Salam Fall.
Lors d’une audition, mercredi dernier, devant le Conseil économique, social et environnemental (Cese)
Abdoulaye-Bara Diop nous a quitté dans la discrétion, comme à son habitude, le 3 janvier 2021, à Dakar.
Ce vendredi 1er novembre, s’est ouvert un panel sur le...
A l'ouverture de la 2ème édition du Salon tournant de l’Économie sociale et...
Le Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales de l’IFAN (LARTES-IFAN)
Le Collectif des enseignants vacataires du supérieur (Cevas) va tenir, aujourd’hui mardi, un sit-in devant l’Agence comptable principale de l’université Cheikh Anta Diop (Ucad) de Dakar. En décidant d’exposer leurs difficultés, les enseignants vacataires exigent le paiement sans délai du second semestre de 2017.
De 2000 à 2017, l'école publique sénégalaise a certainement parcouru les pages les plus sombres de son histoire. Dix-sept années de politiques inefficaces, d'injection de ressources faramineuses, de grèves intempestives, de baisse continue de qualité… Un cauchemar pour parents et élèves. Un mauvais signe pour l'avenir du pays.
Des milliers de nouveaux bacheliers frappent aux portes des universités publiques sénégalaises chaque année. Un effectif pléthorique dans les institutions d’enseignement supérieur du Sénégal qui cache mal l’insuffisance de l’effectif du personnel enseignant et de recherche (Per). La série de recrutement initiée par l’Etat est insuffisante, pendant ce temps-là les universités publiques se vident de ses enseignants. Ils partent en cascade en retraite, risquant de plonger les universités au bord du naufrage.
L’enquête du baromètre Jàngandoo 2016 a révélé un taux de réussite de 22% aux épreuves de lecture, de mathématiques et en culture générale, a annoncé mardi, la responsable de l’équipe Evaluation et gestion de changement de ce programme, le docteur Rokhaya Cissé.
Une enquête sur la qualité des apprentissages va se dérouler à partir de fin juin et pour un mois à travers les 14 régions du Sénégal. Menée par le Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (Lartes Ifan), elle va toucher 16 mille ménages, à en croire Rokhaya Cissé, sociologue et chercheure à Lartes Ifan. Déroulée dans le cadre du programme «Baromètre Jangando», cette enquête vise à tester le «niveau des élèves» âgés de 9 à 16 ans en se basant sur les matières comme la lecture, les mathématiques et la culture générale.
Le recteur de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD), le professeur Ibrahima Thioub a estimé, mardi à Mbour, que les difficultés de l’université sont liées à l’effectivité des enseignements sur une année universitaire.
L’enquête d’évaluation des apprentissages communément appelée ‘’Jángandoo’’ doit susciter, chez les Sénégalais, une dynamique de ‘’changement des comportements’’ en faveur du système éducatif sénégalais, a affirmé mardi, Ngary Faye, Inspecteur d’Académie de Dakar.
Dans une contribution dont APA a obtenu copie, dimanche, le sociologue Abdou Salam FALL (Ph D), Coordinateur du Laboratoire de Recherche sur les Transformations Economiques et Sociales (LARTES-IFAN), de Université Cheikh Anta Diop de Dakar salue la distinction décernée par le Conseil de l’Union Internationale pour l’Etude Scientifique de la Population (UIESP) au Dr Cheickh Mbacké, de nationalité sénégalaise, comme Lauréat International 2015 des Sciences de la Population aux Etats-Unis d’Amérique.
Le niveau scolaire dans les établissements élémentaires reste ‘’faible’’, a souligné mardi à Pikine (banlieue de Dakar), Fatou Dia, expert en statistiques du Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (LARTES) de l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN), citant une étude menée par sa structure.
Les collectivités locales, les acteurs de la société civile, et les organisations non gouvernementales doivent engager un «combat collectif» contre la déperdition scolaire qui assombrit l’avenir de beaucoup d’enfants sénégalais, a plaidé mardi à Dakar, Issakha Diop, maire de la commune de la Pikine-Est (banlieue dakaroise).
Le niveau d’apprentissage reste très faible au Sénégal avec un taux de réussite de 18,6% qui cache des disparités suivant les matières, les établissements et les localités, selon une enquête menée en 2014 par le Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales de l’Ifan auprès de 10 000 ménages. Soit 26 086 enfants âgés de 6 à 14 ans.
Le Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (Lartes) de l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar (Ucad) envisage de lancer cette année, un service à la carte pour l’évaluation des apprentissages pour les collectivités locales, a annoncé mardi à Dakar, son coordonnateur, le professeur Abdou Salam Fall.
Le Sénégal fait partie des pays qui ont réussi à mobiliser davantage de partenaires dans la réalisation des évaluations de la qualité de l’éducation, a dit mardi à Dakar, le professeur Abdou Salam Fall, coordonnateur du Laboratoire de recherche sur les transformations économiques et sociales (Lartes).
Une enquête de l’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN - Université Cheikh Anta Diop de Dakar) concernant 878 élèves de la région de Kaolack (Centre) - dont l’âge est compris entre six et 18 ans - révèle que 81,9 % d’entre eux ne savent pas lire et calculer.