La coalition Pastef enregistre un soutien de taille à Linguère. En effet, la députée de « Fekké Macci Bolé » a fait son choix de soutenir la coalition Pastef pour les élections législatives de 2024.
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La coalition Pastef enregistre un soutien de taille à Linguère. En effet, la députée de « Fekké Macci Bolé » a fait son choix de soutenir la coalition Pastef pour les élections législatives de 2024.
"Ils ont triché.» Les premiers mécontentements se font entendre. "
Les divergences entre l’opposition et la majorité sur la date des élections territoriales sont un des sujets en exergue dans la livraison des quotidiens de mercredi.
L'année politique en Afrique a débuté au Togo, le 22 février, par un vote.
Conseil de Défense, nouveaux bilans, polémiques… Retrouvez en live les dernières informations liées à l’épidémie de Covid-19, en France et à travers le monde.
La coalition Pastef enregistre un soutien de taille à Linguère. En effet, la députée de « Fekké Macci Bolé » a fait son choix de soutenir la coalition Pastef pour les élections législatives de 2024.
Le prix Nobel de la paix 2019
Chef de l’Etat, premier ministre, ministre..
En Irak, quatre mois après les législatives de mai dernier, l'élection de Mohammed al-Halboussi à la présidence du Parlement ce 15 septembre ouvre la voie à la constitution d'un nouveau gouvernement d'ici la fin de l'année.
-ATHENES- Il existe plusieurs moyens techniques d'effacer la dette grecque, dont font partie les dernières propositions du ministre des Finances Yanis Varoufakis, et il n'y a pas de revirement du gouvernement sur le sujet, a affirmé mardi le porte-parole du gouvernement grec Gabriel Sakellaridis.
Serigne Modou Kara Mbacké, le président du Mouvement « Bamba Fepp », brise le silence après quelques mois de retrait de la scène publique sénégalaise. Dans l’entretien exclusif qu’il nous a accordé, le leader du Parti de la vérité pour le développement fait un tour d’horizon des questions qui agitent l’actualité politique. Il s’explique aussi sur les nouvelles orientations qu’il a données à sa vie politique et religieuse.
Plus d’une quinzaine de ministres de l’ancienne équipe de Macky Sall n’ont pas été reconduits dans celle d’Adjibou Soumaré. Et le fait marquant est que tous ceux qui étaient accusés de ‘traîtrise’ sont passés à la trappe. De même que certains alliés comme Me El Hadji Diouf, Diègane Sène et Oumar Khassimou Dia. Me Abdoulaye Wade a mis hier à exécution sa menace de sévir contre les ‘traîtres’ de son parti qui ont été accusés, à tort ou à raison, d’avoir appelé au vote-sanction contre la coalition Sopi 2007 aux dernières législatives. C’est en tout cas l’une des lectures qu’on peut avoir à la vue du gouvernement mis sur pied hier et piloté par le Premier ministre Hadjibou Soumaré.
Le vieux Amadou Samb, un grand griot avec beaucoup de sagesse qui a longtemps vécu à New York, disait de certains individus que « booleen defalee lu baax du_u la gërëm, danu naan sama darajaa ni la tollu » (Si vous leur rendez un service ils ne vous remercient pas, ils considèrent que c’est un honneur dû à leur rang). Evidemment, la première explication de la faiblesse du taux de participation peut être attribuée à l’appel au boycott des dirigeants des partis qui ont cristallisé sur leurs noms, plus 40% des suffrages à l’élection présidentielle. Il y a aussi l’absence d’enjeu. Les autres raisons qui vont suivre pouvaient perdre de leur pertinence si la coalition Sopi n’avait pas basé toute sa campagne sur le fait qu’elle a été menée au nom, pour le compte et au service de Abdoulaye Wade
Les responsables libéraux qui n’ont pas mouillé le maillot pour pallier le faible taux de participation aux législatives ou qui ont demandé de voter contre la liste de la coalition Sopi sont avertis. Après que Me Wade les a qualifiés de «traîtres», il jure de leur régler leurs comptes et de moderniser le Pds, qu’il dit avoir constaté être «un parti informel». C’est un «langage cru et sans équivoque» que le secrétaire général national du Parti démocratique sénégalais (Pds), Abdoulaye Wade, a employé, hier, à la réunion du Comité directeur extraordinaire qu’il a convoquée pour faire l’analyse du scrutin de dimanche dernier. Bien qu’il ait félicité son Premier ministre pour le travail abattu pour arriver à ce résultat, Me Wade, confient des sources, n’a pas digéré le faible taux de participation enregistré aux élections législatives d’avant-hier.
De futurs sénateurs reçus vendredi dernier par le Pm En vue de calmer les frustrés, suite à leur non-investiture aux prochaines législatives du 03 juin prochain, plusieurs « futurs sénateurs » ont été convoqués vendredi soir par le Premier ministre. Ainsi, pour passer à la vitesse supérieure, et surtout éviter le « crash » avant le démarrage de la campagne électorale, les députés sont convoqués dès ce jeudi pour statuer sur la loi organique, concernant le Sénat. L'arrivée de ce Sénat constituant en quelque sorte l'ossature de l'équipe des futurs dauphins, à défaut de confirmer le dauphinat. Passée élection présidentielle, le Sénégal se dirige-t-il vers le retour du bicaméralisme, avec l'existence de deux assemblées parlementaires. En plus de l'Assemblée nationale, du Craes, le Sénégal passe l'accélérateur pour mettre en place le Sénat. Lequel, m is en place pour une première fois en janvier 1999 sous le régime du président Abdou Diouf, avait été « tué » par le président Me Wade par référendum du 7 janvier 2001.
Le Conseil d’Etat a tranché en faveur de l’opposition hier, vendredi 12 janvier, en annulant le décret n°2006-1350 du 08 décembre 2006 fixant la répartition des sièges des députés en vue des élections législatives. Ce qui, dans un premier temps, apparaît comme une victoire de l’opposition pourrait en fait se révéler un couteau à double tranchant. En effet comme Wade l’a rappelé lui même au sortir de sa visite au ministère de l’Intérieur, pour se rendre compte de la fiabilité du fichier électoral, il est juriste , tout comme son ministre de l’Intérieur. Ce qui aurait dû amener l’opposition a plus de circonspection et à se poser la question de savoir si une bourde aussi grosse qu’un nez sur le visage ne cachait pas en réalité un piège.