Celui qui se tait ne commet une faute que lorsqu’il avait l’obligation de parler, et celui qui parle également est en infraction lorsqu’il était tenu de garder le silence.
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Celui qui se tait ne commet une faute que lorsqu’il avait l’obligation de parler, et celui qui parle également est en infraction lorsqu’il était tenu de garder le silence.
Les femmes arrêtées dans la cadre de l’enquête de l’affaire des « boulettes pour fesses » ont unanimement contesté les faits qui leur sont reprochés.
Les minutes de l’audition de Bougane Guèye Dany
Le commissariat de Jaxaay a fait tomber le faussaire A. O. Diallo, qui est passé maitre dans la falsification de documents, entre les départements de Keur Massar, Pikine et Rufisque.
Nous traversons une curieuse période. Vocable plébiscité, la démocratie est devenue un cri de ralliement d’une galaxie fort hétérogène.
Le procureur a requis 2 ans, dont 1 mois ferme contre les personnes interpellées dans l'affaire des violences entre pêcheurs et des policiers à Mbour
26 septembre 2002-26septembre 2015. Il y a 13 ans, le Joola chavirait aux larges des côtes gambiennes. Malgré le temps, la douleur est aussi vive dans les cœurs des familles des 1 863 personnes disparues tragiquement. Cette année, la Tabaski risque d’éclipser les commémorations de cette tragédie qui hantera l’histoire du Sénégal éternellement. Le Quotidien a décidé «d’ouvrir le ventre de l’Atlantique» en publiant la liste des victimes pour lutter contre l’oubli.
Le président Abdou Diouf sera à Louga le 3 décembre prochain et le Ndiambour va rendre hommage à l’un de ses plus illustres fils. Au programme un accueil chaleureux sera réservé à l’ex-secrétaire général de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) et puis le boulevard de la gouvernance va porter le nom d’Abdou Diouf. Djiby Diallo, adjoint au maire de Louga, maitre d’œuvre de cette manifestation, déclare que le maire a « déjà donné des instructions à l’ensemble de ses proches et l’ensemble de l’équipe municipale pour lui réserver un accueil chaleureux ».
Artistes, hommes politiques, acteurs de la société civile et étudiants ont chanté, dansé et prié samedi soir à Dakar, pour rendre hommage au héros de la lutte anti-apartheid en Afrique du Sud, Nelson Mandela, décédé le 5 décembre à l’âge de 95 ans, et inhumé ce dimanche à Qunu, le village de son enfance.La soirée musicale a démarré par la chanson culte "Asimbonanga" du groupe sud-africain Savuka, dirigé par Johnny Clegg, qui a dédié ce morceau à Mandela, dans les années 1980.
Au titre des mesures individuelles, le conseil a pris les mesures suivantes : Monsieur Paul BADJI, Ambassadeur du Sénégal en France, est nommé, cumulativement avec ses fonctions, Ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la République du Sénégal auprès des deux coprinces de la Principauté d’Andorre, Son Excellence Monseigneur Enric Vives SICILIA, coprince Episcopal et Son Excellence Monsieur François Hollande, Président de la République Française, avec résidence à Paris ;
La majeure partie des communicateurs traditionnels sont soit des homosexuels soit des maquereauxCommunicateur traditionnel de son État, Ibrahima Ndiaye Niokhobaye revient sur son enfance gâtée. Fils unique de sa maman, il se croyait tout permis au cours de sa jeunesse où il a divorcé à treize reprises. Entretien avec un polygame hors pair, un homme de médias qui nous fait des révélations et raconte des anecdotes. Qui est réellement Ibrahima Ndiaye et d’où vient le surnom «Niokhobaye» ?
Un déluge de billets de banque et de chèques s’est abattu, mardi dernier, au Peenc-mi Night - club, le tout nouveau joyau de Thione Seck. Salam Diallo, qui a été le premier a foulé la scène du dancing, a été arrosé de millions par les marraines de la soirée, entre autres, Oumou Pro’vocation, Collé Faye et Kiné Seck, l’épouse de Thione. Elles ont dégainé plus vite que leurs ombres. Le sommeil des populations avoisinant le Peenc-mi, la nouvelle boîte du leader du Raam-daan, Thione Seck, a été perturbé mardi dernier. Et pour cause, la tornade Salam Diallo était dans les parages. Il y était pour animer la première soirée qui marque l’ouverture du dancing.
Si les membres de la Cour d’assises spéciale suivent à la lettre les réquisitions du parquet général, Alex, Banda Dabo, Fodé Cissé vont passer les restants de leurs jours en prison. En effet, le parquet général a requis vingt et une condamnations aux travaux forcés à perpétuité, neuf peines d’emprisonnement à vingt ans de travaux forcés, deux condamnations à dix ans de travaux forcés et quatre condamnations à vingt ans de travaux forcés par contumace.
Les prix de loyer ont atteint la côte d’alerte à Dakar depuis quelques années. Dans les quartiers comme Castors, Grand Yoff, une chambre est louée à 25.000 FCfa ou 30.000 Fcfa, alors que dans les quartiers résidentiels, une chambre peut revenir à 50.000 FCfa. Dans ces mêmes quartiers, on trouve des appartements de 150.000 FCfa ou 200.000 FCfa. Le plus grave, c’est que les coûts de loyers continuent de grimper au détriment de l’écrasante majorité des Dakarois. Partout, les locataires expriment leur désarroi.
Sauf miracle, Bassirou Diané passera le restant de ses jours en prison. Lors de la dernière affaire au rôle de la deuxième session des assises, le jeune maître coranique a été reconnu coupable d’assassinat avec torture et actes de barbarie sur l’élève Gallass Guèye. Il a été condamné aux travaux forcés à perpétuité. SAINT-LOUIS. Le procès de Bassirou Diané, accusé d’assassinat avec torture et actes de barbarie, a duré trois jours pour finir samedi, au petit matin. Le 25 février 2004, les gendarmes de Touba sont informés de la découverte du corps sans vie d’un garçon de 10 ans environ, dans un bâtiment en construction sis au quartier Darou Khoudoss.
Le Conseil constitutionnel, réuni jeudi à Dakar, a confirmé de manière définitive la victoire de la « Coalition Sopi 2007 » aux législatives du 3 juin dernier, suivant en cela les résultats provisoires donnés il y a une semaine par la Commission nationale de recensements des votes, a constaté l’Aps. Ainsi, après ’’les corrections nécessaires’’ et après avoir relevé qu’’aucun candidat’’ n’a contesté dans les délais prévus par la loi la régularité du scrutin, le verdict prononcé par le Greffier en chef du Conseil constitutionnel, Me Ndèye Maguette Mbengue, consacre la large victoire de la « Coalition Sopi 2007 », qui obtient 131 sièges de député sur les 150 de la future Assemblée nationale.
Cette interview a déjà été publiée ici même, dans notre édition du 6 avril dernier. Mais sa rediffusion s’impose. Actualité oblige. Surtout au moment où en France, les Emmanueli, Alain Juppé, Charles Pasqua, Bernard Tapie, Michel Roussin et tant d’autres hommes politiques de l’Hexagone ont purgé ou continuent de purger leur exclusion de la scène politique pour avoir été mis en examen pour divers délits. Mais au Sénégal, Idrissa Seck se croit au-dessus des lois et œuvre maladroitement pour échapper à la logique de la justice. Heureusement que les hommes de droit sont là pour le rappeler à l’ordre. A l’exemple de Me Mbaye Jacques Ndiaye.
Hier, au Tribunal des flagrants délits, Jean-Paul Dias a été condamné à une peine d’emprisonnement d’un an dont trois mois fermes. Pourtant, la plaidoirie de la défense ne présageait pas cette sentence. La voix du juge Katy Diémé, présidente du Tribunal des flagrants délits, trahit son jeune âge. Elle tonne sur la salle remplie d’un public hétérogène : «M. Dias, vous êtes condamnés à un an d’emprisonnement avec neuf mois de sursis.» Ensuite, comme si elle sentait la nécessité de s’expliquer, elle fixe son regard, jusqu’ici furtif, sur le prévenu Jean-Paul Dias et ajoute : «Vous avez trois mois fermes !.» Dias reste serein. Ses avocats accourent vers lui. Les gendarmes et autres gardes pénitentiaires aussi. Ils l’entourent.
Le leader du Bloc des centristes gaïndé (Bcg), Jean Paul Dias, est placé sous mandat de dépôt à la prison centrale de Rebeuss. Le procureur de la République qui l’a entendu hier, vendredi 11 août, a décidé de le garder en prison pour « offense au chef de l’Etat », « outrage à magistrat », et « propos injurieux » contre le président de la République et le Procureur de la République. Par ailleurs, Barthélémy Dias, le fils du patron du Bcg, est convoqué ce samedi à la Division des investigations criminelles (Dic). Il a décidé de répondre à la convocation. Auparavant, Christiane Dias, l’épouse de Jean Paul Dias, a tenu, dans la même journée, un point de presse pour s’inquiéter de l’état de santé de son mari.
Les avocats du maire de Bambey, Pape Diouf montent au créneau. Ils réclament la libération immédiate de leur client incarcéré à Diourbel. Maître Djiby Diallo menace de porter plainte contre les autorités locales qui ont fait arrêter Pape Diouf. En même temps, le ministre d’Etat, Aminata Tall a durci le temps. Sur les ondes de Sud-Fm, elle dénonce et demande au Président Wade de mettre fin à ces "dérives"..."Nous demandons la libération immédiate de notre client. Sinon, nous allons porter plainte pour détention arbitraire. Les autorités locales ont violé la loi en procédant à l’arrestion de notre client.