Côte d'Ivoire: arrestation d'un bras droit de Laurent Gbagbo
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Côte d'Ivoire: arrestation d'un bras droit de Laurent Gbagbo
Plus de 1.500 personnes, dont un millier placées en détention, font l'objet de poursuites au Maroc après les manifestations du collectif GenZ 212 pour exiger de meilleurs services publics d'éducation et santé, a indiqué une ONG locale vendredi, réclamant "la libération de tous les détenus" arrêtés pendant les rassemblements.
Les cinq candidats à l'élection présidentielle de samedi en Côte d'Ivoire ont tenu leurs derniers meetings et parades jeudi, au dernier jour de la campagne électorale.
Un homme est mort mardi alors qu'il aidait les forces de l'ordre à démanteler des barricades près de la capitale politique ivoirienne Yamoussoukro, en proie à des blocages ponctuels de l'opposition, à trois jours de la présidentielle, a annoncé le Procureur de la République.
L'ancien président ivoirien Laurent Gbagbo, désormais opposant et dont la candidature à la présidentielle de samedi a été rejetée, a qualifié mercredi le scrutin de "coup d'Etat civil" et de "braquage électoral".
Un gendarme ivoirien a été tué lundi par "des tirs d’arme à feu" lors d'une patrouille de sécurisation dans le sud du pays, une région en proie à des manifestations et blocages ponctuels de l'opposition, à cinq jours de l'élection présidentielle.
Le gouvernement ivoirien a interdit vendredi soir pour une durée de deux mois toute manifestation ou meeting "des partis ou groupements politiques", à l'exception de ceux des cinq candidats qualifiés à l'élection présidentielle du 25 octobre.
Environ 700 personnes ont été arrêtées, pour avoir participé à des manifestations interdites de l’opposition, selon le procureur Oumar Braman Koné.
Vingt-six personnes ont été condamnées jeudi à 36 mois de prison ferme en Côte d'Ivoire, notamment pour "troubles à l'ordre public", accusées d'avoir participé à des manifestations interdites, a appris l'AFP vendredi auprès de deux avocats, dont l'un est membre du principal parti d'opposition.
"C'est le tour d'une nouvelle génération", a déclaré jeudi à l'AFP le candidat à la présidentielle ivoirienne Jean-Louis Billon, un dissident de la principale formation d'opposition, le Parti démocratique de Côte d'Ivoire (PDCI), en marge d'un meeting à Dabou (sud).
Un homme a été tué par balle par des "individus non identifiés", lundi dans le sud de la Côte d'Ivoire, lors d'une manifestation contre un quatrième mandat du chef de l'Etat Alassane Ouattara, à moins de deux semaines de la présidentielle, a annoncé mardi la police.
Maroc: nouvelles manifestations prévues après des violences meurtrières
Un tribunal de Conakry a condamné mercredi en appel à deux ans de prison ferme un opposant guinéen pour "offense et diffamation" à l'encontre du chef de la junte, a indiqué à l'AFP un de ses avocats.
Dans une tribune intitulée Un Premier ministre à surveiller : ses propos le trahissent, Thierno Bocoum, président du mouvement AGIR, alerte sur les récentes déclarations du Premier ministre sénégalais Ousmane Sonko, tenues lors d’une interview à la RTB à Ouagadougou le 19 mai 2025
Le ministère de l’Éducation nationale a émis une circulaire ferme visant à encadrer davantage les activités des gouvernements scolaires au sein des établissements publics et privés du pays. Cette mesure intervient à la suite de comportements jugés “obscènes” observés lors de certaines manifestations organisées par des élèves.
Des partisans de Farba Ngom, député-maire des Agnams, actuellement incarcéré dans le cadre de la reddition des comptes, ont vivement dénoncé ce qu’ils qualifient d’«?acharnement?» contre leur leader.
Une peine de cinq ans de prison ferme a été requise mardi contre un opposant guinéen, jugé devant la cour d'appel de Conakry pour "offense et diffamation" à l'encontre du chef de la junte, a constaté un journaliste de l'AFP.
Le Front pour la Défense de la Démocratie et de la République (FDR) a été mis sur pied.
Le Front pour la défense de la démocratie et de la République constate que "le pouvoir Pastef s'enlise dans une logique de règlement de comptes et une volonté de liquidation des libertés démocratiques si chèrement conquises par des décennies de lutte de notre peuple".
Un collectif pour la liberté de la presse en Guinée a exprimé sa "profonde inquiétude" deux mois après la disparition d'un journaliste d'investigation critique de la junte au pouvoir.