Depuis qu’il occupe le banc des Lions, Aliou Cissé a...
il y a 1 an
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Depuis qu’il occupe le banc des Lions, Aliou Cissé a...
Cinq artistes du groupe de Sidy Diop ont faussé compagnie à leurs collègues lors d’une tournée du chanteur en Italie et en Allemagne.
Il l'avait prédit, il y a deux semaines. Le marabout tradipraticien Serigne Mara Niass, par le canal de Seneweb, avait annoncé, le 21 octobre dernier, la blessure contractée hier mercredi par l'international sénégalais Sadio Mané, touché à un tendon...
Il l'avait prédit, il y a deux semaines. Le marabout tradipraticien Serigne Mara Niass, par le canal de Seneweb, avait annoncé, le 21 octobre dernier, la blessure contractée hier mercredi par l'international sénégalais Sadio Mané, touché à un tendon...
Face au tollé suscité par ses propos sur le conflit israélo-palestinien, notamment, Idrissa Seck a tenu à répondre d'une façon bien particulière.
Le Conseil des Ministres s’est réuni, le Mercredi 7 mai 2014, au palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky SALL.
Le Conseil des Ministres s’est réuni, le Mercredi 7 mai 2014, au palais de la République, sous la présidence du Chef de l’Etat, son Excellence, Monsieur Macky SALL.
Tout le monde sauf Idrissa Seck ! Pourrait-on commenter après le balai des pleurs entamé en 2012 par Moustapha Niasse, plagié par l’aprésite Mbaye Ndiaye devenu depuis lors, « Mbaye Diooye ».
Lors d’une émission sur la « Télé Saint Louis » (TSL), le marabout homme politique Ahmet Khalifa Niasse leader du FAP a révélé qu’il y’a une liste de marabouts qui sont dans le collimateur du nouveau régime. « J’ai eu des informations selon lesquelles le régime de Macky Sall a une liste de chefs religieux à qui il veut régler leurs comptes. Il s’agit entre autres de Cheikh Béthio Thioune, Serigne Modou Kara, Moustapha Sy des moustarchidines et moi-même. Mais en ce qui me concerne, je suis prêt à aller rejoindre Cheikh Béthio en prison » a-t-il déclaré. Auparavant, le Ministre de la Justice Mme Aminata Touré a porté des menaces envers ceux qu’elle qualifie de « bandits à col blanc ».
Wade fauché comme un rat d’église en 2000, entre les deux tours, cela ne souffre d’aucun doute. La preuve nous a été donnée, hier, par l’édile de Kaolack. Ce dernier s’adressant aux responsables des 11 sections que compte Kasnack, le quartier qui abrite son domicile familial, a levé un coin du voile sur les dispositions financières de 3W à la veille de l’élection qui a consacré la débâcle des socialistes. «Le 16 mars 2000, à 8 heures, j’étais dans ma chambre, (Mara) Seck m’a appelé avec son téléphone portable pour me dire qu’il avait encore besoin de moi pour que j’informe Moustapha Niasse que les 50 millions qu’il avait remis à (Highlander Wade) étaient épuisés», a confié Madieyna Diouf.
![[AUDIO] Manifestation à Kaolack : Serigne Mara Diagne, un jeune manifestant tué par une grenade lacrymogène](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//e54092df41b9294c7d15cb23cd541f8e.jpg)
Un jeune manifestant, du nom de Serigne Mara Diagne, a été tué par l'explosion d'une grenade lacrymogène, dans la nuit du vendredi au samedi 18 février entre 00h 30 et 2h du matin. Selon le correspondant de la Rfm à Kaolack, des témoins soulignent que la victime a succombé à ses blessures après qu'une grenade lacrymogène l'ait atteint à la nuque.
En mars 2001 après un an de compagnonnage et en perspective d’élection législative, Wade se séparait de son Premier ministre Niasse parce qu’ils ne s’entendaient pas sur plusieurs aspects. Dans les autres explications du PDS et du ministre d’Etat Idrissa Seck, on a parlé de manque de solidarité de Moustapha Niasse et de ses connivences avec les socialistes à Mbour, des conseillers de l’Afp avaient appuyé des socialistes qui ont pris la mairie au détriment du candidat du Front pour l’Alternance (FAL). Après avoir détrôné l’ennemi commun, c’est le combat interne des vainqueurs.
À force de se frotter avec la politique, la quasi-totalité des hommes politiques sénégalais se sont fait coller un surnom. Les journaux satiriques et d’autres publications de la presse people sont passés par là. Une manière de mettre en relief leurs particularités physiques ou morales soit par admiration soit par moquerie. En politique, on voit et entend tout. Tous les coups sont permis. Et quand on décide de se frotter avec ce milieu, on doit être capable d’avaler tout, non sans chercher les voies et moyens de mieux séduire, de mieux convaincre, malgré les défauts. Ce ne sont pas nos hommes politiques qui diront le contraire. Ils ont pris l’habitude de se familiariser avec les surnoms qu’on leur donne par dérision et qui sont fondés sur quelque particularité du corps ou de l'esprit
Le Sopi peut-il survivre sans Idrissa Seck ?Je me suis demandé, à l’occasion du retour annoncé d’Idrissa Seck au PDS – dans le courant du mois de janvier, aux côtés d’Iba Der Thiam et d’Abdoulaye Faye –, dans quelle souricière ses « frères » libéraux l’avaient encore entraîné. Certes, le décorum était bien en place. L’élan des retrouvailles fraternelles pompeusement surjoué. Mais il manquait un soupçon de bonne foi dans ce qui est apparu par la suite comme une grotesque mise en scène.
Suite aux audiences de midi, l’histoire s’est répétée hier ; près de deux ans après. Me Wade a ouvert les portes de son palais à celui qui lui avait rappelé qu’il était «ancien spermatozoïde et futur cadavre» : Idrissa Seck est depuis ce début de semaine, à nouveau, une star au Parti démocratique sénégalais. Un acteur qui sait, comme son maître et «père», cacher ses cartes. Le premier non-dit de l’ex-Premier ministre est que son face-à-face, hier, avec le président de la République, pour ne parler que de « questions politiques», est en fait l’officialisation d’une retrouvaille qui a été scellée dans le domaine privé de Me Wade en France : à Versailles
S’il n’y avait pas les Alpes qui se dressent devant lui, Abdoulaye Wade verrait, de l’autre côté du massif central, les gaietés de son poulain. Il y passe des jours tranquilles, loin des débats qui agitent l’opinion. Il va y fêter ses 48 ans. Il y a 4 ans, presque jour pour jour, Idrissa Seck s’est fait rappeler de vacances d’autorité. Le président de la République avait alors signé un décret, resté sans suite, qui imposait aux ministres des vacances à domicile. Les pluies torrentielles avaient détruit des récoltes un peu partout, et causé la mort de plusieurs personnes. Ce ne sera certainement pas le cas cette année. Un de ses conseillers, venu le consulter pour reprendre sa carrière abandonnée
Après près de sept mois de conflit, le groupe de presse wal fadjri et l’artiste Youssou Ndour se sont réconciliés dans les locaux du groupe de Sidy Lamine Niasse à Sacré-coeur. Et la réconciliation a été possible grâce à El hadji Mansour Mansour Mbaye, le président de l’Association des communicateurs traditionnels du Sénégal qui a joué les bons offices entre les deux parties. Par Nettali En effet, selon la radio Walf fm qui donne la nouvelle, c’est vers les coups de 17 heures que Youssou Ndour, accompagné de son ami Mara Dieng, d’El hadji Mansou Mbaye, mais aussi de Mamoudou Ibra Kane, directeur de la radio Rfm et Aliou Ndiaye, directeur de publication du quotidien l’Obersateur
Déroutante, pour certains, prévisible, pour d’autres. La sortie de l’ex Premier ministre, Idrissa Seck, est diversement appréciée, surtout dans un contexte où le vainqueur de l’élection présidentielle du 25 février dernier a décidé de relancer les dossiers judiciaires des opposants Ousmane Tanor Dieng, Moustapha Niasse, Amath Dansokho et Idrissa Seck. Déroutante, pour ceux qui s’attendaient à un déballage de la part du maire de Thiès. Des révélations sur les fonds politiques, les Sénégalais n’en sauront pas davantage. Idy a zappé, en adoptant le silence comme mode de communication. Pas un seul mot, pas même une allusion sur les accusations du Président Wade au sujet des fonds politiques
Les temps passent, les contextes évoluent et les hommes s’adaptent. Leurs propos restent. Comme pour dire que les paroles s’envolent mais les écritures restent. Du beau temps de son idylle avec son «père d’emprunt», Idrissa Seck, nouvel opposant dans l’arène politique sénégalaise, ne manquait pas de louer son Me Abdoulaye Wade. Ce qui était d’ailleurs dans l’ordre normal des choses. Toutefois, l’on aura constaté qu’il le faisait rarement et quand il s’y mettait, c’était pour le comble. Aujourd’hui qu’il s’est retrouvé dans le camp adverse, il serait intéressant de savoir si le Secrétaire général de Rewmi garde toujours son admiration envers son ex-patron au Parti démocratique sénégalais (Pds).
Faute d’arracher un « ndiggël » des Khalifes généraux des confréries, Wade semble désormais jeter son dévolu sur les marabouts de second calibre. Serigne Béthio Thioune, Chérif Abdourahmane Fall Tilala et Serigne Modou Kara sont les premiers à se manifester et rivalisent de représentativité. Leurs jeunes disciples totalement acquis à leur cause en seront-ils pour autant de potentiels électeurs capables de réélire le président Wade? Ils ont en commun leur appartenance à la communauté mouride et leur intention de soutenir le président Abdoulaye Wade à la prochaine Présidentielle. Cheikh Béthio Thioune, Chérif Abdourahmane Fall Tilala et Serigne Modou Kara sont tous trois des guides religieux ayant acquis leur réputation dans la voie du mouridisme.
