Affaire Madiambal Diagne : trois responsables d’Ellipse Projects visés par les enquêteurs
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Affaire Madiambal Diagne : trois responsables d’Ellipse Projects visés par les enquêteurs
"12 milliards FCFA blanchis" : le réquisitoire choc contre Madiambal Diagne et sa famille
Ils sont désormais quatre personnes en prison pour l’affaire de détournement
Les receleurs présumés, Saliou Faye et Mohamed Lamine Guèye, commerçants au «marché Alizé»
Les deux premières sont en poste à la Sonatel Boulevard de la République et les seconds, commerçants au «marché Alizé».
Des conducteurs de "Waar gaïndé" ou taxis clandestins sont peu loquaces sur le sujet de cette voie routière qui relierait Dakar à Saint-Louis par la côte.
Les receleurs présumés, Saliou Faye et Mohamed Lamine Guèye, commerçants au «marché Alizé»
Les deux premières sont en poste à la Sonatel Boulevard de la République et les seconds, commerçants au «marché Alizé».
Le business des téléphones mobiles d'occasion, sur le modèle des voitures de seconde main, peut compter sur une clientèle non négligeable à Dakar, une situation dont profite le commerce informel qui semble se recycler en profitant des excès d'un modèle consumériste de plus en plus planétaire.
Cinq personnes ont été arrêtées et sont actuellement en garde-à-vue dans les locaux du commissariat central de Guédiawaye. Selon La Tribune, elles ont tenté de voler dans les caisses de la Poste la somme de 100 millions de franc Cfa.
La police sénégalaise a interpellé, récemment, une bande de jeunes présumés auteurs d'un vol commis avec violence, sur la Corniche-Ouest de Dakar, sur un homme et trois femmes "attaqués par huit personnes armées de couteaux", rapporte un communiqué transmis à l'APS.
« Le bien mal acquis ne profite jamais », dit la vieille maxime. Quand on profite de la faiblesse des uns et des autres, on fait de l’usure, et, l’usure, est un bien mal acquis. « Il faut protéger l’industrie locale », a-t-on souvent l’habitude d’entendre des victimes de la concurrence internationale.
Le candidat de l’unité et du rassemblement de Bennoo Siggil Senegaal est allé, hier, à la rencontre des artisans, commerçants et marchants ambulants de Dakar pour mieux s’imprégner de leurs difficultés. De la chambre de métiers du village artisanal de Soumbédioune, jusqu’au marché des Hlm, en passant par Médina, Tilène, ( ... )
En ce mois de juillet 2011 où l’actualité a été largement nourrie par les rebondissements de l’affaire DSK, la guerre d’agression contre la Libye, le 93ème anniversaire de Nelson Mandela, le feuilleton de la dette grecque, la famine en Afrique de l’Est ou encore l’abyssal déficit budgétaire américain, la célébration du vingtième anniversaire de la première communication téléphonique émise sur un réseau téléphonique de type GSM par le Premier ministre finlandais, Harri Holkeri, le 1er juillet 1991, est passé pratiquement inaperçue.
Samsung Electronics, leader mondial dans le développement de l’électronique, doit aujourd’hui sa place de renommée à une incontestable avance technologique qui lui a permis au cours de ces deux dernières décennies d’acquérir un savoir faire remarquable non seulement dans la fabrication des produits électroménagers,
Les projets de construction ne passeront plus comme lettre à la poste. Le nouveau maire de Dakar refuse d’accepter tous les projets que l’Etat lui proposerait. La ville de Dakar refuse d’accepter n’importe quel projet de construction que l’Etat lui proposera, a souligné hier le nouveau maire de la capitale sénégalaise. ‘En ce qui concerne les permis de construction, l’Etat veut neutraliser les collectivités locales. Certains projets de construction ne rencontrent pas l’assentiment ou l’approbation des populations. Les collectivités locales vont s’y opposer. Nous, en tout cas à la mairie de Dakar, nous ne validerons pas n’importe quel projet’, a averti hier Khalifa Ababacar Sall, lors de sa rencontre avec le Conseil national du patronat (Cnp).
Salam Diallo, fraîchement débarqué d’une tournée internationale, nous est revenu avec un tout autre esprit et dans une autre peau. Et comment ? Au cas où vous en doutez, regardez-le. Les joues bien potelées et le teint éclatant, il respire la forme. Avec une nouvelle production musicale qui sera prochainement dans les bacs, l’artiste promet de tout «déchirer». En attendant, découvrez le Salam Diallo «new-look» qui refuse de verser dans certaines polémiques. Du genre «Gùddi Town» ou l’affaire des «Goorjigeen». Il a tout de même consenti à parler de son péché mignon, les femmes.
La venue de la marque ‘Orange’ coûte cher à la Sonatel. C'est 1,6 % du chiffre d'affaires de cette entreprise de télécommunication. Une somme tirée des travaux de l'ancienne marque ‘Alizé’ qui, selon le représentant du personnel au Conseil d'administration (Ca), a fini de démontrer ses preuves. Pour Ibrahima Konté, cet argent aurait dû être investi pour améliorer la qualité de service tant décriée par les consommateurs. Dans l'entretien qu'il nous a accordé, M. Konté, par ailleurs ancien secrétaire général du Syndicat national des travailleurs des télécommunications, n'a pas manqué de tirer sur France télécom et sur l'Artp.
Les commerçants du « marché Alizé » vivent dans la crainte de voir tous leurs appareils téléphoniques et électroniques complètement endommagés. La toiture en bac allu zinc qui couvrait l’ensemble des cantines du marché a été enlevé, les supports en fer métallique détériorés, les installations électriques, téléphoniques et Internet détruites…En tout, ce sont vingt-cinq (25) millions de francs Cfa environ qui sont ainsi partis en ruine. L’opération de destruction a été nuitamment menée (dans la nuit du 13 au 14 mars) par des hommes qui, d’après les délégués des commerçants, ont déclaré avoir agi pour le compte de la Direction de l’aménagement urbain (DAU).
Dans le Pakao, les populations ne vivent pas les mêmes réalités que celles des autres contrées du pays. Chèreté de la vie, une ville en décrépitude, des pénuries pour certains produits. Tel est le lot quotidien des populations locales qui ne savent plus où donner de la tête. En matière de développement, Sédhiou est en décrépitude. Tous les secteurs sont délabrés, au grand dam des populations. Les leaders politiques qui devraient parler d’une seule voix pour une politique de développement concertée se jettent l’anathème, à tout bout de champ. Même au sein du Parti démocratique sénégalais (Pds), les responsables actuels sont incapables de sortir la vieille cité du Pakao de sa torpeur économique.