Les élections de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) du 2 août n’ont pas fini de faire parler.
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Les élections de la Fédération Sénégalaise de Football (FSF) du 2 août n’ont pas fini de faire parler.
Les États-Unis ont renouvelé leurs menaces jeudi à l'Assemblée générale de l'ONU contre les pays qui s'apprêtaient à voter une résolution condamnant la reconnaissance par Washington de Jérusalem comme capitale d'Israël, suscitant une nouvelle bronca après cet acte symbolique déjà largement condamné.
Il est parmi les 13 finalistes du prix Découvertes RFI de l’édition 2015. Mao Sidibé concourt avec 12 autres Africains et espère gagner avec un vote massif du public et le soutien des médias et de ses collègues. Son seul talent ne pourrait pas suffire vu que la dernière édition a été remportée par une Sénégalaise. Cependant, cela ne fait qu’amenuiser ses chances mais ne les anéantit pas. Mao a besoin d’un soutien fort du public sénégalais. Ceux qui le souhaitent peuvent aller voter pour lui surwww.prixdécouvertes.com/fr/vote.
Le FN vient de récolter 25% des voix lors des dernières élections européennes. À New York, de là où elle vit, Sandrine Kukurudz s'interroge sur les causes de ce score. Pourquoi, dans la bouche de la France, le communautarisme sonne-t-il comme une maladie ? Pourquoi en avoir peur ? Autant de question que notre contributrice tient à soulever.Témoignage.
Le Sénégal, l’un des pays les plus stables sur le plan politique, est entrain d’être gagné, à juste titre, par l’inquiétude du fait de la crise qui sévit au Mali. Ses autorités paniquent et ses sages hésitent à prendre une position claire et nette. Son Président, qui est en même temps celui de l’Organisation de la Conférence Islamique(OCI), indexe et vilipende l’Islam « exogène » qu’il qualifie de salafiste en l’opposant à celui des confréries du Sénégal.
Lorsque le 19 mars 2000, le candidat du FAL (Front pour l’Alternance) Abdoulaye Wade réussit à déboulonner le candidat du PS (Parti socialiste) Abdou Diouf à l’issue du second tour de la présidentielle, une page entière de l’histoire du Sénégal était tournée. L’événement est d’autant plus historique que les Socialistes ont régné sans partage à la tête du Sénégal depuis son accession à l’indépendance et que l’alternance s’est déroulée dans un esprit démocratique exemplaire. Retour sur les péripéties d’un événement démocratique fondateur. « Il faut le réveiller, dites lui que c’est le Président de la République qui veut lui parler. C’est très important ! » Quelques heures plus tard, il revient à la charge : « Je vous félicite Abdoulaye, vous avez gagné l’élection présidentielle ! »
Youssou N’Dour. Figure de la chanson mondiale, la star de Dakar diversifie ses activités en homme d’affaires avisé. Prudent, il évite la politique et préfère l’humanitaire. Il a grandi «enchevauché» entre deux maisons. Son père, parce qu’il avait épousé une fille de griot et n’était pas griot, avait dû quitter la «grande maison», celle où, dans la tradition de la caste, les faits et gestes du quotidien au même titre que l’histoire passée nourrissent les récits des poètes musiciens. A ses 10 ans, Youssou est réclamé par sa grand-mère maternelle.
Comme cela arrive dans toute entité hétérogène, il existe, dans notre opposition, des éléments sains, raisonnables, objectifs, patriotes. Certaines déclarations faites, dimanche 25 février, au soir, en portent, largement, témoignage. Le président a, parfaitement, raison de lui tendre, une nouvelle fois, la main. Le Sénégal est notre patrie commune. Pour accélérer la marche de son édification vers le bonheur et la prospérité, aucune volonté n’est de trop. L’histoire retiendra, à coup sûr, que le président Wade a fait, invariablement, de l’appel inlassable à toutes les forces vives de la nation, son credo, pendant toute la durée de son magistère