Ces habitants de Kolda subissent au quotidien, physiquement ou mentalement, les foudres de leurs épouses.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Ces habitants de Kolda subissent au quotidien, physiquement ou mentalement, les foudres de leurs épouses.
Revenant sur le déroulement de ce qui a failli être un drame, l’homme battu par sa femme s’explique.
Ces habitants de Kolda subissent au quotidien, physiquement ou mentalement, les foudres de leurs épouses.
L’artiste-comédien Charles Foster, président de l’association des...
Charles Forster : "L'association des maris battus est une association comme les autres"
Ces derniers jours le Sénégal est secoué par une actualité émaillée de violence faite aux femmes, en dernière Ndeye Codou, violemment tabassée par son mari, des suites d’une divergence très banale.
Au Sénégal, les gens ne se marient plus comme avant. Conséquence, beaucoup de divorces sont notés, surtout chez les jeunes couples. Les explications sont diverses. D’aucuns soutiennent que la cause principale est l’argent ; d’autres évoquent un manque de préparation religieuse, sociale et même mystique des jeunes mariés.
Mariée à un homme noir, une femme blanche a posté une lettre au magazine afro-américain, dans laquelle elle se posait des questions aux femmes noires. Mais en lieu et place, c’est un homme noir qui va lui apporter la réplique.
Charles Foster en detresse : « Djiguenn sopal té boul Wolou »
Estimant qu'il est torturé par son ex-épouse, Charles Foster a déposé une plainte, restée sans suite, auprès du Procureur de la République. Ne voulant plus souffrir le martyr, le président de l'association des maris battus sollicite l'intervention du Président de la République pour le sauver d'une femme trop violente. Il dispose de documents attestant de son divorce d'avec Anita Nouzilinou “aux torts exclusifs de l'épouse pour abandon de famille, mauvais traitements, excès, sévices ou injures graves avec une garde confiée à leur père et un large droit de visite à leur mère”, relate “Enquête”.
Charles Foster parle sans faire de la comédie. Dans un entretien accordé à EnQuête, le président de l’Association des maris battus déclare à qui veut l'entendre que "depuis que ce gouvernement est là, c’est la chasse aux sorcières". "On parle de la traque des biens mal acquis alors que tout le monde a mis la main à la sauce. On doit avoir l’esprit de tolérance, d’entraide et d’écoute.
L'association SOS Hommes battus organise lundi un colloque pour alerter sur les violences conjugales au masculin. Une victime a accepté de lever le tabou.
Le fait n’est jamais étalé sur la place publique. Par pudeur et surtout à cause de l’orgueil mâle. Les hommes ne font jamais état des violences dont ils sont victimes de la part de leur épouse. Pourtant, aux côtés des femmes victimes de violences, des hommes souffrent le martyre.
Ce 25 novembre, des millions de femmes ont manifesté contre les viols, le harcèlement, les insultes, à l’occasion de la Journée internationale contre les violences faites aux femmes. Une semaine plus tôt, la Journée mondiale des hommes (mâles) est passée presque inaperçue, sauf dans de rares pays comme le Burundi, qui, pour la première fois, a commémoré l’événement.
Même avec le départ subit de Dj koloss vers la RFM, Bougane a peu de soucis à se faire avec la percée montante de sa radio au niveau de l'audimat. Pour combler le vide laissé par l'ancien animateur de Dounya, Ameth Aidara pose au quotidien des actes professionnels qui confortent auditeurs et annonceurs.
Une coutume ancestrale de l’ethnie Bashilélé permet aux Congolaises d’avoir plusieurs maris. L’objectif principal de la polyandrie était de préserver la paix sociale. La colonisation et les maladies sexuellement transmissibles ont pratiquement mis un terme à cette tradition.
On parle très souvent des violences faites aux femmes, mais jamais de celles que subissent les hommes dans leur ménage du fait de leurs conjointes. On les appelle les maris battus. Ils sont victimes soit de violences verbales soit de violences physiques avec la particularité qu’ils souffrent dans le silence. Dans l’étude du phénomène des violences conjugales, la victime c’est toujours la femme et le bourreau le mari. Le sexe faible subit certes des supplices et cela mérite que des voix s’élèvent pour les dénoncer. Seulement, il y a aussi les hommes dont il est question ici de souligner leur malaise.
La violence faite aux hommes. On en parle rarement. Celle-ci se matérialise sous divers angles. Incursion dans le microcosme des relations conjugales où des hommes vivent « l'enfer ». « Cela fait cinq ans que je vis dans une situation très difficile avec une épouse qui passe tout son temps à m'insulter. Je ne veux pas que les voisins sachent le supplice que je subis. Je n'ai plus envie de vivre avec elle. Si ce n'était pas mes six enfants, j'aurai divorcé depuis longtemps ».
On aura tout vu ou entendu dans ce Sénégal où on assiste impuissamment à une perte de nos valeurs. Mais, le summum, c’est quand une femme tabasse son époux, tout en lui «donnant comme deuxième femme une poule» qu’elle a attaché sur ...les parties intimes de ce dernier. Récit d’une histoire rocambolesque. Une histoire somme toute invraisemblable défraie depuis lundi la chronique à Kébémer. En effet, cette affaire digne d’une scène de comédie, ayant pour cadre le village de Gayéne, localité située dans le département de Kébémer, plus précisément sur l’axe Sagatta-Touba, met sur la sellette une femme, jalouse comme pas possible, qui vient de battre sauvagement son mari, car condamnant ses sorties nocturnes fréquentes.
Au Sénégal, même si les femmes sont plus affectées par les actes graves aux conséquences les plus dévastatrices, les hommes aussi n’échappent pas à ce phénomène. En plus d’être ébouillantés, battus, injuriés, des hommes subissent des coups de pilon assénés par des femmes. Ces informations sont contenues dans le rapport 2008 de l’Unifem sur la « Situation des Violences basées sur le genre (Vbg) » au Sénégal. A l’occasion de la célébration de la Journée mondiale de la femme le 8 mars dernier l’Unfpa de concert avec l’Unifem a publié un rapport sur la « Situation des Violences basées sur le genre (Vbg) » au Sénégal.