Entre les banques et leurs clients, les litiges surviennent au quotidien.
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Entre les banques et leurs clients, les litiges surviennent au quotidien.
Dans cette deuxième partie de notre entretien, le Pr Ameth Ndiaye, économiste et professeur à la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion (UCAD), aborde le débat sur le franc CFA et l’éventuelle transition vers l’ECO.
Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Ismaila Madior Fall, a présidé ce matin l’ouverture de l’atelier de formation conjointe organisé par le Projet de renforcement de la justice civile et commerciale (JUCICOM) et le Comité national de médiation et de conciliation à l’endroit des membres du Conseil de direction, élargi aux autres acteurs judiciaires, notamment les avocats, les huissiers et les experts évaluateurs, entre autres.
Quand je dis Sonko, il ne s’agit pasque du responsable politique, mais il s’agit surtout de la vision qu’il incarne, du chemin qu’il trace, du monde qu’il crée par son action (pas celui qu’il dit), du citoyen qu’il façonne…
C’est à retracer le chemin parcouru par WCARO
Le Duel à distance entre Idrissa Seck et Aminata Touré en exergue
L’observatoire de la qualité des services financiers joue un rôle très important dans la médiation des problèmes financiers au Sénégal. Selon son secrétaire exécutif, Abdoulaye Gaye, l’institution a traité, de 2010 à 2014, près de 1 400 dossiers de médiations avec un taux de satisfaction qui dépasse les 90%. Et cela n’est que la face visible de l’iceberg, pour lui. Parce qu’«en plus de la résolution amiable de ces problèmes, il y a un bon volet de l’action de l’observatoire qui concourt à l’éducation financière des clients» car tout réclamant n’a pas forcément raison.
Pour rendre l’environnement des affaires plus attractif et sécurisant pour les investisseurs, les acteurs judicaires cherchent à réinventer une nouvelle méthode de règlement des différends. C’est dans cette logique que s’inscrit la création d’un Comité national de médiation et de conciliation qui a été installé hier par le ministre de la Justice, garde des Sceaux.
En ce mois de juillet chaud et sec, que les rigueurs du ramadan rendent encore plus austère pour des millions de Sénégalais soumis à cette épreuve religieuse, parler de politique peut sembler inconvenant. Mais comment se taire davantage quand on entend les bruits et inquiétudes qui surgissent de partout dans notre société, certains allant même jusqu’à dire que le pays est bloqué. Force est de l'admettre, l'évidence se passe de commentaires.
Ce n’était donc pas un rêve : les Wade, leur clan et leur système odieux sont partis, bien partis, après nous en avoir fait voir de toutes les couleurs en matière de mal gouvernance. Le lundi 2 avril 2012, le président nouvellement élu a été officiellement installé dans ses fonctions. Il a ensuite posé ses premiers actes : message à la Nation, nomination du Premier ministre et formation du nouveau gouvernement. Actes qui font l’objet de commentaires globalement favorables pour les deux premiers, et plus ou moins réservés pour le troisième.
Le Secrétaire Général du parti «African Democratic Secrétaire Général du parti «African Democratic Congress » Koukoie Samba Sanyang a saisi la Rédaction de Bitimrew.net pour se prononcer sur la situation politique en Gambie, sur le conflit en Casamance etc…
Le Mouvement pour le socialisme et l’unité, (Msu) invite ses pairs de l’opposition et de la société civile, ‘surtout les organisations syndicales’ à constituer un large front pour exiger la clarification des 20 milliards provenant du contrat avec la Sudatel. Parce que, ‘les Sénégalais ne doivent plus tolérer que nos dirigeants détournent nos ressources et poursuivent leurs actions de destruction nationale dans une impunité totale’, indique, dans un communique, le secrétariat politique du Msu. Les opposants de constater que depuis la révélation de ce ‘scandale financier d’une gravité exceptionnelle’,
Les médiateurs se frottent les mains et ne souhaitent pas la fin de la crise. La Gambie et la Guinée-Bissau, deux Etats au cœur de la crise, des journalistes proches du maquis, tout le monde y trouve son compte… Depuis plus de deux décennies la crise casamançaise trouble le sommeil des populations et freine le développement de la Casamance. L’Etat sénégalais a souvent nommé plusieurs personnes, qui doivent jouer le rôle de médiateurs pour mettre fin à la crise, mais aucun d’eux n’a réussi à mettre fin à ce conflit.
Descendant du fondateur de la confrérie mouride, le professeur Khadim Mbacké est également chercheur à l’Institut fondamental d’Afrique noire (Ifan). C’est donc un homme de synthèse qui pose, ici, à deux jours du Magal de Touba, un regard lucide et froid sur ce rendez-vous religieux. Notre invité du lundi jette aussi un faisceau de lumière sur des sujets d’actualité comme le terrorisme, la finance islamique, la prochaine Présidentielle, l’interdiction des minarets en Suisse et la polémique sur le Monument de la renaissance africaine. Nous sommes à deux jours du Grand Magal de Touba. Quel est le sentiment qui anime le Musulman, chercheur et descendant de Serigne Touba Khadimou Rassoul.
Ce « père » et ce « fils » sont effectivement des dëmm, des anthropophages qui se croient chacun plus rusé que l’autre et qui vont se livrer encore un combat sans merci, un combat dont l’issue devrait être l’enfer pour tous les deux, la seule place qu’ils méritent. Voilà que, comme par enchantement, et après tout ce qu’ils nous ont fait vivre de la période qui va du 21 avril 2004 à nos jours, ils sortent de leur boîte pour oser nous déclarer que tout est désormais derrière eux ! Ces deux compères n’en sont pas, loin s’en faut, à leur premier coup : ils nous ont habitués à leurs interminables ruptures-retrouvailles. Cette fois-ci quand même, la coupe est vraiment pleine, même pour nombre de leurs militants respectifs, à qui il reste encore au moins une part de lucidité.