La Brigade de recherches de Kaolack (Br), suivant les instructions du haut commandement de la gendarmerie nationale, mène des opérations intensives pour retrouver les auteurs du meurtre de Mamadou Samba Diallo.
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La Brigade de recherches de Kaolack (Br), suivant les instructions du haut commandement de la gendarmerie nationale, mène des opérations intensives pour retrouver les auteurs du meurtre de Mamadou Samba Diallo.
Un deuxième suspect a été arrêté dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de l’infirmier chef de poste de Arafat (Koungheul), Mamadou Samba Diallo.
Mamadou Samba Diallo, qui a perdu la vie dans l’attaque perpétrée par trois malfaiteurs, qui ont emporté ses moutons, a été inhumé mercredi au cimetière de Kaffrine.
Le meurtre de Mamadou Samba Diallo, infirmier-chef du centre de santé d’Arafat à Koungheul, a provoqué une vive indignation au sein du corps médical sénégalais
Un grand pas a été franchi dans l’enquête sur la mort de Mamadou Samba Diallo, l’infirmier chef de poste d’Arafat, un village de la commune de Missira Wadène, dans le département de Koungheul (Kaffrine).
Profondément affectés par l’assassinat de Mamadou Samba Diallo, infirmier-chef du poste de santé d’Arafat à Koungheul, les professionnels de santé, représentés par l’Alliance And Gueusseum et le SUTSAS, ont décrété une grève nationale de 24 heures ce vendredi 23 mai 2025 dans tous les districts sanitaires du Sénégal.
L’Union régionale des infirmiers de Kaffrine a tenu un point de presse suite à l’agression violente de Mamadou Samba Diallo, infirmier-chef de poste à Arafat, dans la commune de Missira Wadène (Koungheul).
Un drame d’une rare violence a frappé le secteur de la santé, dans la nuit du 20 au 21 mai 2025.
À la suite de l’assassinat de l’infirmier-chef Mamadou Samba Diallo lors d’une attaque à main armée perpétrée par des individus non identifiés dans le poste de santé d’Arafat, dans le district sanitaire
Le village d’Arafat, dans la commune de Missira Wadène (département de Koungheul), est sous le choc après l’assassinat du chef de poste de santé, Mamadou Samb Diallo.
Dans l’exercice de ses fonctions, en 2019, le Commandant de la brigade de gendarmerie de Koumpentoum est décédé au nom de la patrie.
Condamnés à 15 ans de travaux forcés dans l'affaire du double meurtre de Madinatoul Salam, 10 Thiantacones auraient bénéficié de la grâce du Président Macky Sall.
Bonjour, voici l'essentiel des infos de la matinée du lundi 6 mai 2019.
Le président Thierno Niang a tranché.
Le réquisitoire du procureur dans le procès de Cheikh Béthio Thioune et Cie pour le double meurtre de Médinatoul Salam est un des sujets en exergue dans les quotidiens reçus mardi à l’Agence de presse sénégalaise (APS). Le procureur de la République près du Tribunal de grande instance de Mbour, Youssou Diallo, a requis lundi une peine de travaux forcés à perpétuité à l’encontre du guide des Thiantacounes, Cheikh Béthio Thioune et de quinze de ses disciples dans le procès pour meurtre de deux de leurs disciples en 2012.
La Chambre criminelle du Tribunal de grande instance (TGI) de Mbour a ouvert, ce mardi 23 avril, le procès du double meurtre de Médinatoul Salam. Les accusés ont comparu devant la barre de ladite chambre à l’exception du guide des Thiantacônes Cheikh Béthio Thioune absent « pour des raisons de santé », selon ses avocats. Placés sous mandat de dépôt depuis le 26 avril 2012,
Dans un document volumineux, la Sûreté urbaine avait exposé les différentes péripéties de l’affaire Barthélémy Dias et Cie. Des constatations matérielles aux enquêtes menées en passant par les auditions des mis en cause et des témoins, tout a été mentionné pour permettre au procureur de la République, maître des poursuites, de cerner les contours de cette affaire. L'enquête avait mené Barth en prison.
Le dimanche 22 avril 2012, un peu après 19 heures, les éléments de la Brigade territoriale de Mbour avaient été informés qu’une bagarre a éclaté entre des disciples du guide des «thiantacounes» au village de Médinatoul Salam, communément appelé Keur Samba Laobé, dans le département de Mbour. Sur les lieux, les gendarmes avaient constaté «d’importantes traces de sang sur le sol, mais également une chemise tachetée de sang et étalée par terre. A l’intérieur de la maison, des traces étaient aussi visibles. Les enquêteurs avaient également constaté du sang sur un véhicule appartenant au propriétaire des lieux (Cheikh Béthio Thioune) et conduit par Mamadou Hanne dit Pape», notait un rapport du parquet de Thiès.
La Police sénégalaise, va-t-elle devenir républicaine avec Pathé Seck? Les fonctionnaires de Police vont-ils arriver, enfin à comprendre, leur rôle de garants de la sécurité des sénégalais? La Police sénégalaise, doit-elle demeurer une institution dirigée par des gens qui n'ont aucune notion du service public, aucun engagement pour servir le peuple sénégalais, sauf si ce n'est de réprimer ? Toutes ces victimes ne peuvent pas mourir, sans réaction, sans justice, sans sanction. Le constat a été sans appel, depuis que Waax Waxeet Wade accéda au pouvoir, en 2000 : l’usage abusif de la force a atteint un summum. Les sénégalais n’avaient pas encore réalisé, que ce vieux traître de Waax Waxeet Wade avait des objectifs « monarchisants » pour le Sénégal. Les responsables de la Police pour des raisons qu’ils doivent expliquer devant les juridictions spécialisées en matière de crimes militaires, ont toujours rayé de leurs missions « la notion d’utilisation raisonnable de la Force ». Nous ne disons pas à la Police de ne pas encadrer et de ne pas faire régner la sécurité. Mais nous déplorons la manière qui ne répond nullement à l’éthique à la déontologie policière.
Quatre jours après l’inculpation et le placement sous mandat de dépôt de Cheikh Béthio Thioune et Cie à la maison d’arrêt et de correction de Thiès par le Doyen des juges du tribunal régional de Thiès, Abdoulaye Assane Thioune, le substitut du procureur de Thiès, Cheikhna Anne, a été désigné pour faire un rapport sur l’affaire par sa hiérarchie. Dans un document intitulé «Note sur l’affaire ministère public contre Béthio Thioune et consorts» en date du 30 avril 2012, il explique au Procureur général près la Cour d’appel de Dakar d’alors, Youssoupha Mbodji, les différentes péripéties du double meurtre de Médinatoul Salam. L’Observateur a pu consulter cette «note», qui retrace l’affaire du double meurtre de Médinatoul Salam, de A à Z.