Le Sénégal est souvent cité comme un modèle de démocratie en Afrique de l’Ouest, fort de sa stabilité politique et de son pluralisme social
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Le Sénégal est souvent cité comme un modèle de démocratie en Afrique de l’Ouest, fort de sa stabilité politique et de son pluralisme social
Avec un taux de prévalence de 83%, le département de Matam figure parmi les zones les plus touchées en matière de mutilations génitales féminines (Mgf), selon Adama Diop.
Avec un taux de prévalence de 83%, le département de Matam figure parmi les zones les plus touchées en matière de mutilations génitales féminines (Mgf)...
Gambie: trois femmes inculpées après le décès d'un nourrisson excisé
Dans la région de Matam, où les mutilations génitales féminines (MGF) continuent de faire des victimes dans l’ombre, le dialogue communautaire s'impose aujourd'hui comme un levier essentiel pour changer les mentalités et protéger les jeunes filles.
Le taux officiel n’est pas connu, mais selon Ibrahima Sané, point focal du comité départemental de protection de l’enfant (CDPE) de Goudomp, au moins 3 filles sur 5 sont excisées.
Les mutilations génitales féminines (MGF) continuent de menacer la santé reproductive des femmes.
La Commission nationale des Droits de l’homme du Sénégal a initié une réflexion approfondie sur les droits humains à travers un dialogue parlementaire centré sur trois thématiques majeures : le droit de la famille, la protection de l’enfant et l’élimination des mutilations génitales féminines (MGF).
La Commission nationale des droits de l’homme du Sénégal a initié une réflexion approfondie sur les droits humains à travers un dialogue parlementaire axé sur trois thématiques majeures : le droit de la famille, la protection de l’enfant et l’élimination des mutilations génitales féminines (MGF).
En campagne de mobilisation à Goudomp (région de Sédhiou) depuis trois jours pour une sensibilisation des forces vives contre les mutilations génitales féminines (MGF), à travers des dialogues intergénérationnels communautaires et des rencontres avec les autorités administratives et locales, le Réseau des jeunes pour la promotion de l'abandon de MGF et des mariages d'enfants est en campagne pour une lutte commune pour l'application de la loi 1999 contre l'excision.
Dans un communiqué cosigné, UNICEF, UNFPA et ONU Femmes dénoncent l’excision collective de 11 filles âgées de moins de cinq ans et appellent à une application stricte des lois en vigueur. Selon le document transmis à notre rédaction, ces fillettes, âgées de cinq mois à cinq ans, ont été excisées le samedi 15 février 2025 dans le département de Goudomp, région de Sédhiou. Les trois agences des Nations Unies déplorent que cet acte survienne quelques jours seulement après la commémoration nationale de la Journée internationale de tolérance zéro contre les mutilations génitales féminines (MGF), le 6 février.
La Journée internationale Zéro tolérance à l'égard des Mutilations Génitales Féminines (MGF) a été célébrée ce 6 février 2025 sur l'esplanade de la mairie de Grand Yoff
Conviée à la journée de mobilisation des acteurs pour l'élimination des mutilations génitales féminines (MGf)...
Après les élus locaux (maires et parlementaires) c'est au tour des jeunes, de recevoir une formation en protection des filles. En effet, le réseau des jeunes pour la promotion de l'abandon des mutilations génitales féminines (MGF) et de la lutte contre les mariages d'enfants a initié dans ce sens un vaste programme d'activités visant tous les acteurs pour éradiquer le fléau, une réalité encrée dans les pratiques traditionnelles.
L'équipe médicale de ZAM, composée de médecins, sages-femmes, infirmiers entre autres, a dénoncé les pratiques persistantes de Mutilations génitales féminines à Ziguinchor
Les mutilations génitales féminines (MGF) sont une triste réalité à Sedhiou, avec un taux compris entre 70 et 90 %. Les causes de cette pratique sont situées dans les réalités socioculturelles.
Les députés gambiens ont approuvé lundi un rapport soutenant l'interdiction de l'excision et des mutilations génitales féminines en vigueur depuis 2015, avant un vote final prévu fin juillet sur l'abrogation éventuelle de cette interdiction.
Antony Blinken s'est entretenu avec le président gambien Adama Barrow sur fond de craintes que ce pays d'Afrique de l'Ouest ne revienne sur l'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF), selon le département d'Etat américain.
Le 18 mars 2024, le Parlement gambien a initié un projet de loi visant à abroger la loi anti-mutilation génitale féminine/excision (MGF/E) qui protège et criminalise la pratique des mutilations génitales féminines dans le pays. Lors d'un premier vote, la plupart des députés, soit 42 des présents, ont voté en faveur de l'abrogation de la loi de 2015 interdisant l'excision/mutilation génitale féminine.
L'interdiction des mutilations génitales féminines (MGF) en Gambie depuis 2015 est menacée.