L’intégration financière en Afrique vise à renforcer la circulation des capitaux, harmoniser les régulations bancaires et interconnecter les marchés financiers entre pays africains.
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L’intégration financière en Afrique vise à renforcer la circulation des capitaux, harmoniser les régulations bancaires et interconnecter les marchés financiers entre pays africains.
Analyse critique du "New Deal Technologique" du Sénégal : Enjeux et recommandations
Sam Sa gafaka Sam sa ëlêk/Acsif est une entité indépendante de l’Association des clients et sociétaires des institutions financières (Acsif). En lice pour les législatives du 17 novembre, le chef de file de cette coalition compte défendre les droits des clients des institutions financières, s'il obtient des sièges pour l’Assemblée nationale. Famara Ibrahima Cissé, par ailleurs président de l’Acsif, donne cinq raisons de voter pour cette coalition.
Le secteur des paiements électroniques en Afrique connaît une évolution fulgurante, et le Sénégal n’est pas en reste. Acteur majeur de cette révolution, HPS (Hightech Payment Systems) se distingue aujourd’hui comme l'une des trois plus grandes entreprises mondiales en matière de solutions de paiement. Fondée en 1995, cette entreprise 100% africaine déploie ses technologies dans plus de 95 pays, y compris en Afrique de l’Ouest, où le Sénégal occupe une place stratégique.
Le secteur des paiements électroniques en Afrique connaît une évolution fulgurante, et le Sénégal n’est pas en reste. Acteur majeur de cette révolution, HPS (Hightech Payment Systems) se distingue aujourd’hui comme l'une des trois plus grandes entreprises mondiales en matière de solutions de paiement. Fondée en 1995, cette entreprise 100% africaine déploie ses technologies dans plus de 95 pays, y compris en Afrique de l’Ouest, où le Sénégal occupe une place stratégique.
Le secteur des paiements électroniques en Afrique connaît une évolution fulgurante, et le Sénégal n’est pas en reste. Acteur majeur de cette révolution, HPS (Hightech Payment Systems) se distingue aujourd’hui comme l'une des trois plus grandes entreprises mondiales en matière de solutions de paiement. Fondée en 1995, cette entreprise 100% africaine déploie ses technologies dans plus de 95 pays, y compris en Afrique de l’Ouest, où le Sénégal occupe une place stratégique.
Au Sénégal, les technologies de l’information et de la communication (TIC) se sont développées à grande vitesse. Elles ont drastiquement amélioré le quotidien des populations.
A l‘heure actuelle, plusieurs initiatives stratégiques sont en standby, en retard dans l’exécution ou dans la livraison.
À l’instar des autres pays membres de l’UEMOA, le Sénégal célèbre la...
85,2% des Sénégalais qui n'ont pas de compte bancaire
La Banque Islamique du Sénégal (BIS) a procédé au lancement de...
La Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest (Bceao), a organisé un point de presse sur les entreprises de technologie (Fintech)
À 52 ans, Abdel Aziz Ould Dahi impressionne d'abord par son aisance à répondre à toutes les questions, même les plus surprenantes.
Le groupe Banque Centrale Populaire (BCP) a dévoilé le mardi 04 décembre 2018, au cours d’une cérémonie officielle à Dakar, ses ambitions stratégiques pour Banque Atlantique Sénégal
S’il y a un service qui se porte bien dans le Groupe Sonatel, c’est bien Orange money.
Le Directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP), Abdou Karim Sall, a jugé, lundi, ‘’très important’’ de développer le commerce électronique pour parvenir à en faire de même pour l’économie numérique.
En apposant sa signature sur un deuxième décret d’approbation de la cession de l’opérateur de téléphonie Tigo au français Free, le chef de l’Etat a rajouté à l’imbroglio juridique de l’affaire Millicom-Wari.
Le nouveau directeur général de la Sonatel, Sékou Dramé, est peut-être mal tombé.
« No money for terror », « pas d’argent pour le terrorisme », c’est le nom de la conférence internationale de « lutte contre le financement de l’organisation de l’Etat islamique (Daech) et d’al-Qaïda » qui s’est ouverte pour deux jours à Paris. Les ministres de 72 pays, des représentants d’organisations internationales mais aussi de nombreux experts ont répondu à l'invitation du président français.
La ministre de l’Economie solidaire et de la Microfinance, Aminata Angélique Manga s’est engagée, mardi, a poursuivre le processus de mobilisation des ressources financières en vue de l’opérationnalisation du plan d’actions prioritaires de la nouvelle Lettre de politique sectorielle et le Programme de la microfinance islamique (PROMISE).