Attrait devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, ce lundi 13 octobre, le porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (APR), Pape Mahawa Diouf a été condamné à une peine d'un mois avec sursis.
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Attrait devant le tribunal des flagrants délits de Dakar, ce lundi 13 octobre, le porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (APR), Pape Mahawa Diouf a été condamné à une peine d'un mois avec sursis.
Au Mali, le Président de la Transition, le général d’armée Assimi Goita s’est rendu chez le plus vieil habitant de Bamako, vendredi dernier, les bras chargés de cadeaux.
Le porte-parole adjoint de l’Alliance pour la République (APR), Pape Mahawa Diouf, a été condamné, ce lundi, à un mois de prison avec sursis, par le tribunal des flagrants délits de Dakar. Le juge a, par ailleurs, débouté l’Agence sénégalaise d’électrification rurale (ASER) de sa demande de constitution de partie civile.
Le Secrétariat exécutif national (SEN) de l’Alliance pour la République (APR) alerte sur "l’urgence de la situation des finances publiques", après le troisième abaissement de la note du Sénégal en dix-huit mois.
P. A. Ndoye a été déféré au parquet par le commissariat d'arrondissement de la Médina, pour viol et détournement de sa cousine, M. Ba, élève en classe de 3e, âgée de 15 ans. L'affaire a éclaté au grand jour au courant du mois août 2025.
En ce mois d'octobre dédié à la lutte contre le cancer du sein et du col de l’utérus, beaucoup de gens mène des activités de sensibilisation pour apporter leur pierre à l'édifice
En pleine procédure de divorce, l’ex-époux de la chanteuse Sia demande à l’interprète du tube «Chandelier» de lui verser une pension alimentaire mensuelle à six chiffres, assurant qu’il est sans emploi et n’a pas de revenus.
La sentence est tombée. Pour la deuxième fois en quelques mois, Moody’s Investors Service a abaissé la note souveraine du Sénégal, la faisant glisser encore plus profondément dans la catégorie des emprunteurs à haut risque. Ce n’est pas une simple mauvaise note :
La scène politique française connaît depuis plusieurs mois un bouleversement inédit. Réélu en 2022 mais privé d’une majorité stable à l’Assemblée nationale en 2024, le chef de l’État se trouve confronté à une crise institutionnelle majeure.
Le rappeur et producteur américain, P. Diddy, a été condamné à 50 mois de prison, le vendredi 3 octobre dernier, pour transport de personnes à des fins de prostitution, le seul chef d’accusation retenu contre lui, en juillet dernier, après deux longs mois de débats.
Âgé de 57 ans, le commerçant Amadou Cissé alias «Gaindé Macky Bou Goor» est condamné à six mois de prison avec sursis et à une amende de 100 000 F CFA.
Elle pleurait pendant qu’il jouait à la console… 30 ans de prison pour un Américain qui s’est acharné et a tué sa fille de 2 mois
A Abidjan, un centre d'accueil pour sortir de la drogue et des "fumoirs" Dans un quartier cossu d'Abidjan, il faut emprunter une petite porte discrète pour accéder au Centre d'accueil, de soins et d'accompagnement (CASA), où se retrouvent des usagers de drogues, particulièrement vulnérables et marginalisés en Côte d'Ivoire. Ce pays côtier de l'Afrique de l'Ouest est devenu ces dernières années un pays de transit du trafic international d'héroïne, de cocaïne ou de médicaments dont l'usage est détourné. Et s'il existe peu de données officielles sur la consommation, le docteur Fériole Zahoui, addictologue au CASA estime "entre 30.000 et 40.000 le nombre d'usagers de drogue à Abidjan", trois à quatre fois plus qu'il y a dix ans. Grâce au bouche à oreille, le centre, ouvert en 2018, s'est fait peu à peu connaître et accueille maintenant quotidiennement une vingtaine d'usagers qui viennent se reposer, se laver, mais aussi bénéficier d'un accompagnement social, médical et psychologique adapté, gratuit. Car la Côte d'Ivoire n'a pas choisi la voie du tout répressif contre les usagers de drogue: une loi de 2022 a réduit les peines pour les consommateurs, de 1 à 3 mois de prison au lieu de 1 à 5 ans auparavant. En fin de matinée, le calme règne dans la salle de repos du CASA: certains somnolent, d’autres bavardent ou regardent la télévision. En poussant les portes, on trouve une pharmacie, un laboratoire dédié au dépistage, des salles de consultation, une infirmerie… Un véritable centre médical en circuit fermé aux allures de foyer chaleureux, discret pour ne pas déranger les riverains. Pour beaucoup, le CASA est avant tout une maison, et sa communauté une famille sur laquelle compter quand l’addiction a tout emporté. Auprès de sa compagne endormie au sol, Hassan Mohana raconte à l'AFP qu'il vient tous les jours prendre son traitement de méthadone, substitut de l'héroïne, mais également se reposer et se doucher avant de commencer son travail de nuit. "Ça m'a permis de me retrouver, de garder un travail, de me réinsérer dans la société", explique l'homme de 40 ans, qui fréquente le CASA depuis son ouverture. L'héroïne et le "Kadhafi", mélange de tramadol et d'alcool, populaire par son prix bas (moins d'un euro la dose), sont les principales drogues consommées par les usagers qui fréquentent le centre. Le CASA distribue de la méthadone, un substitut qui a permis à Mamadou Touré de connaître "une deuxième naissance", en arrêtant l'héroïne consommée depuis l'adolescence. "Pendant des années, j'alternais entre le fumoir et la prison", témoigne l'homme de 47 ans. Aujourd'hui, il dit avoir trouvé un sens à sa vie: il est devenu éducateur pair au centre, un référent qui aide les usagers à s'en sortir à leur tour. - "Comme des chiens" - Sa fille de neuf mois endormie contre sa poitrine, Massita Konaté se rappelle l'enfer des fumoirs, où elle a vécu pendant des années. "Les gens y meurent comme des chiens, personne ne vient les chercher", témoigne la jeune maman, dont les avant-bras portent les stigmates des injections d'héroïne. A 35 ans, Massita aussi est sous méthadone. Si elle a retrouvé un appartement, elle continue de passer ses journées au CASA pour "être avec des gens qui (la) comprennent". Le CASA ne peut accueillir tous les consommateurs: alors, des maraudes sont menées dans des fumoirs, aussi appelés ghettos. Dans ces abris de fortune, les usagers fument du crack, du cannabis, s'injectent de l'héroïne, et essayent de survivre. Un bon accueil est réservé aux visages familiers des bénévoles et employés de CASA, venus faire de la prévention, distribuer des préservatifs ou des seringues à usage unique. "On n'a pas la force, on est faibles. Mais avec de l'aide, on peut changer, et travailler", assure David Junior, 34 ans. "Beaucoup de personnes malades au fumoir n'osent pas venir au CASA", explique Anicet Tagnon, responsable des activités communautaires. "C'est donc le centre qui se déplace vers eux", poursuit-il. "Il y a un fort enjeu d'information. Certains ne savent même pas qu'ils pourraient avoir accès à de la méthadone", appuie le Dr Fériole Zahoui. Depuis son ouverture, sous l'impulsion de Médecins du Monde et géré par l'ONG Espace Confiance, le CASA estime avoir accompagné plus de 3.000 personnes. Son fonctionnement annuel coûte environ 218.000 euros, financés en grande partie par l'agence de coopération Expertise France.
CNSA: quatre mois sans salaire, les travailleurs crient leur détresse.
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Février 2024 : un mois qui hante encore Aïssata Ba
Badara Sarr alias "Serigne Bada Kemane" a été jugé ce mercredi au tribunal des flagrants délits de Dakar
Au Mali, chaque entrée dans Bamako de camions-citernes escortés par l'armée est désormais un exploit, conséquence d'un blocus jihadiste en cours depuis un mois sur le carburant importé des pays voisins et dont la pénurie commence à perturber fortement ce pays sahélien enclavé.
Un Guadeloupéen de 69 ans a été condamné à quinze mois de prison dont cinq mois ferme aménageables, pour avoir braqué un centre commercial avec une carabine afin "d'entrer en prison" et y retrouver son petit-fils incarcéré, a appris l'AFP de sources concordantes, confirmant une information de la radio RCI.
Le régime actuel se veut un gouvernement souverainiste qui compte avant tout sur les fonds internes pour boucler son budget. Pourtant, la réalité semble tout autre à l’épreuve des faits.