L’artiste chanteuse Mame Coumba Mbaye, peu connue de la scène musicale sénégalaise contrairement à son défunt frère Ablaye Mbaye,
il y a 2 ans
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![[Profil] Mame Coumba, soeur et digne héritière du chanteur Ablaye Mbaye](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//a5bd69677c4c432e54b30424303214dd20d9813d.jpg)
L’artiste chanteuse Mame Coumba Mbaye, peu connue de la scène musicale sénégalaise contrairement à son défunt frère Ablaye Mbaye,
Pape Niang, ex de Xalam et actuellement leader de Black Groove, compte une quarantaine d'années de carrière dans la musique.
La chanteuse Coumbis Sorra, a appelé, mercredi, à Dakar, les jeunes musiciennes sénégalaises à croire en eux même et à travailler "dignement pour s’en sortir". "J’avais aussi envie de montrer aux jeunes, mes sœurs qui viennent de commencer la musique que c’est possible, il faut juste travailler il n’y a que le travail qui paye (…), il faut juste se battre dignement pour s’en sortir", dit-elle.
La scène musicale sénégalaise regorge d'artistes de talents exceptionnels, et Philip Monteiro fait partie de ces artistes-là qui représentent bien la nouvelle tendance culturelle des musiques urbaines africaines. Même Youssou Ndour a eu à reconnaitre les qualités musiciennes et professionnelles de l'artiste durant une émission de télé sur la RTS1, animée par DJ Prince.
Prise à partie par un groupe de jeunes qui la soupçonnaient de vol de bébé, la musicienne Adja Diessongo alias Adja Divine se retrouve au cœur d'une affaire qui suscite une vague d'indignation et de solidarité dans le pays. Quelques centaines de manifestants ont battu le pavé samedi à Ouagadougou, sous le slogan "Plus jamais ça !".
Tounkara attaque en direct les deux musiciennes et les taxe d’être de mauvais exemples pour la jeunesse…
His Excellency Sheik Professor Doctor Alhagie Yahya Abdul Aziz Jamus Junkung Jammeh est fou furieux contre le Sénégal et entend le faire comprendre à ceux qui en doutent encore. Le dictateur gambien rumine toujours sa colère noire contre son voisin après le coup d’Etat manqué de Banjul, le 30 décembre dernier. Très réputé pour ses sautes d’humeur disproportionnées, celui que RFI a appelé “Le Fou de Kanilai” a réussi une nouvelle trouvaille.
Au diapason de ce qui se passe ailleurs sur les scènes, en Europe ou aux Etats-Unis, les artistes sénégalaises chauffent leur public au propre comme au figuré. Il n’y a pas que la musique qui s’occidentalise à outrance, l’habilement ultra sexy et à la limite indécent fait le bonheur des photographes et de la presse people. Mais sonne la polémique au niveau de l’opinion. Paradoxe de l’effet mimétisme, elles paient souvent cher, dans un pays aux réalités sociologiques tenaces, leur désir d’être hyper sexy comme les Beyonce et autres Lady Gaga.
«Kany, ton père et ses frères se sont réunis. Ils ont décidé que tu épouseras Famagan. Sache donc te conduire (…) Tu as un mari désormais ». Ces propos extraits de Sous l’orage de Seydou Badian pèsent encore de tout leur poids dans la conscience de la femme Sédhiouoise.
«Kany, ton père et ses frères se sont réunis. Ils ont décidé que tu épouseras Famagan. Sache donc te conduire (…) Tu as un mari désormais ». Ces propos extraits de Sous l’orage de Seydou Badian pèsent encore de tout leur poids dans la conscience de la femme Sédhiouoise.
Elle était bien là. Vingt-quatre heures après avoir annulé sa première date, Beyoncé s'est déhanchée sur la scène du Sportpaleis d'Anvers devant 15.000 fans conquis. Une prestation flamboyante de deux heures où la superstar a mis un peu de temps avant de prendre son envol. "Bonsoir Anvers!
Professeur de Lettres Modernes et conteur, le Dr Massamba Guèye a toujours le mot juste pour mettre à l’aise n’importe quel public avec des sentences d’où perle une certaine sensualité poétique. Nous l’avons invité à un match coquin autour des musiciennes. Sa parole se passe de commentaire.
Il ne suffit plus d’une belle musique, il faut aussi savoir y mettre une bonne gamme de sensualité. Sur ce terrain, la concurrence entre les divas de la chanson estrude et personne ne s’ennuie.
Il faut jeter un coup d’œil sur l’entretien que l’artiste Myrma, Mame Marieme Sèye Paye dans le civil a eu avec le quotidien l’Observateur pour se faire une religion sur les méthodes qu’emploient certains producteurs pour profiter du désarroi des chanteuses dont la carrière n’est pas au beau fixe.
Partie étudier l’ethnomusicologie, c’est durant son séjour parisien qu’elle a eu plus d’ouverture pour se concentrer davantage sur la musique. La fille d’Ouza Diallo, qui surfe depuis bientôt un an sur la vague du succès de son premier album, garde bien la tête sur les épaules. Adji Kane Diallo entend relever le défi de faire mieux que « Madou », pour ne pas décevoir ses fans... Comment votre premier album a été accueilli par le public depuis sa sortie ? Cela fait depuis presque un an que l’album « Madou » est dans les bacs. Le résultat est un peu plus positif. Pendant cette période, les titres « Madou » et « Nobel » ont fait leur temps et nous nous envisageons de réaliser d’autres clips pour poursuivre la promotion.
Les faits qu’on lui reprochent sont graves pour motiver son rappel à Lisbonne. L’Ambassadeur du Portugal à Dakar est accusé d’avoir organisé un réseau de prostitution clandestine qui opérait dans les locaux même de la représentation diplomatique. L’information est donnée, ce mardi, par nos confrères de la Radio futurs médias (Rfm). L’Ambassadeur du Portugal à Dakar, Antonio Montenegro, est rappelé à Lisbonne par le gouvernement espagnol car il est accusé d’avoir « transformé la chancellerie en un lieu de débauche ».
Pour sa première sortie dans son antre flambant neuf du «Pinc-ci», l’artiste-musicien, Thione Seck, a fait sensation. Un Ram dan comme en redemandent encore les fans. Le «Pinc-Mi» a refusé du monde vendredi soir, lors de la première production de Thione Seck dans sa salle de spectacle ultramoderne et scintillante de luxe, sise à la Médina. Peu avant minuit, fans et jet-setteurs invétérés ont commencé à prendre d’assaut les locaux de ce qui fut le cinéma El Hadji. Pour une première sortie dans son antre, le staff du lead vocal du Ram dan a veillé à ce qu’il n’y ait aucune fausse note.
Après Abdou Guité Seck , puis le Xalam II qui a assuré son retour, c’est autour de la cantatrice Fatou Guéwel Diouf et son orchestre d’enflammer le temple culturel du Quai des Arts, lors du premier anniversaire du mouvement « Sopi Ndar », dirigé par Youssou Diallo. Après sa prestation, la diva plaide pour une tenue décente de la part des jeunes filles. « Les jeunes filles sénégalaises doivent s’habiller d’une manière décente. Elles sont l’avenir et l’espoir de la Nation. Elles constitueront les avocats, les ministres entre autres de demain. Ils ne doivent pas dérailler ».
Toutes les sociétés humaines récusent le mensonge. Elles postulent l’homme comme un être par essence véridique qui ne ment qu’accidentellement ou exceptionnellement. Une entente secrète pour couvrir un acte que tout le monde rejette en surface, mais qui, en réalité, est devenu, surtout dans nos sociétés modernes où l’apparence l’emporte souvent sur le réel, le compagnon des hommes. Et le conte d’Andersen illustre fort bien ce complot des hommes. Car dans ce royaume où tout le monde a décidé de fermer les yeux sur la nudité du roi, seule l’innocence de l’enfant a pu dévoiler la vérité, en s’écriant : « Mais voyons, le roi est nu ! ». Ainsi, la vérité naïvement exprimée par le petit enfant a eu raison de la fausseté du monde des adultes.
Les divas de la musique sénégalaise des années 90 ont pour la plupart eu à évoluer sous son aile. Guitariste claviériste, arrangeur, Cheikh Tidiane Tall a fini de marquer la production musicale sénégalaise. Aujourd’hui, le regard qu’il jette sur son univers professionnel est celui d’un acteur averti. Et les obstacles que rencontre une musique sénégalaise, dominée par le Mbalax, pour s’imposer au plan mondial, l’amènent à ‘convoquer’ les états généraux du secteur. Dans la première partie de l’entretien qu’il nous a accordé, le musicien parle de son retour au pays et revient largement sur ses rapports avec les femmes artistes, la nécessité de former les jeunes musiciens, entre autres.
