Quarante-cinq États parties, dont la France, ont informé mardi le conseil exécutif de l'OIAC de leur volonté de poser officiellement des questions à la Russie sur...
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Quarante-cinq États parties, dont la France, ont informé mardi le conseil exécutif de l'OIAC de leur volonté de poser officiellement des questions à la Russie sur...
La police russe assure que Navalny était malade à cause d'une “pancréatite”
Le président libanais, Michel Aoun, a rejeté, vendredi, toute enquête internationale sur la double explosion meurtrière et destructrice au port de Beyrouth, affirmant qu'elle pourrait avoir été causée par la négligence ou par un missile.
Quarante-cinq États parties, dont la France, ont informé mardi le conseil exécutif de l'OIAC de leur volonté de poser officiellement des questions à la Russie sur...
Le Renseignement néerlandais a déjoué une opération russe visant en avril l'Organisation pour l'Interdiction des Armes chimiques (OIAC) basée à La Haye et expulsé quatre agents russes, a annoncé jeudi la ministre de la Défense Ank Bijleveld. Par ailleurs, un ordinateur portable appartenant à l'un des quatre agents était relié au Brésil, à la Suisse et à la Malaisie.
Les autorités russes ont jugé illégales jeudi les nouvelles sanctions annoncées la veille par les Etats-Unis
La Russie a réagi avec fureur aux nouvelles accusations britanniques après qu'un couple d'Amesbury est tombé malade à cause de l'agent innervant Novitchok, le même poison que celui utilisé contre l'ex-agent double russe Sergey Skripal et sa fille Ioulia en mars, sur le sol anglais également. "Ils pensent vraiment que la Russie serait stupide au point d'utiliser 'une nouvelle fois' ledit 'Novitchok'", a ironisé jeudi l'ambassade russe aux Pays-Bas, pays où est basée l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques.
L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a confirmé mercredi que du chlore avait été "vraisemblablement utilisé comme arme chimique" en février lors d'une attaque contre la ville syrienne de Saraqeb. Une mission d'enquête de l'OIAC, dont le rapport a été publié mardi, a pu établir que "du chlore a été libéré de cylindres par impact mécanique dans le quartier d'Al Talil, à Saraqeb", ville du nord-ouest du pays, affirme un communiqué de l'OIAC.
Alors que l'enquête de l'OIAC devait commencer mercredi à Douma, les inspecteurs n'ont toujours pas pu entrer dans la ville. En attendant, les casques blancs leur ont indiqué où étaient les tombes des victimes présumées de l'attaque chimique.
Le Royaume-Uni a dénoncé mercredi le comportement "irresponsable" de la Russie lors d'une réunion hautement confidentielle au siège de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) à La Haye pour parler de l'affaire Skripal, un ex-espion russe empoisonné en Angleterre avec sa fille. "Le comportement irresponsable de la Russie viole l'interdiction mondiale des armes chimiques" et "menace la sécurité mondiale", a déclaré l'ambassade britannique auprès de l'OIAC dans un tweet, désignant à nouveau la Russie comme "le seul" responsable de l'empoisonnement.
Les médias syriens ont annoncé, mardi, que des missiles dans la province de Homs avaient été interceptés.
Une riposte militaire commune pour punir le régime de Bachar al-Assad après l'attaque à l'arme chimique contre des civils à Douma.
Alors que se dessinait une opération militaire occidentale imminente contre le régime syrien en représailles à l'attaque chimique présumée à Douma, la Russie a appelé à une réunion du Conseil de sécurité ce vendredi autour du secrétaire général António Guterres. Le Royaume-Uni juge « nécessaire de prendre des mesures ».
Après enquête, l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques OIAC a confirmé jeudi la thèse émise par Londres sur l'origine russe du poison utilisé contre l'ex-espion russe Sergueï Skripal et sa fille Ioulia Skripal.
Le président américain Donald Trump a averti mercredi matin la Russie de frappes imminentes contre la Syrie, peu après que Moscou eut mis en garde contre tout acte pouvant "déstabiliser la situation déjà fragile dans la région".
Le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres s'est dit outré mardi par l'attaque présumée chimique en Syrie, appelant à une enquête "impartiale" donnant un accès "sans entrave" aux enquêteurs internationaux. "Toute utilisation confirmée d'armes chimiques, par n'importe quelle partie au conflit et en toutes circonstances, est odieuse et constitue une violation flagrante du droit international", a déclaré Antonio Guterres dans un communiqué.
L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a annoncé lundi enquêter sur des informations faisant état d'une attaque chimique sur la ville de Douma, ultime poche rebelle dans la Ghouta orientale en Syrie. Une attaque chimique présumée à Douma, le dernier bastion aux mains des rebelles dans la vaste région de la Ghouta orientale, a fait samedi 48 morts selon les Casques Blancs, un groupe de secouristes en zone rebelle, et l'ONG médicale Syrian American Medical Society (SAMS), même si ces affirmations n'ont pas pu être vérifiées de source indépendante.
Le laboratoire britannique qui a analysé la substance utilisée contre un ex-espion russe en Angleterre a reconnu ne pas avoir de preuve qu'elle provenait de Russie, à la veille d'une réunion de l'Organisation pour l?interdiction des armes chimiques réclamée par Moscou.
L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a annoncé qu'elle se réunirait mercredi pour discuter des allégations de la Grande-Bretagne contre la Russie, accusée d'être responsable de l'empoisonnement de l'ex-espion russe Sergueï Skripal. Le président du Conseil exécutif a reçu une demande du représentant permanent de la Russie pour convoquer une réunion extraordinaire "en rapport avec l'incident de Salisbury", en Angleterre, selon un document publié mardi par l'OIAC.
L'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC) a besoin de "deux à trois semaines" pour achever d'analyser les échantillons qu'elle a prélevés en Angleterre, afin d'élucider l'empoisonnement de l'ex-espion russe Sergueï Skripal, a-t-elle indiqué mardi à New York.