Dans la région de Matam, où les mutilations génitales féminines (MGF) continuent de faire des victimes dans l’ombre, le dialogue communautaire s'impose aujourd'hui comme un levier essentiel pour changer les mentalités et protéger les jeunes filles.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
 
										Dans la région de Matam, où les mutilations génitales féminines (MGF) continuent de faire des victimes dans l’ombre, le dialogue communautaire s'impose aujourd'hui comme un levier essentiel pour changer les mentalités et protéger les jeunes filles.
 
										«Je sentais mauvais…» : victimes d’incontinence urinaire et fécale, deux femmes racontent leur calvaire avant la victoire contre la maladie
![[Spécial 8 mars] Violences sexuelles à l’encontre des femmes et des filles au Sénégal : constats et recommandations (Par Mamadou Makhtar Mbacké LEYE )](https://images.seneweb.com/dynamic/modules/news/images/gen/fb//740d2413cdf159285ef6a24292a62961f01a9c22.jpg) 
										Les violences sexuelles sont des violations flagrantes des Droits des femmes et des filles au sein de la société
 
										La quasi-totalité des communautés ethniques et villageoises de la région de Sédhiou ont déclaré avoir abandonné l'excision, cette pratique culturelle aussi vieille que l’histoire. Mais entre ces bonnes intentions et la réalité du terrain, il y a bien un fossé...
 
										Dans le cadre de la lutte contre l’excision et les mariages précoces, une cinquantaine de communautés de la région de Matam ont fait part, dans une déclaration, de l’abandon de ces pratiques ancestrales...
 
										Fondé en 1902 par Barka Sanokho et un petit nombre de Bambaras venus du Mali, le village de Malicounda Bambara dans la...
 
										S'il y a des Sénégalais qui sont bien préoccupés du bien-être des enfants talibés, ce sont bien les maîtres coranique. Ils l'on fait savoir lors de la journée dédiée aux talibés ce mardi.
 
										Dans le cadre de la lutte contre l’excision et les mariages précoces, une cinquantaine de communautés de la région de Matam ont fait part, dans une déclaration, de l’abandon de ces pratiques ancestrales...
 
										Les pratiques de l’excision et les mariages précoces et forcés "ont presque disparu" dans plusieurs villages des départements de Matam et de Kanel, dans le nord du Sénégal, a indiqué, vendredi, la coordonnatrice des relais communautaires de Kanel, Dieynaba Niane Daff.
 
										Une délégation gambienne, accompagnée des responsables de l’UNFPA, s’est rendue samedi au village de Keur Diawara, pour échanger avec les imams, le chef de village, les femmes leaders et les habitants, sur leurs méthodes et expériences dans la lutte contre l’excision, a constaté l’APS. Le chef du village, Demba Diawara, a exposé à la délégation gambienne, le combat que les populations de la localité ont mené durant des années, pour obtenir des résultats probants, dans la lutte contre l’excision, malgré les pesanteurs religieuses et culturelles. 
 
										Malgré les multiples déclarations relatives à l’abandon de l’excision, 86% des femmes de Sédhiou sont encore victimes des mutilations génitales féminines (Mgf). 
 
										Sahré Bocar, un village de l’arrondissement de Koumbal, dans la région de Kaolack (centre), a décidé d’interdire les mariages précoces, pour intensififier la lutte contre ce phénomène, a appris l’APS.
 
										La Journée internationale de la femme a été célébrée mardi à la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Diourbel, en présence des autorités religieuses, administratives et coutumières, par l’Ong Tostan. Une occasion saisie par le directeur de la Mac de Diourbel pour lancer un appel sur le cas du détenu Thierno Badiane en prison depuis 9 années sans jugement.
 
										Au total 28 femmes présentant une fistule obstétricale ont été opérées du 19 au 22 décembre lors d’un camp de traitement à l’hôpital régional de Kolda, a appris l’APS de l’ONG Amref Health Africa.
 
										Un camp de réparation chirurgicale accueillant une soixantaine de fistuleuses venues des quatre coins de la région de Kolda (sud), s'est ouvert ce jeudi dans la capitale du Fouladou, à l'initiative notamment de l’ONG AMREF, une organisation africaine internationale de santé publique. Cette initiative, déroulée en partenariat avec la région médicale et le Centre hospitalier régional de Kolda, a bénéficié de l'appui de l'ONG Tostan et du Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA, en anglais).
 
										Vingt-huit délégués de l’ONG Tostan, venant des 14 villages du département de Matam, se sont rencontrés samedi à Agnam Civol, pour faire le bilan d’une campagne de sensibilisation sur l’abandon de l’excision et des mariages précoces, a constaté le correspondant de l’APS.
 
										Des communautés de onze villages situés dans la commune de Fafacourou, dans le département de médina Yero foula ont réitéré ce samedi leur volonté d’abandonner totalement les pratiques de l’excision, des mariages précoces et forcés dans cette zone enclavée de la région de Kolda (Sud) constate l’APS.''Nous sommes ici aujourd’hui pour réitérer notre volonté d'abandonner totalement les mariages forcés et l’excision, car depuis la déclaration de Fafacourou, en février 2013, nous en avons pris l’engagement, nous suivons cette voie'', a dit Coumba Kandé, présidente du comité local de suivi des abandons de l’excision et des mariages forcés.
 
										 La société civile et les ONG évoluant dans la région de Matam ont pris mercredi l’engagement et la volonté ferme de mettre fin aux mutilations sexuelles, en décidant ensemble d'adopter des plans d’actions pour sensibiliser les populations sur les dangers de l’excision.La décision a été prise au cours d’une réunion d’harmonisation et de coordination organisée par l’Ong Tostan dans les locaux de la gouvernance de Matam. 
 
										 Les communautés de Salikégné, une commune du département de Kolda (Sud), et des populations de 100 villages des régions de Sédhiou et Ziguinchor, bénéficiaires du projet de renforcement des pratiques parentales (RPP), ont organisé dimanche une cérémonie d’engagement communautaire pour la promotion de la petite enfance au Sénégal.
 
										Quelque 400 nouveaux cas de fistule obstétricale sont signalés chaque année au Sénégal, selon un communiqué reçu vendredi de plusieurs organisations internationales spécialisées dans la santé de la reproduction.