Covid-19 : 0 décès, 24 tests positifs et 26 patients en réa
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Covid-19 : 0 décès, 24 tests positifs et 26 patients en réa
AVIS DE COUPURE POUR TRAVAUX Semaine du Lundi 03 Aout au Dimanche 09 Aout 2015
Faire rire les gens est un don chez Kouthia. Dans un entretien avec votre site préféré Leral, l’humoriste en vogue de « Kouthia Show » qui tient en haleine les téléspectateurs sur la Tfm, se confie sur sa riche carrière pleine de rebondissements, ses relations avec Amina Poté et Karim Wade, à qui il souhaite rendre visite très bientôt à Rebeuss. Bref… Samba Sine alias Kouthia comme vous ne l’avez jamais entendu parler.
Même si les choses se sont un peu tassées, à l’école Asselar, l’affaire du Surveillant général A. Dieng, photographié la tête entre les cuisses d’une élève de 3e, N.KH.M. en l’occurrence, fait encore débat. Dans la cour de récréation, au terrain de foot, dans les salles de classe, le sujet est sur toutes les lèvres. Difficile pour les condisciples de N. KH. M de passer l’éponge, d’avaler cette pilule qui n’honore pas leur établissement. Comme un nœud en travers de la gorge, ils ont décidé de se débarrasser de cette désagréable sensation qui les ronge jour et nuit, en convoquant L’Observateur par la voix de leur président de Foyer scolaire. Petite séance de «travail» improvisée entre élèves, les notes sont tout sauf «avantageuses»…
Si on en croit Ass Dieng, un cousin germain du surveillant mis en cause, photographié la tête enfouie dans les cuisses de l'élève N. Kh. M. (c'est la fille elle-même qui a pris la photo avec son portable), qui a pris le contact de nos confrères de L'Observateur, dès qu'elle a vu la photo de son mari, " son épouse enceinte est tombée dans le coma pendant 18 heures ". Elle aurait vu la photo dans L'Observateur, après que ses parents aient cherché à la lui cacher, en raison de sa grossesse " très avancée (...) presque à terme ". Non sans rappeler que leur union a été célébrée il y a moins d'un an, le mari ayant déjà été marié une première fois avant de divorcer d'avec sa première épouse. Ass Dieng, qui décrit son cousin comme quelqu'un " qui n'est pas du genre à tromper sa femme, surtout avec une mineure (...), qui n'est pas un coureur de jupons... ", dit avoir mené sa propre enquête au niveau du collège, après avoir tenté en vain " une conciliation " avec la famille de la fille. Il aurait appris que celle-ci " aurait affirmé haut et fort qu'elle aurait la peau de Dieng " (sic !). Suffisant pour le cousin germain du mis en cause déclare " que cette affaire était une cabale montée de toutes pièces ". Aux dernières nouvelles, on craint le pire pour le surveillant général du collège qui aurait disparu et serait injoignable. Ayant menacé de se suicider, le cousin estime " qu'un tel scandale peut le pousser à commettre l'irréparable ".
Assise en tailleur sur un canapé, la mine déconfite, Mme Traoré rumine sa colère. Elle a mal dans sa chair et en veut à M. Dieng, le surveillant général polisson photographié en train de faire un cunnilingus à la jeune fille. Avec des mots chargés d’émotion et de consternation, elle accorde une entrevue à nos confrères de L'Observateur et s’explique en ces termes : « Je ne veux pas que des choses de ce genre se reproduisent, on aurait pu les régler sans faire de bruit, mais ce serait trop facile et cela aurait pu porter préjudice à d’autres ». La bonne dame de faire savoir que si elle ne pense pas que cet épisode pourrait gâcher la vie de sa fille et s’empresse de dire : « (...) elle est toujours vierge, elle n’a rien perdu. Il faut que l’honneur de ma fille soit lavé. Je vais tout faire pour qu’elle soit bien suivie psychologiquement, même si son nom est traîné dans la boue. Elle s’est au moins battue pour que d’autres filles ne subissent pas le même sort », se console Mme Traoré.
Le tribunal des flagrants délits de Dakar a condamné trois (3) des cinq (5) prévenus, qui étaient accusés d'avoir diffusé la vidéo des filles qui avaient tourné une scène de lesbianisme à Grand Yoff. Mouhamed Fofana, Zakaria Saliou Ndoye et Oumar Kane devront écopent d'une peine de six (6) mois avec sursis chacun. Le trio a été condamné pour offre à titre gratuit, par quelque moyen que ce soit, à titre public ou privé, d’images contraires aux bonnes mœurs. Ainsi a été requalifié le délit de « diffusion de la vidéo contraire aux bonnes mœurs » initialement visé par le parquet. Pape Aly Seck, le boutiquier, que le tribunal a suspecté être à l’origine de la diffusion de la vidéo incriminée, et Bouya Fall ont été relaxés au bénéfice du doute. Les juges ont, néanmoins, ordonné la confiscation des portables des prévenus, la destruction des images et du Cd sous scellé, renseignent nos confrères de La Tribune.
L'affaire du scandale sexuel d'Asselar, impliquant une élève et le Surveillant général du collège d'enseignement de Ouagou Niayes (Dakar), n'a pas encore livré tous ses secrets. Retour sur les lieux de l'esclandre qui secoue la capitale et ses environs.
Le scandale sexuel qui secoue l’école Asselar de Ouagou Niayes continue de livrer ses secrets. Ainsi, on apprend que la fille qui se dit victime de harcèlement du surveillant générale faisait croire à ses copine qu'elle est la petite amie d’Aliou Seck qui n’est autre que le frère du chouchou des jeunes filles, Waly Seck.
L’affaire du scandale sexuel d’Asselar, impliquant une élève et le surveillant général du collège d’enseignement de Ouagou Niayes (Dakar) continue de défrayer la chronique. Le surveillant général parle de montage et menace de mettre fin à ses jours, renseignent nos confrères de L’Observateur. Le directeur général de l’établissement explique : « Lorsqu’on lui à montré la photo en question, il a admis que c'était bien lui. Toutefois, il n’a jamais reconnu que c'était la fille. Il a vaguement parlé d’un montage, sans entrer dans les détails, car les femmes hargneuses (N.d.r. : la tante et la mère de la fille) ne lui en ont pas laissé le loisir ». Le directeur de l'établissement de poursuivre : « A.D. (N.d.r. : le surveillant polisson) a ensuite demandé pardon, sans pour autant convaincre ses interlocutrices. Il a fini par menacer de mettre fin à ses jours ».
Le surveillant général du collège de Ouagou Niayes est dans de beaux draps. La famille de la fille qu’il a sucé a déposé une plainte à la police de Point E. Selon Rewmi Quotidien, la ppolice va entrer en action ce lundi. Ainsi, la victime, le surveillant ainsi que les responsables de l’établissement seront entendus par les limiers déterminés à élucider cette affaire.
Le risque d’affaissement du collecteur d'eaux usées hante le sommeil des populations des quartiers de Bopp, Ouagou Niaye et, en partie, Niarry Tally. En effet, depuis que la Direction de la Protection civile (Dpc) a sonné l’alerte sur la menace d’une catastrophe il y a 6 mois, les habitants de cette zone sont plus qu’inquiets. Selon le délégué de quartier de Bopp, Birame Ndiaye, interrogé par la Rfm, la Dpc a recensé toutes les maisons et édifices. « Presque 300 à 400 milles personnes sont en danger réel », avertit-il.
C’est une véritable guerre de pierres qu’a vécue hier le marché Hlm. Le front a opposé habitants de la cité Ouagou Niayes 2 aux marchands. Cela fait suite à un refus catégorique des riverains à accepter que les marchands s’installent sur l’espace vert de la cité. Il y a eu plus de peur que de mal, car la police est intervenue à temps pour veiller aux grains. Mais, si on n’y prend garde, les choses risquent de dégénérer. Les marchands, plus que jamais déterminés à s’installer, promettent de remettre ça aujourd’hui.
Hier, la caravane orange de Idrissa Seck, deuxième jour de campagne, a visité les localités de Fass, Midina, Zone B, Hlm, Ben Tally, Liberté, Plateau. Partout, c’est une foule nombreuse qui a accueilli le leader du parti Rewmi. Même si, parfois, il rencontre sur son chemin ses détracteurs qui le taxent de « voleur ». Prévue à 8h30mn, ce n’est qu’aux environs de 11 heures que la caravane orange a commencé sa longue procession en direction de Dakar Plateau. Le candidat Idrissa Seck, toujours dans son style décontracté, avec son costume bleu sans cravate, sillonne les rues de Dakar. Après le Point E, ce sont les populations de la Médina qui découvrent le patron de Rewmi.
Macky Sall, secrétaire général national adjoint du Parti démocratique sénégalais (Pds) a très tôt averti hier. La mobilisation voulue demain, à l’occasion du retour à Dakar du chef de l’État qui a reçu, la semaine dernière, d’abord le Prix Houphouët-Boigny pour la recherche de la paix de l’Unesco et ensuite le Prix de la Société mondiale de l’information, devra être nationale et exceptionnelle. Les libéraux en seront les fers de lance. La salle de conférence du building administratif est exiguë pour contenir les responsables libéraux qui assistent à cette réunion présidée par le Premier ministre, Macky Sall, qui est entouré du maire de Dakar, Pape Diop, des ministres Ousmane Masseck Ndiaye, Lamine Bâ et Aïda Mbodji.