La gestion de la politique de la migration en transit par le secrétaire d'État Theo Francken a fait l'objet ces dernières heures de critiques émanant tant des bancs de l'opposition que de la majorité. Le fait d'avoir libéré des centres fermés des ressortissants étrangers au passé criminel, qu'il s'était engagé à expulser, a particulièrement irrité ses partenaires gouvernementaux.