Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le Collectif pour la préservation et la valorisation des terres paysannes (CPVTP) tire la sonnette d’alarme, après les tensions survenues les 1er et 2 août 2025 dans la localité de Soussoung, commune de Ndiaganiao (département de Mbour). Ces affrontements liés à un litige foncier se sont soldés par l’arrestation de plusieurs paysans, en pleine période d’hivernage, aggravant un climat social déjà tendu.
Après une longue pause pluviométrique, le ciel a rouvert ses vannes hier vendredi nuit sur tout le territoire de la région de Louga .
« Les élections sont passées, on devrait s'attaquer à guérir le pays, à s'occuper des paysans ». C'est la conviction du président du parti La République des Valeurs/Réewum Ngor, le député Thierno Alassane Sall, qui s'exprimait lors d'une rencontre organisée, ce dimanche 1 juin 2025, à Thiès, par l'Association des Unions Maraîchères des Niayes.
2025 est partie pour être une année difficile pour le monde rural. Les récoltes d’arachide, la principale culture commerciale, ont été catastrophiques cette année. Pourtant, les paysans ont du mal à écouler le peu de graines dont ils disposent. A ce jour, ils ne trouvent plus acheteurs, même à un prix inférieur à celui plancher fixé à 305 F Cfa. « Je n’ai que six sacs d’arachide, mais je n’arrive pas à le vendre », se désole un vieux qui en avait des dizaines de sacs habituellement. Pour subvenir à ses besoins, il a vendu une partie du foin à 2 500 F le sac.
Le tandem Diomaye Faye- Ousmane Sonko mise sur l’agriculture mécanisée
Malgré les nombreuses décisions de l’Etat pour booster l’agriculture, la production de l’arachide n’a pas donné des résultats escomptés dans certaines zones du bassin arachidier.
Après avoir organisé plusieurs réunions de concertation avec les acteurs, le gouvernement va trancher
L’interdiction annoncée par le gouvernement des exportations des graines d’arachide a été bien accueillie par les paysans et les éleveurs du département de Linguère membres du syndicat Japando.
Les paysans du bassin arachidier peuvent sourire à nouveau.
À Matam, la montée du fleuve Sénégal angoisse les riverains. Au moment où des familles entières sont chassées de chez elles par des inondations, les paysans redoutent, de leur côté, la crue du fleuve Sénégal.
La longue pause pluviométrique constatée dans plusieurs localités du pays et particulièrement dans la zone sylvo-pastorale commence à inquiéter les paysans.
«Le retard accusé dans la distribution des semences, la mauvaise qualité de ces semences, les micmacs des intermédiaires», constituent des préoccupations pour les paysans de la commune de Koul, dans le département de Tivaouane.
De jeunes membres d’organisations paysannes étaient ce samedi à Kaolack.
Une bonne nouvelle pour les paysans, un motif d’inquiétude pour les populations des zones inondables.
Saint-Louis a été, jeudi dernier, le point de rassemblement des producteurs de la vallée. Pendant plusieurs heures, les paysans de la région ont débattu de l'avenir de l'agriculture dans le nord du pays et des problèmes qui entravent son développement. Au cœur des discussions, figuraient aussi des sujets tels que la révision de la loi agro-silvo-pastorale, la relève générationnelle, le financement agricole et la réforme foncière jugée essentielle.
Les rues de la commune de Ross Bethio ont été le théâtre d'une marche poignante, une expression de l'inquiétude grandissante des producteurs locaux face aux défis persistants de la campagne agricole. Les agriculteurs du Walo, submergés par des dettes croissantes, ont émis un appel désespéré à l'État du Sénégal pour obtenir un soutien crucial, permettant ainsi aux jeunes de la région de continuer à travailler la terre.
Sans entrer dans le détail de toutes les nouvelles mesures promises par le gouvernement, le Premier ministre a assuré aux paysans d’être au « rendez-vous » de leur colère.
Le Conseil National de Concertation et de Coopération des Ruraux (CNCR) a tenu une conférence de presse ce jeudi 25 janvier 2024 dans un hôtel de la place
Elle lui reproche d’avoir causé un important manque à gagner aux paysans en fixant le prix du kilogramme d’arachides à 280 francs CFA.
Les paysans se plaignent, à chaque distribution des semences. D’ailleurs, en plénière, pendant la session budgétaire, plusieurs parlementaires ont interpellé le ministre Samba Diobène Ka sur la question. Le député Guy Marius Sagna est allé plus loin. Il a demandé la mise sur pied d'une commission d'enquête parlementaire pour savoir où va l'argent du matériel agricole, des semences certifiées et de l'engrais subventionné.