Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Plan de redressement économique et social : Rejetons d'abord, comme préalable, les discours de haine, les stigmatisations (Ma Diakhaté Niang AND SOPI THIES)
La Ligue démocratique (LD) Debout a critiqué, dans une déclaration parvenue à Seneweb, ce jour, le Plan de redressement économique et social présenté par le Premier ministre. Elle pointe un focus excessif sur la pression fiscale et une approche technocratique peu inclusive.
Réussite du Plan de redressement économique et social : Le gouvernement sollicite les prières du khalife général des mourides
[Seneweb Eco] Tout sur le plan de redressement économique et social...
Le Premier ministre sénégalais, Ousmane Sonko, a annoncé ce samedi à Istanbul, lors de l’ouverture d’un Forum d’affaires entre le Sénégal et la Turquie, la tenue prochaine d’une séance de partage du Plan de redressement économique et social (PRES)...
Alors que le Sénégal entame la mise en œuvre de son ambitieux Plan de redressement économique et social, l’expert en finances publiques Maleine Amadou Niang partage son analyse
Dans le cadre du Plan de redressement économique et social, le président du Forum du Justiciable, adresse une proposition directe au Premier ministre Ousmane Sonko.
Lors d’une conférence de presse tenue à Dakar, l’Alliance pour la République (APR), a vivement critiqué le « Plan de redressement économique et social » présenté par le Premier ministre Ousmane Sonko, vendredi dernier. Les responsables de l'ancien régime de Macky Sall ont, d’ailleurs, menacé de saisir la Cour suprême, arguant que le Plan Sénégal Émergent (PSE) demeure « le seul référentiel reconnu par la loi ».
En visite officielle à Ankara, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a été reçu, ce jeudi, par le président de la République de Turquie, Son Excellence Recep Tayyip Erdoğan. Cette rencontre s’inscrit dans le cadre du renforcement de la coopération bilatérale entre les deux pays, déjà liée par un partenariat stratégique solide.
L’Alliance pour la République (APR) a vivement critiqué le plan de redressement économique et social présenté début août 2025 par le Premier ministre Ousmane Sonko.
Invité de l’émission "Grand Entretien" de Seneweb, le Dr Babo Ba a insisté sur la nécessité de réformes profondes pour assurer le succès du Plan de redressement économique et social (PRES) présenté par le Premier ministre Ousmane Sonko.
L’Assemblée nationale sénégalaise a convoqué les. députés pour une séance plénière le lundi 18 août 2025 à 10h00, marquant l’ouverture de la première session extraordinaire de l’année 2025. L’ordre du jour, communiqué ce jour, se concentre sur l’inauguration de cette session, sans préciser les projets de loi ou sujets à débattre.
Le Plan de Redressement Économique et Social (PRES) 2025–2028, dévoilé par le gouvernement sénégalais, ambitionne de mobiliser 6 400 milliards FCFA sur quatre ans via la rationalisation des dépenses, le recyclage d’actifs publics, la fiscalité et des financements endogènes. Cependant, selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-USEG, cette enveloppe reste largement insuffisante face aux besoins réels. Une estimation synthétique révèle un besoin total de 22 480 milliards FCFA sur la période, incluant 5 715 milliards FCFA en 2025 (déficit budgétaire + amortissement + OPEX), 2 925 milliards FCFA de déficits cumulés (2026–2028), et 13 840 milliards FCFA d’amortissement de la dette publique (probablement sous-estimé selon les données du BSDP 2024).
Le 1er août 2025, le Premier ministre Ousmane Sonko a présenté au Grand Théâtre national, devant le Président de la République Son Excellence Monsieur Bassirou Diomaye Diakhar FAYE, le Plan de redressement économique et social baptisé « Jubbanti Koom », en wolof.
Le plan de redressement économique et social apporte bien de la nouveauté, comparé aux précédents ; les leviers d’action sont aussi clairement identifiés.
Dans un contexte économique marqué par un déficit budgétaire de 14 % du PIB et une dette publique atteignant 119 % en 2024, le Sénégal s’engage dans un plan de redressement économique et social ambitieux, « Jubbanti Koom ».
Dans son plan de redressement économique et social présenté hier, le régime Pastef dirigé par le tandem Diomaye-Sonko prévoit de recycler les actifs de l’État
Dans le cadre du Plan de redressement économique et social “Jubbanti Koom”, le Premier ministre Ousmane Sonko a annoncé un assouplissement des conditions d’importation des véhicules d’occasion. La limite d’âge passe désormais de 8 à 10 ans, pour les voitures particulières, et à 15 ans, pour les véhicules utilitaires. Une réforme qui vise à réduire le coût de la vie, à faciliter l’accès à la mobilité pour les ménages et à stimuler le marché automobile, tout en cherchant à maintenir l’équilibre des politiques publiques.
Lors d’une présentation théâtrale au Grand Théâtre national, le Premier ministre Ousmane Sonko a dévoilé son plan de redressement économique et social, baptisé « Jubbanti Koom », devant un public acquis et sous le regard du président Bassirou Diomaye Faye. Mais pour Ibrahima Thiam, président du parti Action pour la Citoyenneté et les Transformations (ACT), ce plan n’est qu’un « récit politique » dénué d’ancrage dans les réalités économiques du Sénégal. Dans une tribune au vitriol, Thiam dénonce une approche marquée par une fiscalité agressive, un souverainisme déconnecté et une absence de solutions concrètes pour sortir le pays de la crise. Voici une analyse fidèle de sa critique, ponctuée d’extraits de son texte.
Le leader du parti Nekal fi Askan Wi, Cheikh Abdou Bara Doly, a magnifié le discours du président Bassirou Diomaye Faye prononcé lors de la présentation du Plan de redressement économique et social.