La Direction de la Santé de la Mère et de l’Enfant (DSME), en partenariat avec l’ONG RAES, a organisé les 30 septembre et 1er octobre 2025 à Dakar un atelier de pré-validation des outils de communication du projet SANSAS
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
La Direction de la Santé de la Mère et de l’Enfant (DSME), en partenariat avec l’ONG RAES, a organisé les 30 septembre et 1er octobre 2025 à Dakar un atelier de pré-validation des outils de communication du projet SANSAS
"12 milliards FCFA blanchis" : le réquisitoire choc contre Madiambal Diagne et sa famille
La Direction de la Santé de la Mère et de l'Enfant (DSME), en collaboration avec l'ONG RAES, a réuni ce mardi 30 Septembre à Dakar, les parties prenantes clés du secteur de la santé pour le lancement de l'atelier de partage du projet SANSAS.
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) émerge comme un défi majeur de santé reproductive au Sénégal.
Malgré les progrès enregistrés, le taux de prévalence contraceptive stagne au Sénégal, entravé par le manque de moyens, le retrait de partenaires financiers, le poids des rumeurs et la faible implication des hommes, qui compromettent l’accès des femmes à la planification familiale.La planification familiale demeure un enjeu majeur de santé publique au Sénégal.
Entretien- Sina Diop sur la planification familiale : « La sexualité reste encore un tabou dans nos sociétés»
À Koumpentoum, l’absence de service de néonatologie impose l’évacuation de chaque nouveau-né qui présenterait une complication vers l’hôpital régional.
Les conditions sont extrêmement précaires : espace exigu, murs délabrés, absence de ventilation adéquate, lits d’accouchements qui laissent à désirer, une hygiène qui fait défaut et un tricycle en mauvais état qui sert…d’ambulance.
Longtemps considérée comme une affaire exclusivement féminine, la planification familiale commence à susciter un intérêt renouvelé chez les hommes de Kaffrine
La malnutrition aiguë globale (0–59 mois) atteint 17,1 %, contre une moyenne nationale de 10 % dans la région de Diourbel.
Le taux de prévalence contraceptive dans la région de Kédougou est passé de 11 % en 2019 à 18 % en 2023.
Le taux de planification familial est de 23 % dans la région de Kolda. Il est jugé très fiable par rapport aux objectifs affichés d’atteindre 40 %. Les analyses indexent les pesanteurs socioculturelles.
Un panel régional sur la planification familiale s’est tenu à la direction régionale de la santé de Kaffrine, organisé par la Direction de la Santé de la Mère et de l’Enfant (DSME), en partenariat avec l’ADEMAS et le Service National de l’Éducation, de l’Information Sanitaire et Sociale.
À 35 kilomètres de Ziguinchor, le poste de santé d’Adéane fait figure de modèle en matière de planification familiale, malgré des conditions de travail précaires et un manque criant de moyens.
Selon une analyse publiée par le Center for Global Development (CDG) et rapportée par Jeune Afrique, le pays dirigé par Bassirou Diomaye Faye...
Césarienne au Sénégal : entre nécessité vitale et préjugés tenaces
Thiès, la capitale du rail, a accueilli un atelier de sensibilisation de trois jours sur la planification familiale et les problématiques de la santé reproductive, maternelle, néonatale, infantile et adolescente (SRMNIA-N).
La mortalité maternelle demeure un enjeu majeur de santé publique à travers le monde. Au Sénégal, malgré une baisse notable, les défis persistent.
« L’infertilité ne doit plus être vue comme une affaire exclusivement féminine. Une meilleure information et une prise en charge précoce sont essentielles pour optimiser les chances de conception », insiste la docteure Ndèye Awa Diagne, gynécologue-obstétricienne et cheffe de la division de la planification familiale à la Direction de la Santé de la mère et de l’Enfant. Elle recommande aux couples de consulter des spécialistes sans tarder après un an de vie conjugale sans grossesse, afin d’améliorer leurs perspectives de succès. Changer les mentalités et adopter une approche inclusive deviennent des impératifs.
« L’infertilité ne doit plus être vue comme une affaire exclusivement féminine.