Un "bon voisin", un écrivain amateur, un citoyen en colère: le septuagénaire accusé d'avoir voulu assassiner le Premier ministre slovaque Robert Fico présente de multiples visages, dont aucun ne cadre vraiment avec la radicalité de son geste.
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Un "bon voisin", un écrivain amateur, un citoyen en colère: le septuagénaire accusé d'avoir voulu assassiner le Premier ministre slovaque Robert Fico présente de multiples visages, dont aucun ne cadre vraiment avec la radicalité de son geste.
Une odieuse vidéo circule depuis quelques jours en provenance du Sénégal : on y voit une foule en cercle et, en son centre, l’intense flamboiement d’un bûcher.
L’élection présidentielle sénégalaise de l’année prochaine est le sujet favori des quotidiens, qui, pour leur livraison de ce mercredi, s’intéressent aussi au sermon du guide de la communauté layène...
Un "bon voisin", un écrivain amateur, un citoyen en colère: le septuagénaire accusé d'avoir voulu assassiner le Premier ministre slovaque Robert Fico présente de multiples visages, dont aucun ne cadre vraiment avec la radicalité de son geste.
Une mise en scène inventive, audacieuse, esthétique, un décor à lui tout seul, une œuvre d’art, une musique savamment dosée, de jeunes comédiens assez ingénieux. C’est le résultat final de la représentation de la pièce Le troisième du couple. C’était avant-hier, au Grand Théâtre de Dakar.
La crise qui a opposé président de la République, Léopold Sédar Senghor, et le Président du conseil des ministres Mamadou Dia a marqué à jamais notre conscience nationale. A peine deux années après son indépendance, le Sénégal prit un virage historique qui allait modifier à jamais le socle de notre vivre ensemble. Senghor s’installa définitivement au pouvoir, Mamadou Dia et ses compagnons furent emprisonnés comme on le sait à la faveur d’un coup d’Etat imaginaire. On l’a vu, le 19 mars 2011, une marionnette désarticulée a pu se payer le luxe d’inventer un coup d’Etat. Ceci, en toute impunité. Il s’en est suivi une pantalonnade constitutionnelle qui a eu pour effet de permettre aux Sénégalais de se réapproprier leur destin. L’histoire contemporaine nous dira si un pays comme le nôtre, habitué aux joutes électorales, permettra l’instauration au Sénégal d’une dynastie des Wade en quête de grandeurs…
Défense des polygames, rejet de la discrimination raciale, corruption d’un fonctionnaire du FMI, immigration, entre autres thèmes de société dont traite « Altercultures », le nouvel opus de l’écrivain sénégalais Asmalick Ndiaye, natif de la Casamance et professeur de littérature, langues et cultures francophones à l’université de Columbia à New York. Publié aux éditions Phoenix et préfacé du professeur Souleymane Bachir Diagne, l’ouvrage sera dédicacé ce samedi 25 juin à la librairie Athéna à Dakar.
La fondation européenne du mémorial de la traite des Noirs ‘Diverscités’, a tenu, samedi, une conférence de presse pour le lancement de sa campagne africaine, ‘Débaptiser les rues, places ou monuments qui honorent les négriers africains’.Cette campagne a pour but de sensibiliser les Africains au travail de mémoire sur l’esclavage. La fondation européenne du mémorial de la traite des Noirs, ‘Diverscités’, a tenu, samedi à Dakar, une conférence de presse afin de lancer la campagne africaine, ‘Débaptiser les rues, places ou monuments qui honorent les négriers africains’. ‘Cette campagne a pour but de sensibiliser les Africains au travail de mémoire sur la traite des Noirs’, a déclaré Karfa Diallo, président de la fondation ‘Diverscités’.
L’affaire qui m’opposait à Cheikh Amar a été finalement classée sans suite. Elle aura entre temps fait couler beaucoup d’encre et donné lieu à des titres de journaux tirés d’on ne sait où, et aussi alarmants les uns que les autres. « Après les déclarations fracassantes de Mody Niang, Cheikh Amar lui envoie un huissier, mais l’écrivain reste introuvable », « La principale source de Mody Niang, ?Nouvel Horizon?, dément », « Mody Niang à un pas de la prison », « Cette affaire va être portée au tribunal. Foi de nos radars », « Mody Niang s’est bel et bien rétracté sur ses accusations contre Cheikh Amar », « Mody Niang nie et charge le quotidien ?Rewmi? », les enquêteurs ont décelé « des indices graves et concordants de nature à motiver sa garde à vue », « Mody Niang a passé sa première nuit au Commissariat de Police de Dakar Plateau », « Mody Niang l’a échappé belle : il a été libéré in extremis sur instruction du président Wade », « Cheikh Amar a pardonné à l’écrivain et a retiré sa plainte », etc, etc.
Le ministre de l’Energie, Samuel Ameth Sarr, est-il en train de régler leurs comptes à ses détracteurs ? En tout cas, il vient de casser les côtes à sa directrice de cabinet Maïmouna Seck Ndoye qui, pourtant, semblait bien assise sur ses deux « koket ». On lui reprocherait d’être un élément qui a mis de l’huile sur le feu, en encourageant l’ex-Dg de la Sénélec à revoir à la hausse la grille tarifaire qui a mis la banlieue dakaroise dans tous ses états. C’est en tout cas là la raison officielle que nous glissent nos satellites proches du ministère de l’Energie. Mais il se trouve aussi que la dame est estampillée proche de Macky Sall.
La crise qui a opposé Président de la République Léopold Sédar Senghor et le Président du conseil des ministres Mamadou Dia a marqué à jamais notre conscience nationale. A peine deux années après son indépendance le Sénégal prit un virage historique qui allait modifier à jamais le socle de notre vivre ensemble. Senghor s’installa définitivement au pouvoir, Mamadou Dia et ses compagnons furent emprisonnés comme on le sait à la faveur d’un coup d’Etat imaginaire.
lejdd.fr - A l’heure où la disparition d’Aimé Césaire, à l’âge de 94 ans, suscite une réaction unanime de la classe politique française et à la veille (article publié samedi) des obsèques nationales du poète, à Fort-de-France, en présence du président de la République, Dieudonné rend, lui, hommage au "résistant". L’humoriste engagé s’indigne surtout de l’entreprise de récupération qui s’opère.
Les architectes du Sénégal ne sont pas du tout contents. Ils ont dénoncé le fait qu’ils ne soient pas associés dans le processus du boom immobilier que vit actuellement le pays. Les architectes ont également récusé un certain nombre de pratiques qu’ils jugent illégales. Le cri du cœur a été prononcé le samedi 24 juin dernier lors de leur assemblée générale extraordinaire tenue à leur siège. « Vous n’ignorez pas l’état dans lequel se trouve notre pays, notamment l’accroissement exponentiel des chantiers de construction, et nous avons le regret de constater que ce boom ne se fait pas avec l’intervention des maîtres de l’Art », a déclaré avec amertume le président de l’ordre national des architectes du Sénégal, Mamadou Berthé.