Selon Rewmi Quotidien, la dame Ndèye Fatou Ndiaye a soutenu que le promoteur immobilier lui avait vendu un terrain
Le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, affirme dans une analyse audacieuse que le franc CFA...
Le Sénégal fait face à une crise financière marquée par des déficits budgétaires persistants et un endettement galopant, avec un service de la dette de plus en plus lourd et des besoins annuels dépassant 5 000 milliards FCFA (2025–2028), selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD.
Le Plan de Redressement Économique et Social (PRES) 2025–2028, dévoilé par le gouvernement sénégalais, ambitionne de mobiliser 6 400 milliards FCFA sur quatre ans via la rationalisation des dépenses, le recyclage d’actifs publics, la fiscalité et des financements endogènes. Cependant, selon Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-USEG, cette enveloppe reste largement insuffisante face aux besoins réels. Une estimation synthétique révèle un besoin total de 22 480 milliards FCFA sur la période, incluant 5 715 milliards FCFA en 2025 (déficit budgétaire + amortissement + OPEX), 2 925 milliards FCFA de déficits cumulés (2026–2028), et 13 840 milliards FCFA d’amortissement de la dette publique (probablement sous-estimé selon les données du BSDP 2024).
Dans un contexte économique marqué par un déficit budgétaire de 14 % du PIB et une dette publique atteignant 119 % en 2024, le Sénégal s’engage dans un plan de redressement économique et social ambitieux, « Jubbanti Koom ».
Dans une contribution éclairée à l’Agenda National de Transformation de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (ANTESRI 2050), le Pr Amath Ndiaye, économiste, propose une réorientation stratégique vers les établissements privés agréés pour réduire la pression budgétaire sur les universités publiques sénégalaises.
Sénégal : Y a-t-il un risque de non-paiement des salaires ?
L’économiste Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD propose une histoire accessible pour expliquer la dette publique sénégalaise.
Un rapport de la banque britannique Barclays désigne le Sénégal, pays le plus endetté d’Afrique, avec une dette évaluée à 119% du PIB en 2024.
Selon l’économiste Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD, la dette publique sénégalaise, bien que ne plaçant pas le pays comme le plus endetté d’Afrique, suscite une vive inquiétude. Avec un ratio dette/PIB de 119 % en 2024, « ce niveau dépasse très largement les seuils de prudence admis dans les pays en développement : 60 % selon le FMI et 70 % selon les critères UEMOA », alerte l’expert. Seuls le Ghana, le Soudan ou l’Érythrée affichent des ratios supérieurs, reflétant une accumulation rapide liée à des « déficits jumeaux (budgétaire et courant) et d’accès limité aux financements concessionnels ».
Dans un contexte de crise financière marquée par une chute des obligations souveraines en dollars du Sénégal, le professeur Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, tire la sonnette d’alarme dans une tribune intitulée "Sénégal :
Depuis plusieurs jours, une affirmation relayée notamment par l'APR circule selon laquelle l’État du Sénégal se serait endetté de 10 200 milliards FCFA en à peine 14 mois. Le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, dément cette information, qualifiée de « factuellement inexacte » après un examen rigoureux des données budgétaires issues des Lois de Finances Rectificatives 2024 et 2025.
À l’occasion de la publication des rapports d’exécution budgétaire du quatrième trimestre 2024 et du premier trimestre 2025, le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG de l’UCAD
Le marché UEMOA-Titres, qui facilite les emprunts des États membres de l’Union Économique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA), repose sur un principe d’intégration et de mutualisation, comme l’a souligné le Pr Amath Ndiaye, économiste et universitaire à la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion (FASEG) de l’UCAD. Dans une déclaration récente, il a précisé que « les banques commerciales de tous les pays membres de l’Union prêtent aux États, sans distinction de nationalité ».
Le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG-UCAD, a publié une analyse intitulée « Sénégal : Emprunter oui, mais dans la clarté »,
Quatre économistes pour dire si oui ou non le Sénégal doit sortir du franc CFA.
Dans une analyse percutante, le Pr Amath Ndiaye, économiste à la FASEG de l’UCAD, met en lumière les défis financiers majeurs auxquels le Sénégal est confronté
Dans une tribune percutante, le Pr Amath Ndiaye, enseignant à la FASEG-UCAD, dresse un diagnostic sans complaisance du secteur parapublic sénégalais, qualifié de « budgétivore » et gangréné par la corruption, la mauvaise gouvernance et le clientélisme.
Dans une analyse intitulée « La souveraineté économique : entre mythe politique et dépendance structurelle », Pr Amath Ndiaye, économiste et Professeur à la FASEG-UCAD, décortique la notion de souveraineté économique, souvent invoquée dans les discours politiques, notamment au Sénégal
Dans une analyse publiée par le Pr Amath Ndiaye de la FASEG-UCAD, le Sénégal fait face à une surproduction maraîchère structurelle, notamment pour l’oignon (450 000 tonnes en 2025, contre 350 000 tonnes de besoins) et la pomme de terre (240 000 tonnes, contre 130 000 à 150 000 tonnes de consommation).
Dans cette deuxième partie de notre entretien, le Pr Ameth Ndiaye, économiste et professeur à la Faculté des Sciences Économiques et de Gestion (UCAD), aborde le débat sur le franc CFA et l’éventuelle transition vers l’ECO.