Une Cour d'appel de Rio de Janeiro a ordonné mercredi la réincarcération de l'ancien président brésilien Michel Temer, poursuivi pour corruption.
💡 Bon à savoir
Cette interface de recherche vous permet d'explorer toutes les archives d'actualités du Sénégal, de 2006 jusqu'à aujourd'hui. Profitez de notre base de données complète pour retrouver les événements marquants de ces dernières années.
Une Cour d'appel de Rio de Janeiro a ordonné mercredi la réincarcération de l'ancien président brésilien Michel Temer, poursuivi pour corruption.
Après Lula, c’est le deuxième ancien chef de l’Etat qui tombe dans les mailles de la garnde enquête anti-corruption Lava Jato.
Le Brésil va se retirer du Pacte mondial pour les migrations de l'ONU adopté lundi à Marrakech (Maroc) une fois que le président élu d'extrême droite Jair Bolsonaro prendra ses fonctions le 1er janvier, a annoncé lundi son futur chef de la diplomatie. "Le gouvernement Bolsonaro se dissociera du Pacte mondial pour les migrations qui vient d'être lancé à Marrakech, un instrument qui est inadéquat pour affronter le problème", a déclaré sur Twitter Ernesto Araujo, le futur ministre brésilien des Affaires étrangères.
Le candidat d'extrême droite Jair Bolsonaro a été officiellement déclaré dimanche soir élu à la présidence du Brésil par le Tribunal supérieur électoral (TSE), avec 56% des voix contre 44% pour son rival, Fernando Haddad, candidat du Parti des travailleurs (PT). « Nous allons changer le destin du Brésil », a promis le vainqueur.
Au Brésil, les conflits agraires n’ont pas disparu. Loin de là. Ils sont même de plus en plus meurtriers.
Quarante-neuf personnes étaient portées disparues mercredi au lendemain de l'effondrement spectaculaire d'une tour de 24 étages du centre de Sao Paulo, selon un nouveau bilan des pompiers. On ignorait toutefois si ces personnes déclarées manquantes se trouvaient effectivement dans la tour au moment du drame. Les pompiers avaient indiqué mardi que seulement trois personnes étaient portées disparues, dont un homme sur le point d'être secouru au moment où la tour s'est brutalement effondrée, après avoir pris feu.
Des sources judiciaires font état de quatre "intimes" du président Michel Temer qui sont envoyés en prison. Ces personnalités ont été envoyées derrière les barreaux, dans le cadre d'une enquête sur de présumées irrégularités dans des activités portuaires. L'on parle d'un avocat, d'un ancien ministre et d'un colonel à la retraite qui seraient concernés par cette affaire qui a défrayé la chronique au Brésil.
La séance extraordinaire qui pourrait sceller le sort du président brésilien Michel Temer, mis en accusation pour corruption, a débuté mercredi matin dans l'agitation, des membres de l'opposition protestant bruyamment au sein même de l'hémicyle. Les députés se sont retrouvés pour une séance extraordinaire qui pourrait décider du renvoi du chef de l'Etat devant la Cour suprême si une majorité des deux tiers (342 voix sur 513) décide d'un procès.
Le procureur-général du Brésil a présenté lundi soir une demande de mise en accusation formelle contre le président Michel Temer pour corruption passive, une procédure inédite qui pourrait sonner le glas d'un mandat secoué par les affaires.
La tempête politico-judiciaire qui secoue le président brésilien Michel Temer a connu une accalmie avec le non-lieu de la justice électorale, mais de nouvelles turbulences menacent.
Les juges du Tribunal Supérieur Electoral (TSE) devaient, sauf coup de théâtre, entrer dans le vif du sujet jeudi en commençant à voter sur le maintien ou non au pouvoir du président brésilien Michel Temer.
Le président brésilien Michel Temer a assuré jeudi qu'il n'avait aucune intention de démissionner, malgré les graves accusations qui pèsent sur lui et le feu vert de la Cour suprême à l'ouverture d'une enquête pour corruption.
La Cour Suprême du Brésil a autorisé une enquête visant le président Michel Temer, accusé d'être impliqué dans un vaste réseau de corruption.
Le président de la Chambre des députés du Brésil Eduardo Cunha, a lancé mercredi une procédure de destitution contre la présidente de gauche Dilma Rousseff, 67 ans, qui s'est déclarée "indignée" et convaincue que cette procédure "sans fondement" avorterait.Après en avoir agité la menace pendant trois mois, le président de la chambre basse du parlement a fini par donner suite à une demande de l'opposition de droite qui accuse la présidente d'avoir sciemment maquillé les comptes de l'Etat en 2014 et 2015 pour minimiser l'ampleur de la crise économique.