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Dans la poursuite d’une enquête sur un réseau de trafic irrégulier de migrants, la brigade de la Zone franche industrielle a mené, le jeudi 29 mai 2025, une opération ayant abouti à l’arrestation de trois individus.
La police nationale est plus que jamais déterminée à traquer les convoyeurs de migrants et leurs complices jusqu'à leurs derniers retranchements.
La Brigade de Recherches de Saly a bouclé l'enquête, suite à l'arrestation des six convoyeurs de la pirogue échouée à Saint-Louis et ayant occasionné 26 morts.
Le général Moussa Fall, haut-commandant de la gendarmerie nationale, a ordonné l'ouverture d'une enquête, à la suite du drame survenu au large de Saint-Louis et ayant fait 26 morts.
Un conteneur transportant des voitures à destination de l'Afrique de l'Ouest a été intercepté mardi en Espagne,
La police a déjoué une nouvelle tentative d'immigration clandestine au niveau
Les deux passeurs sont poursuivis pour homicide involontaire et trafic de migrants.
Au motif que des témoins clés dans cette affaire, dont le père du jeune Lamine Faye, n’ont pas répondu à la convocation.
Sale temps pour les deux présumés convoyeurs d’émigrants clandestins arrêtés dans l’affaire Doudou Faye, un adolescent de 15 ans habitant
Seneweb en sait un peu plus sur les passeurs qui avaient organisé le voyage de candidats à l’émigration clandestine, lequel avait coûté des centaines de vie...
Alors qu'on épiloguait encore sur le bilan de l'explosion d'un navire de migrants sénégalais au...
Ces migrants clandestins voulaient se rendre en Espagne par voie maritime, selon la division communication de la gendarmerie nationale.
Le général Moussa Fall, haut-commandant de la gendarmerie nationale, a ordonné l'ouverture d'une enquête, à la suite du drame survenu au large de Saint-Louis et ayant fait 26 morts.
Au motif que des témoins clés dans cette affaire, dont le père du jeune Lamine Faye, n’ont pas répondu à la convocation.
Sale temps pour les deux présumés convoyeurs d’émigrants clandestins arrêtés dans l’affaire Doudou Faye, un adolescent de 15 ans habitant
La chambre du conseil de Bruxelles a prolongé d'un mois le mandat d'arrêt des deux individus qui ont reconnu avoir ramené Salah Abdeslam à Bruxelles juste après les attentats de Paris vendredi dernier, a indiqué le parquet fédéral vendredi. Les deux suspects ont été interpellés le week-end dernier et placés sous mandat d'arrêt lundi. Mohammed Amri (27 ans) et Hamza Attou (21 ans) ont reconnu être les convoyeurs de Salah Abdeslam dans la nuit de vendredi à samedi dernier mais persistent à dire qu'ils n'ont rien à voir avec les attentats.
L’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (ORCTIS) a saisi, jeudi à Mbour, à 80 km de Dakar, ‘’600 kilogrammes de chanvre indien’’ de type Brown, une variété très prisée par les consommateurs, d’une valeur de 80 millions de francs CFA, a appris l’APS, vendredi.La révélation a été faite par le commissaire divisionnaire Mame Seydou Ndour, lors d’un point de presse au siège de l’ORCTIS, à Dakar. ‘’La drogue, une quantité de 600 kilogrammes au lieu des 800 déclarés par le convoyeur, est cultivée au Ghana à 80 pourcent, et au Nigéria à 20 pourcent’’, a-t-il précisé. ‘
L’Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants (ORCTIS) a saisi, jeudi à Mbour, à 80 km de Dakar, ‘’600 kilogrammes de chanvre indien’’ de type Brown, une variété très prisée par les consommateurs, d’une valeur de 80 millions de francs CFA, a appris l’APS, vendredi.La révélation a été faite par le commissaire divisionnaire Mame Seydou Ndour, lors d’un point de presse au siège de l’ORCTIS, à Dakar. ‘’La drogue, une quantité de 600 kilogrammes au lieu des 800 déclarés par le convoyeur, est cultivée au Ghana à 80 pourcent, et au Nigéria à 20 pourcent’’, a-t-il précisé. ‘
Quatre individus, membres présumés d’une bande de voleurs de bétail, ont été déférés au parquet de Louga (nord) après avoir été arrêtés par des éléments de la brigade de gendarmerie de Dahra, dans le département de Linguère, a appris l’APS de source sécuritaire, lundi.
![[ CHRONIQUE ] La paix en sang jours](/sites/seneweb-com/v9/img/posts/content-horizontal/1.webp)
Ce n’est pas la paix qui est dans l’impasse en Casamance, c’est la guerre. Elle avait pour but l’indépendance, elle est maintenant sans but. Ce ne sont pas les militaires et les rebelles qui en sont les principales victimes, ce sont les populations civiles. La mort de deux militaires, aussi douloureuse qu’elle puisse être, ne doit pas nous faire oublier le drame que vivent les casamançais eux-mêmes, depuis bientôt trente ans. Massacrés, chassés de leurs terres, ils sont obligés à l’exode dans leur propre terroir. C’est cela, chers lecteurs, l’absurdité de la guerre en Casamance. L’armée, impuissante, abandonne les populations au diktat cruel des bandes de pillards. Les rebelles, comble de l’ignominie, déchargent leurs kalachnikovs sur les populations qu’ils étaient venus libérer. La soldastesque, pour arrondir ses fins de mois, organise des virées nocturnes chez les commerçants, qu’elle met sur le dos des indépendantistes.
