Trois bagarres en neuf secondes et chœur de huées contre l'hymne américain: le premier match de hockey sur glace en plus de neuf ans entre Canada et Etats-Unis a viré au chaos samedi à Montréal, sur fond de tensions politiques entre les deux pays.
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Trois bagarres en neuf secondes et chœur de huées contre l'hymne américain: le premier match de hockey sur glace en plus de neuf ans entre Canada et Etats-Unis a viré au chaos samedi à Montréal, sur fond de tensions politiques entre les deux pays.
La politique, cette pratique devenue immonde, galvaudée par la quête amorale de privilèges, semble être le seul terrain où des membres d’une même famille, unis par les liens du sang, s’opposent…parfois farouchement.
«Il y a plus important d’aller dans des commissions pour se livrer à des pugilats ou aller dans des commissions qui ne servent absolument à rien parce que la chose est pliée d’avance. Donc, ça ne sert à rien».
Trois bagarres en neuf secondes et chœur de huées contre l'hymne américain: le premier match de hockey sur glace en plus de neuf ans entre Canada et Etats-Unis a viré au chaos samedi à Montréal, sur fond de tensions politiques entre les deux pays.
«Il y a plus important d’aller dans des commissions pour se livrer à des pugilats ou aller dans des commissions qui ne servent absolument à rien parce que la chose est pliée d’avance. Donc, ça ne sert à rien».
Les affrontements qui ont eu lieu ce vendredi entre la caravane de Mame Mbaye Niang et les pro Khalifa, ne laisse pas indifférent Ousmane Sonko. A Mbour où il bat campagne ce samedi, il regrette les évènements de Grand Yoff, hier, et Ourossogui où le convoi de Abdoulaye Baldé a été attaqué il y a quelques jours.
Pape Samba Mboup, l’ancien chef de cabinet du Président Abdoulaye Wade ne cautionne la crise qui secoue présentement l’Assemblée nationale. « Comme tous les Sénégalais, je suis déçu par les députés parce qu’ils ne sont pas élus pour se livrer à des séances de pugilats. Ils sont en train de se donner en spectacle. Ou bien, je dirai qu’une majorité est en train de brutaliser une minorité », soutient-il dans les colonnes de « L’As ».
Dans son avis trimestriel de janvier, février et mars 2011, Le CNRA a dressé un tableau sombre de la couverture médiatique des évènements de lutte avec frappe par les télés sénégalaises. Le Conseil National de Régulation de l’Audiovisuel a dénoncé non seulement l'utilisation des médias comme «moyens de règlement de comptes personnels», mais aussi «la retransmission d’images violentes et de propos laudatifs», lors des couvertures médiatiques des combats de lutte avec frappe
Depuis quelques semaines, il ne se passe plus aucune journée de lutte sans qu’une scène de violence ne soit rapportée ou constatée. Et plus grave encore, comme cela n’avait jamais été le cas dans un passé récent, les morts d’hommes commencent à se faire plus pressantes et plus accentuées.