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Les quotidiens sénégalais parus mercredi ont mis en exergue la tentative de coup d’Etat en Guinée Bissau, la demi-finale de CAN Sénégal-Burkina Faso, les perturbations dans le secteur de l’éducation, entre autres sujets....
Putch manqué au Burkina: 8 accusés demandent la clémence
Au Burkina Faso, quatorze avocats de la défense se retirent sont déportés du procès du coup d'État manqué de septembre 2015 alors que le tribunal examinait le fond du dossier.
Soupçonné de complicité avec les auteurs présumés du coup d'Etat manqué de septembre 2015 au Burkina Faso, Salifou Sawadogo, député et quatrième vice-président du Congrès pour la démocratie et le progrès (CDP, ex-parti au pouvoir), a été entendu et placé en détention à la Maison d'arrêt et de correction des Armées (MACA), a appris APA vendredi de source proche du dossier.
Le gouvernement du Burkina Faso, à l'occasion du premier anniversaire du putsch manqué du 16 septembre 2015, invite chaque Burkinabè à se souvenir des martyrs de l’évènement.
L’ambassadeur de Turquie à Ouagadougou, Korkut Tufan, estime que le coup d’Etat avorté qui s’est déroulé dans son pays, dans la nuit du 15 au 16 juillet dernier, ‘’ressemble un peu’’ au putsch manqué de septembre 2015 au Burkina Faso.
Guillaume Soro, le président de l'Assemblée nationale ivoirienne et ancien chef de la rébellion. Il est accusé par la justice burkinabè d'avoir soutenu le putsch raté du général Gilbert Diendéré le 17 septembre 2015. Le Burkina Faso demande à la Côte d’Ivoire de poursuivre Guillaume Soro dans le dossier du putsch manqué de septembre 2015, au Burkina Faso. Ce lundi la justice militaire du Burkina Faso a décidé de renoncer à lancer un nouveau mandat d'arrêt contre le président de l'Assemblée nationale ivoirienne et remet le dossier aux autorités de Côte d'Ivoire.
Deux journalistes burkinabè, Caroline Yoda de la télévision BF1 et Adama Ouédraogo dit Damiss du quotidien L’Observateur Paalga, sont inculpés de cinq chefs d’accusation dont ‘’Complicité de meurtre’’ dans le cadre de l’affaire du putsch manqué de la mi-septembre dernier au Burkina Faso, a-t-on appris dimanche à travers un communiqué des organisations professionnelles des médias.
Un mandat d’arrêt international a été émis contre Fatoumata Diendéré, l’épouse du général putschiste Gilbert Diendéré, a appris APA, lundi de source sécuritaire. La même source sécuritaire précise que d'autres mandats d'arrêts pourraient être émis dans les jours à venir contre d'autres personnes présumées auteurs ou complices dans putsch manqué de septembre dernier au Burkina Faso.
Le coup d’Etat du 17 septembre 2015 au Burkina Faso est ‘’le couronnement d’un plan savamment préparé par le Général Diendéré Gilbert’’, a déclaré le Premier ministre (PM) Yacouba Isaac Zida, mardi à Ouagadougou, lors de la cérémonie marquant la fin du processus de désarmement de l’ex Régiment de sécurité présidentielle (RSP).
Le général Gilbert Diendéré, auteur du coup d'État manqué du 17 septembre, a été remis, jeudi 1er octobre, aux mains de la gendarmerie burkinabè à Ouagadougou, selon des sources sécuritaires. Il se trouvait jeudi soir au Camp Paspanga, situé près du centre-ville de Ouagadougou.
Le Général Gilbert Diendéré serait à l’origine de la résistance notée dans le processus de désarmement initié par les forces loyalistes, indique un communiqué officiel publié ce lundi sur le site du gouvernement burkinabé.
Yahya Jammeh a respecté sa parole de poursuivre jusqu’à leurs derniers retranchements les présumés putschistes qui ont fait vaciller son pouvoir ainsi que leurs familles, amis et collègues. Quelques jours seulement après le coup d’Etat manqué de fin décembre, plusieurs personnes ont été arrêtées. Le Quotidien publie le nom de 27 parmi elles, dont quatre qui viennent de recouvrer la liberté.
Le 30 décembre dernier, le président gambien a échappé à un putsch, alors qu'il était en voyage à l'extérieur. Certains qui avaient participé à cette tentative de coup d'Etat ont été jugés par une cour martial établie par Yaya Jammeh, le président Gambien. Sept militaires y ont été jugés. Il s'agit du soldat de première classe Modou Njie, des lieutenant-colonels Sarjo Jarju et Buba Sanneh, des capitaines Buba Bojang et Abdoulie Jobe et des lieutenants Ansumana Sanyang et Amadou Sowe.
En tournée dans les foyers religieux de Kaolack, le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, s’est prononcé sur la tentative avortée de coup d’Etat en Gambie. «La Gambie est un pays au cœur du Sénégal. Nous ne pouvons que nous désoler de ce qui s’est passé là-bas», dit-il, ajoutant que le Sénégal n’a rien à voir avec ce qui s’est passé.
C’est un vrai signal d’alerte que la Rencontre Africaine de Défense des Droits de l’Homme (RADDHO), par la voix de son Secrétaire général, Aboubacry Mbodji a lancé au président Gambien, Son Excellence, Cheikh Professeur Alhaji Docteur Yahya AJJ Jammeh Nasirul Been Babili Mansa que « s’il ne change pas, les gambiens peut être amenés à faire comme les Burkinabé ».
Les autorités sénégalaises ont condamné mercredi "la tentative de renversement du régime du président" Yahya Jammeh, en Gambie. "Le gouvernement de la République du Sénégal condamne fermement la tentative de renversement du régime du président Sheikh Professeur Alhadji Dr. Yaha A. J. J. Jammeh par un groupe d'insurgés, dans la nuit du 29 au 30 décembre 2014", écrit le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur dans un communiqué parvenu à l’APS.
Le président Yahya Jammeh a réchappé à un coup d'Etat hier, mardi. Une tentative de putsch conduite par des militaires anciens membres de la garde présidentielle. Yahya Jammeh, 49 ans, règne sans partage depuis 20 ans sur ce petit pays de moins de 2 millions d'habitants enclavé par le Sénégal.
La Gambie a connu, ce mardi 30 décembre, un coup d’Etat manqué. Des hommes armés ont attaqué le palais présidentiel, ce matin, à Banjul. Plusieurs assaillants ont été tués. La tentative de putsch a eu lieu en l'absence du président Yahya Jammeh, en voyage à l'étranger.
